Sit in peace

Je suis Warren COOPMAN, j'ai 31 ans, j'aime les histoires de familles et les grands espaces. Lors de deux voyages en Ecosse et en Nouvelle-Zélande, j'ai découvert un concept exceptionnel, poignant, qui réunit symboliquement le passé et le présent, la mort et le vivant : le banc de mémoire, un objet simple et chargé d’histoire. Il est temps de se souvenir autrement. (Les photos ne sont pas des bancs Sit in peace. Elles proviennent de mes voyages et de moments inspirants que l'on m'a partagés) Qu'est-ce qu'un banc de mémoire ? Poétique et pratique, le banc de mémoire matérialise la pensée, ainsi qu’un lieu de recueillement singulier, à usage individuel ou collectif. Intemporel, il laisse une empreinte de notre histoire personnelle, humble témoignage auprès des générations futures. Entre introspection et partage, chacun est invité à s'y asseoir pour penser, lire, se recueillir, tomber amoureux, s'émerveiller de la vue, ou tout simplement se reposer. Le concept est simple : les particuliers, associations ou entreprises qui souhaitent rendre hommage à une personne disparue ou à un événement spécifique peuvent, via un programme de bancs de mémoire et en échange d'une contribution financière, bénéficier d'une plaque commémorative personnalisée, installée sur le banc de leur choix. Ce dernier se situe généralement dans un lieu qui leur est cher. Soulignons que le banc de mémoire n'a pas vocation à remplacer une tombe, il célèbre simplement le souvenir, dans un lieu tangible et inspirant. Le projet Sit in peace. Être la plateforme qui connecte les français à de nouveaux espaces de mémoire. Chaque commune ou organisation partenaire co-crée, avec l'équipe Sit in peace, un programme de bancs de mémoire cadré par un nombre de bancs disponibles, leur localisation, leur design, un objectif de collecte et le montant de la contribution demandé. Celui-ci est mis en avant sur une page dédiée, invitant des contributeurs à y participer. En échange de leur contribution, ils obtiennent une plaque commémorative personnalisée sur un banc de leur choix. Qui peut contribuer ? Les particuliers, les associations et les entreprises qui souhaitent se souvenir autrement. Le souvenir se cultive aussi chez soi. Tous les particuliers désireux d’installer un banc de mémoire avec une plaque personnalisée sur leur terrain privé pourront bientôt le commander sur la plateforme sitinpeace.fr. Une expérience responsable qui mise sur la proximité 🇫🇷 Des partenaires sourcés en France et en Europe qui produisent de manière raisonnée; Un design intemporel, des matiériaux français et durables (bois de pin douglas du Massif central et acier); Un look global qui dépend de son lieu d'installation; Pourquoi aujourd'hui ? Adoucir notre rapport à la mort En France, 9 personnes sur 10 expriment une forte inquiétude par rapport à la mort, pour eux ou leurs proches; et 37% de la population ne trouve pas oreilles assez attentives pour en parler. Le banc de mémoire nous aide à envisager l'après et à en discuter ensemble. Il nous permet de laisser une trace de notre passage sur terre et favorise la transmission d'une partie de notre histoire aux générations futures. Notre monde évolue, pourtant certaines choses restent... Les anciennes concessions funéraires perpétuelles et le vieillissement de la population causent la saturation des cimetières français. En 2040, 1/4 de la population aura plus de 65 ans. Certaines communes ne peuvent plus accueillir de nouvelles concessions sans grands travaux de rénovation. Logique mais injuste, certains français se voient donc refuser l'accès à l'inhumation hors résidence, dans leur ville de coeur. Les cimetières sont souvent jugés (parfois à tord) austères, impersonnels et d'un autre temps. Nombreux sont ceux qui appréhendent un jour de s'y retrouver : 54% des français se disent angoissés à l'idée d'être inhumé dans un cimetière et 8 personnes sur 10 aimeraient symboliquement reposer dans un endroit hors de ces murs, dans un lieu qui a compté dans leur vie. Enfin, les nouvelles générations n'entretiennent plus la même relation avec le cimetière. Elles s'y rendent moins d'une fois par an, en famille. Les mairies relèvent une forte hausse du nombre de concessions funéraires à l'abandon. Je pose la question. Qui nous rendra visite... ? Enrichir un concept qui a fait ses preuves ailleurs. Le concept de banc de mémoire est un phénomène très répandu, aussi bien dans les petites que les grandes villes anglo-saxonnes, depuis près de 100 ans. C’est le cas de Wellington, capitale néo-zélandaise, où les trois quarts de ses bancs sont de mémoire. Son jardin botanique, situé au coeur de la ville, en compte 190 à lui seul permettant à chacun de laisser son empreinte au contact de la nature et de la vie contemporaine. Grâce au digital, Sit in peace réinvente le concept et amorce une transformation culturelle profonde, en tissant un lien social universel. Favoriser le lien social tout en aidant nos communes à se financer. Depuis l'inflation et la crise énergétique, les communes françaises ont plus que jamais besoin d'aide pour se financer. Autour d’un projet fédérateur qui génère de l’engagement de la part des français, Sit in peace permet aux communes de bénéficier d’un nouveau canal de financement, grâce à la mise à disposition d'emplacements disponibles ; les bancs de mémoire. Elles obtiennent ainsi de l'aide pour financer l'entretien de leur mobilier et leurs espaces, ainsi que d’autres projets, dont culturels.

A propos de l'équipe. Une équipe engagée s'est formée autour de ce projet. Il n'en serait pas là sans elle. Lancelot Goron, designer industriel issu de la prestigieuse ENSCI - les ateliers, accompagne des projets d'architecture urbains de grande ampleur. Il dessine le premier banc Sit in peace et intervient sur l'intégralité du cycle de production. Originaire de Bretagne, il aime accueillir et faire plaisir. Il communie avec l'océan quand il surfe ses plus belles vagues. Chloé Roumy, experte en stratégie marketing et communication, se spécialise dans l'accompagnement de startups à impact. Elle devient responsable d’un incubateur ESS et partage ses expériences entrepreneuriales aux étudiants d’écoles supérieures. En tant que responsable marketing et bras droit stratégique, elle m'assiste depuis plusieurs mois dans la réalisation de cette campagne et dans la réflexion stratégique de l’entreprise. Elle ne compte plus ses voyages et ses belles rencontres. L'amour des autres et de la planète sont sa plus belle richesse. Thierry Goron, directeur photographie et réalisateur renommé, a accepté de réaliser le film de campagne. Il capture les images de plusieurs grandes expéditions dans le monde entier. Passionné de musique, il réalise aussi les clips de Philippe Catherine et Julien Doré. Peut-être reconnaissez-vous le lieu de tournage de Paris - Seychelles ? :) Et moi, Warren COOPMAN, fondateur de Sit in peace, spécialisé en développement commercial. Je suis sensible aux histoires de famille et impressionné par la beauté des grands espaces.