Astorias

Le magazine du voyage qui a du sens

Project visual Astorias
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Astorias

Manhattan, 1950, dans le lobby de l’hôtel Waldorf-Astoria, Blaise Cendrars s’installe, en quête d’inspiration pour de futurs écrits. Dans un fauteuil, il passe quatre jours et quatre nuits, voit défiler tout New York, noircit un carnet de notes. « J’en reviens le crâne bourré, au courant de toutes les moindres histoires de New York, de tous les potins. Et c’est beaucoup plus passionnant que les déjeuners dans un club d’intellectuels ou d’université », raconte celui qui, à 60 ans, a pourtant déjà tout vu, tout vécu, tout écrit. Se poser dans un coin de France ou du monde, prendre le temps de le raconter, différemment, grâce à des angles uniques. S’inspirer, découvrir, s’aérer, les poumons comme le cerveau. Voilà les promesses d’Astorias, magazine du voyage moderne, celui qui a du sens. Au programme, à partir de janvier 2025 : un grand reportage par semaine, haut de gamme, présenté dans une newsletter envoyée chaque mardi matin. Un positionnement premium et à haute valeur culturelle. Un modèle d’abonnement, à prix raisonnable. Sur le fond, Astorias entend reprendre la tradition française de l’écrivain-voyageur et du journalisme long format. Marcher dans les pas de Cendrars, qui assiste à la construction de Brasília ou traverse l’Atlantique à fond de cale. Dans ceux d’Albert Londres à Cayenne, d’Alexandra David-Néel sur les routes tibétaines, de Romain Gary en errance au Yémen ou de Stevenson au Monastier-sur-Gazeille... En alternance, la moitié de nos sujets concernent la destination France, l’autre moitié des destinations internationales. Avec en commun, des angles à fortes valeures culturelles -de l'architerture à la littérature, de l'œnologie à la musique- et une recherche de l’originalité et du pas de côté, que ce soit à la découverte d’une abbaye millénaire du Massif central, d’un camp de surfeurs au Sahara occidental ou d’atolls isolés du Pacifique Sud. Sur la forme, Astorias veut utiliser le meilleur de ce que le numérique peut apporter au journalisme, et en rejeter les excès. Chacun de nos textes sont ponctués de diaporamas, de vidéos d’illustration brutes, de playlists musicales et de listes commentées de livres et de films entourant la destination en question. Un moyen de proposer un voyage culturel total, immersif et sensible. Chaque reportage est en outre complété de longs encadrés pratiques proposant conseils et sélections de tables ou logements soigneusement testés. Par des humains, pour des humains, loin des IA génératives et des recommandations algorithmiques. Astorias, c’est la découverte sur le temps long, c’est l’anti Tik-Tok et l’anti-Réels, l’anti-culture de l’instant. Mixer le meilleur d’hier avec le meilleur d’aujourd’hui donc, et s’attacher à garder un esprit libre et ouvert. Ceci dans un monde qui a tendance à se rétrécir et dans un cadre médiatique et sociétal préférant souvent l’hystérie à la nuance. Derrière Astorias, enfin, se cache une équipe de journalistes expérimentés, routards des pages tourismes et cultures de la presse nationale, et de grandes plumes littéraires invitées. Tous trouvent dans nos pages les mêmes espaces de grandeur et de liberté qu’ils parcourent. Tous s’attachent à une objectivité sacrée, et partagent une vision d’un voyage moderne et sensé. Pour vous montrer comment la vie, partout, peut prendre de drôles de tournures. Parmi les sujets déjà réalisés : Old Vegas : aux origines du vice / Le renouveau des vins du Languedoc / Taghazout : du surf au chic / Epernay la (vraie) capitale du champagne / À Hambourg, sur les traces de l'ancêtre du hamburger / Medimurje : le vignoble des quatre nations / La Slovénie, côté mer, À la découverte de l'art nouveau hongrois dans les rues de Budapest ...
Pierre Georges, à la tête de l'éditorial, est journaliste spécialiste du monde du voyage et de la culture, et entend avec Astorias lier ces deux mondes. Anciennement à la tête des éditions en ligne de Livres Hebdo, il sévit actuellement dans les pages du Figaro voyages et de l'Écho touristique, et a collaboré avec de nombreux autres grands titres de la presse touristique, culturelle ou généraliste. Marie Troncy, en charge du commercial, vient des services commerciaux des grands établissements hôteliers et de bien-être, étant passée notamment dans les rangs du Méridien Nouméa, du Château de Pizay ou encore de la Villa Delisle à la Réunion. Derrière eux, un réseau de pigistes expérimentés, routards des pages tourismes et cultures de la presse nationale, mais aussi des grandes plumes littéraires spécialistes de l'aventure sous toutes ses formes, invitées occasionnellement... Surprise !

Allocation of funds

Nous aider au lancement concret du projet, prévu pour la première quinzaine de janvier 2025. Nous permettre de financer convenablement nos premières piges. Si nous, fondateurs, ne nous verserons pas de salaires, nous consacrerons nos premiers budgets à notre réseau de journalistes-pigistes, pierre angulaire de nos contenus. Accueillir nos premiers abonnés. Participer à l'élaboration de notre mook papier annuel, en projet pour décembre 2025. Plus globalement, participer matériellement au lancement d'un magazine en ligne indépendant et de qualité.

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