VI.e.LLAGE

<p> Vi.e.llage c'est la<strong> c<strong>o</strong>nstruction solidaire, responsable et surtout collaborative d'une case polyvalente en matériaux locaux, </strong>à Nkol-Assi, un petit village de 12 familles, en fôret équatoriale, à 50 km de Yaoundé au <strong>Cameroun.</strong> Nous sommes<strong> architectes</strong> diplômées depuis février 2016 à l'école nationale supérieure d'architecture et du paysage de Bordeaux (ensapBx), et nous avons effectué un échange sans précédent d'un semestre, de février à juin 2015, à l'école d'architecture de Yaoundé (Essaca).</p> <p>  </p> <p> Nous avons réalisé ce projet en <strong>collaboration</strong> avec les habitants de Nkol-Assi, sur place puis à distance.  </p> <p>  </p> <p> <strong>Nous sommes à la recherche de fonds afin de retourner sur place  et construire avec les habitants et des étudiants français et camerounais la case communautaire.  </strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Maquette_kkbb_copie-1474555181" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351961/MAQUETTE_KKBB_copie-1474555181.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LES PROBLEMATIQUES</strong></p> <p> Vi.e.llage permet d' améliorer la vie de 12 familles du hameau de Nkol-Assi (Région de la Méfou, Centre, Cameroun) sans électricité et mal raccordé aux réseaux routiers.</p> <p>  Nkol-Assi n'est ni dans l'urgence ni dans le besoin. On y vit au rythme de la forêt équatoriale et des saisons. Seulement, il subit un désintéressement des plus jeunes, qui partent en ville pour leurs études, et ne souhaitent plus revenir. Le village se dépeuple.</p> <p> <strong>Comment apporter un mieux-vivre attractif, en respectant le lieu et ses habitants ? Comment sensibiliser les plus jeunes quant à leur responsibilité dans le devenir de leur village ?  Comment accueillir aussi bien l'imprévu que le quotidien dans un lieu commun ?</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>QUI SOMMES NOUS?</strong></p> <p> <em>Emmanuelle,</em> à travers 2 échanges universitaires (Portugal et Cameroun) lors du cursus de master a étudié l'architecture vernaculaire sous des formes variées. Elle a rencontré de nombreuses personnes issues de cultures différentes, architectes, étudiants ou habitants et s'est retrouvée dans une dynamique d'échange, de partage de savoirs. Apprendre l'architecture vernaculaire et l'anthropologie sont indispensables à la poursuite de son métier d'architecte. </p> <p>  </p> <p> <em>Tiphaine</em> s'est toujours intéressée à l'échange des cultures, des ambitions, des gens. Après une année de césure en master, composée de stage et de voyages, l'architecture solidaire s'est montrée comme une évidence. En s'engageant dans l'association Villages Verts, elle a participé à la réalisation sur place d'une maison du livre à Ouagadougou au Burkina-Faso, en collaboration avec les artisans et habitants du quartier.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Aira_tif_emma-1474549601" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351911/aira_tif_emma-1474549601.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Nous avons participé à un workshop solidaire et collaboratif de février à juin 2015, dans un sous quartier de Yaoundé, </strong>nous a donné l'envie de poursuivre vers une architecture responsable et solidaire en accord avec les besoins du lieu, des habitants.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>POUR UNE ARCHITECTURE LOCALE ET SOLIDAIRE</strong></p> <p> Les moments passés à Nkol Assi nous ont montré de manière évidente que la vie urbaine ne concernait pas tout le monde, et que la vie en zone rurale était tout autant importante. Ces personnes qui vivent avec la forêt, la régule, la respecte et la valorise ont également le droit à l'accès au mieux-vivre. </p> <p> L'architecte a un rôle à jouer dans le changement des mentalités, relatif à cette prise de conscience autour de l'environnement, du réchauffement climatique, du mal-logement, de la bidonvilisation des villes et toutes ces problématiques liées à la mondialisation.</p> <p> Le <strong>local</strong> est à mettre sur le devant de la scène, pour favoriser une prise de conscience collective et indispensable.</p> <p> <strong>L'architecture solidaire, locale et participative est une facette méconnue du métier d'architecte, mais dont la profession a besoin.</strong></p> <p>  <img alt="" height="307" src="http://www.trophees-solidaires.fr/sites/default/files/styles/large/public/ts_village2.jpeg?itok=fm96Zqi8" width="480"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>UN PROJET ARCHITECTURAL, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL</strong></p> <p> VI.e.LLAGE est né de la rencontre avec Victor et Séraphine, un couple vivant à Nkol-Assi, ce petit hameau relégué et sans électrification, de 12 cases, à 50 km de Yaoundé.</p> <p> Nous avons séjourné chez eux à plusieurs reprises et nous sommes liées d'amitié avec les habitants du village. Ils sont très sensibles à l'architecture vernaculaire et ont déjà réalisé des travaux de réfection de la chapelle du village sous forme de Workshop avec des architectes et artisans locaux.</p> <p> Ils sont donc très investis dans le développement de leur hameau, et souhaitent collaborer avec nous dans la réalisation d’un espace de palabre et de réunion, tout en prenant en compte les problématiques environnementales. La lumière et l'électricité sont des points indispensables dans la construction de la case.</p> <p> Victor et Séraphine mettent à disposition un terrain au centre du hameau.</p> <p>  </p> <p>            <img alt="" height="316" src="http://www.trophees-solidaires.fr/sites/default/files/styles/large/public/capture_decran_2016-03-24_a_17.41.43.png?itok=fdZ2Dpr9" width="480"></p> <p>  </p> <p> <strong>UNE CASE</strong></p> <p> Cette case permettra d’accueillir les jeunes du village, scolarisés à Yaoundé, durant les périodes de vacances scolaires. <strong>Dans l'optique qu'ils puissent s’épanouir et se sensibiliser à l’idée que le développement de leur village natal est entre leur main, elle permettrait de multiplier les activités au village.</strong></p> <p> Le reste du temps, elle sera support d’activités artistiques et musicales les weekends (association de «Djam»), et un lieu de fête ou de deuil, très important dans la culture camerounaise.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Djam_copie-1474550607" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351918/DJAM_copie-1474550607.jpg"></p> <p>  </p> <p> Cet équipement est important dans le développement de cet hameau,  puisqu’il permettra la venue de plus de personnes qu’à l’habitude et notamment les jeunes qui trouveront un lieu propice à de multiples activités.</p> <p>  </p> <p> En le concevant de<strong> manière responsable et en intégrant les problématiques écologiques</strong>, il permettra à toute la population de ce hameau et des hameaux voisins de prendre conscience des avantages de ce type de construction (économiques, écologiques, environnementaux, émancipation).</p> <p> <img alt="Facade_kkbb-1474551777" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351930/facade_KKBB-1474551777.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>PROPOSITIONS</strong></p> <p> <u>UN LAMPADAIRE SOLAIRE</u> sera installé sur le terrain. Il est indispensable pour développer le hameau : apporter la lumière induit des activités variées, et permet aux habitants de prolonger leur journée.  C'est un bien-être évident pour tous. C'est également un point essentiel à la construction de la case, puisqu'il permettra d'éclairer le chantier et donc facilitera sa mise en oeuvre.</p> <p> <em>L'entreprise <a href="http://sunna-design.fr/">Sunna </a>Design de Blanquefort (33) assurera la mise à disposition à bas coût d'un boitier luminaire solaire dernière génération.</em></p> <p> <u>UN MARAICHAGE EN PERMACULTURE</u> permettra de varier leur alimentation (essentiellement composée de tubercule), et de vendre ou d'échanger leur production.</p> <p> <em>L'association <a href="http://ssf.kokopelli-semences.fr/semences-sans-frontieres/presenter-un-projet/">Semences sans frontières</a> via KOKOPELLI assurera le don des semences en assez grande quantité.      </em>              </p> <p> <u>UN ESPACE DE PASSAGE</u> permet d'accueillir les invités, les passants, la famille. C'est un espace vide appropriable, entouré simplement de 4 murs en terre détachés du toit créant ainsi une aération naturelle.</p> <p> <u>UN ESPACE DE STOCKAGE</u> permet d'entreposer les balafons communautaires ainsi que deux cuves (léguées par la doyenne du village) raccordés à une descente d'eau pluviale. Un lavoir permet l'usage domestique de cette eau en complément du puits.</p> <p> <u>UN ESPACE DE FOYER</u> permet la réalisation des mets autour du feu, à l’abri des insectes grâce à des voiles moustiquaires.</p> <p> <em>L'entreprise française<a href="http://www.diatex.fr/"> Diatex</a> spécialiste de l'agrotextile assurera les grandes surfaces de moustiquaire à moindre prix.</em></p> <p>  </p> <p> Le dessin de la case découle d'une analyse fine, presque anthropologique, de la géographie et du village, et surtout de la collaboration avec les habitants, et les artisans locaux.</p> <p> <img alt="Axo_kkbb-1474551168" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351921/axo_KKBB-1474551168.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Plan_kkbb-1474551236" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351922/PLAN_KKBB-1474551236.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>COMMENT ?</strong></p> <p> Matériaux locaux et de proximité</p> <p>  <img alt="Axo_ecla_kkbb-1474551304" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351923/axo_ecla_KKBB-1474551304.jpg"></p> <p> Le projet a été développé dans une logique constructive avec des<strong> matériaux locaux et de proximité qui se trouvent dans un périmètre de 20km</strong>, exception faite du lampadaire solaire et des voiles moustiquaires.</p> <p> La construction se veut être responsable, respectueuse de l'environnement, et offre un « mieux-vivre » commun.</p> <p> Tout est dessiné en fonction des <strong>capacités locales</strong> : la main d'oeuvre, les matériaux disponibles, un faible impact carbone, un coût de construction très bas et maîtrisé. </p> <p> Ainsi seule la case de passage nécessite l'emploi de béton récupéré en ville, pour ses fondations. L'entreprise <a href="http://www.cimencam.com/wps/portal/cm/fr/CIMENCAM"><em>Cimencam</em></a>, filière du groupe Lafarge au Cameroun pourrait le fournir sous forme de don. </p> <p> La réalisation du toit nécessite également l'achat de tôles ondulées.</p> <p> Tous les murs montés sont en terre et en bois local. </p> <p> Le sol est simplement travaillé en terre battue. </p> <p> Ces techniques sont également intéressantes d'un point de vue hygrothermique. La terre possède un très<strong> bon coefficient thermique,</strong> et permet ainsi d'emmagasiner la chaleur et de la restituer de manière progressive à chaque baisse de température. Cette capacité est plus intéressante que le béton dans cette zone équatoriale où la moyenne de température est de 29°.</p> <p> Il est important d'utiliser ces<strong> techniques peu invasives</strong> et maîtrisées par la population locale, n'oubliant pas qu'une telle case peut être utilisée en exemple pour de prochaines constructions dans la région.</p> <p> <img alt="Schemamat_riaux_kkbb-1474551918" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351931/SCHEMAmat_riaux_KKBB-1474551918.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>CHANTIER PARTICIPATIF &amp; EVOLUTIF </strong></p> <p> Le dessin de la case communautaire a été réalisé de manière à ce qu'il puisse évoluer lors de notre retour sur place.</p> <p>  Ainsi  la construction de la case se veut en quatre temps :</p> <p> - Installation du lampadaire solaire sur le terrain disponible</p> <p> - Réunion sous le lampadaire avec les villageois et les chefs et habitants des villages alentours : évolution du dessin, appropriation du projet par les usagers.</p> <p> - (Re)Démarchages des artisans locaux et entreprises à proximité</p> <p> -  Construction de la case avec les artisans locaux et habitants, et l'aide d'étudiants français et camerounais (workshop,chantier école)</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Schemacomeback_kkbb-1474552501" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/351938/SCHEMAcomeback_KKBB-1474552501.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>LES PARTENAIRES</strong></p> <p>  Le projet de la case polyvalente met en synergie différents acteurs.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Partenaires locaux : </em></strong></p> <p>  - Les habitants et les chefs sont des acteurs clefs, afin d'assurer la pérennité et l'acceptation d'une telle construction. Nous les avons évidement rencontrés, et nous sommes contact avec eux.</p> <p> - Un partenariat avec l'<a href="http://www.essaca-architecture.net/">école d'architecture du Cameroun </a>a été réalisé (L'Essaca). L'école propose son aide en sa qualité d'experte en construction vernaculaire, et en proposant à certains de ses étudiants de participer à la construction sous forme d'atelier bénévole.</p> <p>  - Des entreprises : Cimencam (Lafarge au Cameroun), partenaire de l'Essaca, assurera les besoins en béton pour les fondations de la case. La scierie de Ngoumou (ville à proximité du projet) permettra l'élaboration de la structure primaire porteuse en bois avec des essences locales.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Partenaires français :</em></strong></p> <p> - L'entreprise <a href="http://sunna-design.fr/">Sunna Design</a> : conçoit et produit en France, des solutions innovantes d'éclairage public solaire spécifiquement adaptées aux environnements climatiques contraignants. Basé à Blanquefort (33), nous avons eu l'occasion des les rencontrer. Intéressés par notre démarche, Sunna Design s'engage à nous fournir un lampadaire solaire à des coûts réduits.</p> <p> - L'association <a href="http://ssf.kokopelli-semences.fr/semences-sans-frontieres/presenter-un-projet/">Kokopelli</a> nous fournira gratuitement les semences afin de pouvoir réaliser le jardin en permaculture.</p> <p> - L'<a href="http://www.bordeaux.archi.fr/">école d'architecture de Bordeaux</a> (EnsapBx), soutient notre démarche. </p> <p> - L'association <a href="https://www.facebook.com/collectifcancan/" target="_blank">CANCAN</a>, met à profit son savoir de fabrication de briques de terres crues.</p> <p>      </p> <p>  </p> <p> <strong>ET ON EN PARLE DEJA !</strong></p> <p> <strong>- Lauréat de l'appel à projet BOARDING2016</strong>   </p> <p> Sous le thème "Nouvelle manière d'habiter le monde", <a href="http://www.arcenreve.com/">Arc en rêve</a>, le centre d'architecture basé à Bordeaux propose  aux diplômés de grade master ou équivalent, obtenu entre 2014 et 2016, d’une école européenne dans les champs architecture / design / ville / paysage / territoire de présenter leur diplôme.</p> <p> Les problématiques sont larges : <em>"</em><em>Le monde change, les nouvelles manières d’habiter changent. Plus que jamais, l’architecture et la ville, la condition urbaine contemporaine, doivent se penser à la lumière de ce qui n’est plus et de ce qui n’est pas encore advenu."</em></p> <p> <strong>VI.e.LLAGE a été lauréat de l'édition <a href="http://www.arcenreve.com/Pages/pages.html">BOARDING 2016</a>, </strong>et est exposé du 02/06/16 au 25/09/16 dans le musée ARC EN RÊVE lors de l'exposition Constellation.S. L'exposition sera itinérante par la suite dans toute l'Europe.</p> <p>  </p> <p> <strong>- Publication dans le webmagasine ARCHICAINE</strong></p> <p> <a href="http://archicaine.org/viellage-construction-collaborative-dune-case-polyvalente-en-materiaux-locaux-a-nkol-assi-au-cameroun/">Archicaine</a> est un webmagasine suivit par plus de 18 000 personnes à travers le monde.</p> <p> Son ambition est celle d' assurer une représentation bien visible de l’architecture Africaine, permettre une mise en relation avec des architectes étrangers pour des échanges et une mise en relation avec des maîtres d’ouvrage potentiels, des compatriotes résidant à l’étranger.</p> <p> <a href="http://archicaine.org/viellage-construction-collaborative-dune-case-polyvalente-en-materiaux-locaux-a-nkol-assi-au-cameroun/"><strong>VI(e)LLAGE à fait l'objet d'un article entièrement consacré à lui !</strong></a></p> <p>  </p> <p> <strong>- Publication dans le journal SUD-OUEST</strong></p> <p> <em><a href="http://www.sudouest.fr/2016/04/25/bordeaux-deux-etudiantes-en-architecture-participent-aux-trophees-solidaires-2341055-2780.php"><strong>"</strong>Tout est dit dans l'intitulé de leur projet : "Vi(e)llage, construction collaborative d'une case polyvalente en matériaux locaux, à Nkol-Assi, au Cameroun".</a></em></p> <p> <a href="http://www.sudouest.fr/2016/04/25/bordeaux-deux-etudiantes-en-architecture-participent-aux-trophees-solidaires-2341055-2780.php"><strong>ICI</strong></a></p> <p>  </p> <p> <strong>- Publication sur le site CYBER-ARCHI.COM</strong></p> <p> "<a href="http://www.cyberarchi.com/article/cameroun-projet-de-case-communautaire-dans-un-village-isole-28-04-2016-15905" target="_blank">Emmené par deux étudiants de l'ensapBX</a>..." et candidat aux Trophées solidaires, le projet Vi(e)llage doit améliorer la vie de 12 familles du hameau de Nikol-Assi (50 km de Yaoundé) sans électricité et mal raccordé aux réseaux routiers. </p> <p> <strong><a href="http://www.cyberarchi.com/article/cameroun-projet-de-case-communautaire-dans-un-village-isole-28-04-2016-15905" target="_blank">ICI</a></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Calendrier prévisionnel du projet </strong></p> <p>  </p> <p> <u>Phase d'étude</u><u> :</u> février / juin 2016 </p> <p> Etude in situ ( Nkol Assi ), développement du projet avec les habitants et retour en France pour avancer les documents.</p> <p>  </p> <p> <u>Phase de conception </u>: janvier / février 2017 </p> <p> Expérimentation des matériaux, évolution du projet avec les habitants et réalisation de documents nécessaires à la construction de la case. </p> <p>  </p> <p> <u>Phase de chantier </u>: février / mars 2017</p> <p> Construction de la case, avec les habitants et les bénévoles</p> <p>  </p> <p> mars 2017 inauguration de la case communautaire !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>