Mademoiselle Frankenstein
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<em><strong>Mademoiselle Frankenstein</strong></em></p>
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<u>La pièce</u></p>
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Nous sommes en 1816 c’est une nuit d’orage à Cologny (Genève). Dans la Villa Diodati, le poète Byron, propriétaire</p>
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des lieux, convoque ses voisins et amis. Parmi eux, le poète Shelley et son épouse Mary. Ils se lancent alors un défi</p>
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mutuel : écrire le plus rapidement possible une histoire d’épouvante. C’est Mary Shelley qui l’emporte en mettant au</p>
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monde l’un des personnages de roman les plus célèbres, le Docteur Frankenstein. Capable de recréer la vie à partir de cadavres récupérés dans des cimetières, ce personnage surpasse tous les tabous de l’époque.</p>
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Quinze ans après, c’est cette même Mary Shelley qui revient sur les lieux du crime.</p>
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Elle y retrouve un certain Lazzaro Spallanzani qui cherche à tout prix à savoir ce qui a poussé la jeune femme à écrire un récit aussi terrifiant. Mais même s’il pressent un secret terrible derrière la création de ce chef d’oeuvre, il est loin d’imaginer ce qu’il va découvrir.</p>
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<u>L'auteur</u></p>
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Thierry Debroux est né à Bruxelles en 1963.</p>
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Scénariste pour France Télévision, il a écrit « Le Silence des Eglises » (Prix du Scénario au festival de Luchon 2013). Il est l’un des deux scénaristes de la série « Les Petits Meurtres » d’Agatha Christie diffusée sur France 2.</p>
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On lui doit également « Un Coeur qui bat », docu-fiction sur la greffe du coeur. Il est l’auteur d’une vingtaine de pièces (publiées chez Lansman).</p>
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Quatre fois nommé Meilleur Auteur en Belgique, il reçoit le prix en 2001 pour La Poupée Titanic.</p>
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Il a adapté pour le théâtre « Le Maître et Marguerite » de Boulgakov, « Le Capitaine Fracasse » de Gauthier, « Les Misérables » d’Hugo et prépare une version scénique de « L’Odyssée » d’Homère.</p>
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En juillet 2010, il est nommé directeur du Théâtre Royal du Parc à Bruxelles.</p>
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<u>L'intention de mise en scène</u></p>
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Géraldine Clément et Frédéric Gray partagent le même goût pour les récits singuliers, intrigants et étranges, les atmosphères sombres et inquiétantes, les personnages torturés qui ne se livrent pas facilement.</p>
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Frédéric est passionné par l’histoire de <em>« Dr Jekyll et Mr Hyde » </em>ou encore par <em>« Le portrait de Dorian Gray »</em>, dont d’ailleurs il porte le même nom…</p>
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Nous avons donc tout de suite été intrigués par la pièce <em>« Mademoiselle Frankenstein »</em> de Thierry Debroux.</p>
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Dès les premières pages nous avons été captivés par le parti pris de l’auteur et par sa façon de nous faire aborder une autre facette du récit de « <em>Frankenstein </em>» qui a été maintes fois adapté au théâtre et au cinéma.</p>
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En effet, nous connaissons peu l’auteure de ce chef d’œuvre de la littérature fantastique, Mary Shelley. Qu’est ce qui a poussé cette jeune femme de 19 ans à écrire une telle histoire et à inventer une telle créature ?</p>
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Thierry Debroux réunit dans un huis clos inquiétant et cruel, Mary Shelley et un étrange Lazzaro Spallanzani qui cherche à comprendre la mécanique et les rouages de l’imagination créatrice.</p>
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La force de cette pièce réside dans l’habile mélange entre récit historique et voyage fantastique dans un monde imaginaire, hanté par les ombres du passé.</p>
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Cette pièce nous interroge également sur la science et le progrès, sur les zones d’ombres qui sont en chacun de nous. Et dès lors, la question suivante se pose : jusqu’où peut-on aller pour déterrer les monstres qui sont en nous, alors que nous tentons désespérément de les cacher ?</p>
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L’envie de créer à notre tour nous envahit, avec l’irrésistible besoin de donner vie nous aussi à ces personnages fascinants… en mettant en scène <em>« Mademoiselle Frankenstein »</em>.</p>
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Géraldine Clément et Frédéric Gray</p>
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<u>L'équipe artistique</u></p>
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Frédéric Gray, Metteur en scène</p>
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Géraldine Clément, co-metteur en scène et directrice d'acteurs</p>
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Christelle Maldague, dans le rôle de Mary Shelley</p>
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Frédéric Gray, dans le rôle de Lazzaro Spallanzani</p>
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