Les Dépossédés

<p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="405" src="http://player.vimeo.com/video/58773777" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> Exposition galerie Dix9 19 rue des filles du calvaire 75003 Paris jusqu'au 23 février avec la vidéo "sous silence" et le diaporama "24h sous surveillance"</p> <p>  </p> <p> Ce travail Les Dépossédés  ainsi que la vidéo Sous silence sont actuellement présentés <strong>à la Galerie Dix9</strong>, 19 rue des filles du calvaire 75003 Paris,<strong> jusqu’au 23 février 2013.</strong></p> <p>  </p> <p> Photographe et vidéaste, je travaille sur des questions liées aux <strong>mutations urbaines</strong> depuis une quinzaine d’années. En 2010, je me rends dans la province autonome ouïghoure du Xinjiang en Chine. </p> <p>  </p> <p>  </p>   <p>  </p> <p> Les Ouïghours, turcophones et musulmans habitent cette région depuis des siècles. Aujourd’hui, leur culture est menacée par la colonisation interne des Chinois qui tentent d’étendre leur emprise sur ce territoire riche en minerais et en hydrocarbures. </p> <p> Mon travail photographique réalisé dans la ville de Kashgar, traduit cette menace par les transformations urbaines du centre ville où les habitations traditionnelles des Ouïghours sont détruites.</p> <p>  </p> <p> <strong>Ce livre aura les caractéristiques suivantes :</strong></p> <p>  </p> <p> Format: 30 X 22 cm, à l’italienne, <strong>34 photographies couleurs</strong></p> <p> Au total 80 pages, couverture plein papier, pelliculage soft touch.</p> <p>  </p> <p> Un texte d’<strong>Erik Verhagen</strong>, critique d’art et commissaire d’exposition et  un texte de <strong>Jean-Paul Loubes</strong>, architecte, anthropologue et écrivain, spécialiste de cette région viendront enrichir la réflexion.</p> <p>  </p> <p> <strong>Bilingue Français/Anglais</strong>, pour que les textes puissent être lus par un maximum de personnes, notamment dans les pays anglophones où la diaspora ouïghoure est importante.</p> <p>  </p> <p> L’impression sera totalement en quadrichromie, supervisée par l’éditeur Trans Photographic Press, et moi-même. C’est un éditeur spécialisé dans les livres de photographies, avec une grande exigence de qualité. L’imprimeur italien est également reconnu pour ses compétences en la matière.</p> <p>  </p> <p> <strong>Je fais tout à fait confiance à ces partenaires sur ce projet !</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pourquoi j’ai fait ce projet et comment ?</strong></p> <p>  </p> <p> Je travaille depuis 1995 sur l’évolution de la Chine contemporaine. Il me semblait important de travailler sur la minorité ouïghoure dont on parle peu et qui pourtant rassemble 10 millions de personnes.</p> <p>  </p> <p> Avant de partir, je me suis sérieusement documentée à partir de textes de chercheurs, d'universitaires, de sinologues et de journalistes. J’ai également appris quelques rudiments de ouïghour pour pouvoir communiquer avec la population !</p> <p>  </p> <p> Kashgar, ancien carrefour de la Route de la soie, a été témoin de brassages culturels importants. C’est une ville d’une richesse architecturale et culturelle exceptionnelle qui est  en train de disparaître pour malheureusement laisser la place à un espace sinisé.</p> <p>  </p> <p> « La « ruée vers l’Ouest » entraîne une colonisation économique accélérée du Xinjiang par de nouvelles populations chinoises. En 1950, les Han ne représentaient que 10% de la population de la province autonome. Dans les années quatre-vingt, cette colonisation intérieure portait leur proportion à 45%. Aujourd’hui la progression se poursuit, soutenue par l’extraordinaire développement économique de la Chine. L’émigration de populations chinoises pauvres oriente le taux de sinisation vers les 50 %. À Urumqi, 80% des habitants sont maintenant des Han. Un recouvrement d’une culture par une autre est en oeuvre. </p> <p> (…) La destruction de l’héritage architectural et urbain en oeuvre au Xinjiang apparaît donc comme une atteinte majeure à une société et à la culture qui la porte. Elle vise à interrompre la transmission sur laquelle pourrait se bâtir l’identité moderne du monde ouïgour. »</p> <p> Extrait du texte de Jean-Paul Loubes</p> <p>  </p> <p> En contrepartie du soutien que vous aurez la générosité d’apporter, j’ai choisi de vous offrir des cartes postales signées, des livres dédicacés, des affiches ou encore une <strong>édition Prestige du livre</strong> contenant un tirage original numéroté et signé de ma main (édition limitée).</p> <p>  </p> <p> Vous pouvez choisir parmi les <strong>5 photographies</strong> suivantes, chacune numérotée et <strong>limitée à 4 exemplaires</strong> pour <strong>l'édition Prestige:</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="22" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/8893/22.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="33" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/9142/33.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="13" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/8894/13.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="15" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/8895/15.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="28" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/9141/28.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Je me ferai un plaisir de citer votre nom dans les remerciements du livre si vous le souhaitez !</p> <p> Le livre aura une visibilité continue tout au long d’évènements tels que des expositions :</p> <p>  </p> <p> De mars à mai 2013 à la galerie du Château d’eau à Toulouse</p> <p> De mai à fin août 2013, au Musée d’art et d’archéologie d’Aurillac</p> <p>  </p> <p> En 2014, plusieurs expositions sont prévues (elles seront annoncées prochainement)</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Quelques infos biographiques personnelles :</strong></p> <p>  </p> <p> Bourse d’Etudes aux Etats-Unis en histoire de l’art, Emory University</p> <p> Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles</p> <p> Nombreuses expositions en France et à l’étranger</p> <p> Mes œuvres font partie de la collection du  Fonds National d’Art Contemporain, de la Bibliothèque Nationale, du Musée de la photographie à Braga au Portugal, de collections privées telles que celle d’Yves Rocher, etc.</p>