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Chers KissBankers,</p>
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Toute l'équipe de Belleville en Vue(s) vous remercie pour votre générosité. Grâce à vous le <strong>Festival des Nouveaux Cinémas<span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px"> </span>Documentaires <b style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">#3</b></strong> va pouvoir s'ouvrir en toute sérénité!</p>
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Nous sommes prêts à défricher de nouvelles écritures cinématographiques, ainsi qu'à ouvrir des champs de réflexions auprès de tous les publics, du vendredi 15 novembre au dimanche 24 novembre.</p>
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N'hésitez pas à découvrir les détails de notre programmation ici : http://www.belleville-en-vues.org/IMG/pdf/brochure291013.pdf</p>
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<span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">En attendant l'ouverture des festivités, nous vous invitons <strong>(sur réservation obligatoire)</strong> à la soirée de lancement du </span><b style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires #3</b><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">, le </span><b style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">mercredi 6 novembre 2013</b><span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">, à partir de 19h30 à l'Atelier Sainte Marthe, nouvel espace culturel situé dans le 10ème arrondissement (26 rue du Chalet, 75010). </span></p>
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<span style="font-family:arial,sans-serif;font-size:13px">Pour participer à cette soirée veuillez confirmer votre présence à cette adresse : contact@belleville-en-vues.org</span>.</p>
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Encore merci à tous ! <span class="userContent">Thanks, Obrigada, Oshe, Grazie Mille, Asante, Dankie, 감사합니다, ขอขอบคุณคุณ</span> !</p>
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<span class="userContent">et au plaisir de vous voir pendant notre Festival ! </span></p>
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L'équipe de Belleville en vue(s)</p>
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<strong> </strong></p>
Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires
Un festival jeune, nomade et créatif autour des nouvelles écritures cinématographiques /15-24 novembre 2013
Successful
70
Contributions
11/04/2013
End date
€4,530
Out of €4,500
101 %
The publications
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Bonjour à tous,</p>
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Ca y est, le Mois du Film Documentaire a officiellement commencé. Nous avons eu l'occasion de découvrir le magnifique film L'Escale qui sortira en salle prochainement, lors de la soirée d'ouverture de la manifestation nationale hier.</p>
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Le festival approche à grands pas : nous sommes à J-5 de la fin de la collecte et 62% des fonds ont déjà été récoltés. Nous sommes confiants car de plus en plus de partenaires nous rejoignent dans l'aventure !</p>
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Même France Inter parle du Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires :<a href="http://www.franceinter.fr/evenement-festival-des-nouveaux-cinemas-documentaires" target="_blank">http://www.franceinter.fr/evenement-festival-des-nouveaux-cinemas-documentaires</a></p>
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Belle journée ensoleillée,</p>
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Bien à vous,</p>
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L'équipe de BEV,</p>
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<img class="thumb" src="http://www.franceinter.fr/sites/all/themes/franceinter/grandlogo.png" /><a href="http://www.franceinter.fr/">France Inter</a><a class="provider" href="http://www.franceinter.fr">Franceinter</a> - France Inter un site du groupe Radio France. Retrouvez le direct, les émissions, les podcasts, l'info, les vidéos...</div>
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Bonsoir à tous,</p>
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Nous sommes heureux de vous annoncer que le programme du festival est enfin en ligne.</p>
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Vous y trouverez toutes les informations sur les projections, rencontres et tables rondes ainsi que les actions culturelles qui seront menées dans le cadre du festival.</p>
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Vous n'avez qu'à cliquer ici pour découvrir ce que notre équipe a mijoté pour réchauffer vos soirées de novembre : <a href="http://www.belleville-en-vues.org/IMG/pdf/brochure251013.pdf" target="_blank">http://www.belleville-en-vues.org/IMG/pdf/brochure251013.pdf</a></p>
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J-9 et quasiment 50% des fonds réunis avant la fin de la collecte : restons les doigts croisés et continuons de communiquer autour du projet. Merci encore pour votre soutien !</p>
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Bonne lecture de la brochure et excellente fin de week end,</p>
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Clémentine pour l'équipe de Belleville en Vue(s)</p>
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<img alt="Large_untitled-1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/46454/large_Untitled-1.jpg" /></p>
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<a href="http://cinemadocumentaire.files.wordpress.com/2011/01/logo-blog-documentaire.png" target="_blank"><img alt="" height="137" src="http://cinemadocumentaire.files.wordpress.com/2011/01/logo-blog-documentaire.png" style="max-width: 540px;" width="261" /></a></div>
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"L’essence de ce blog réside quelque part entre les lignes du <span style="color:#800080;"><strong><a href="http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2011/01/20/suspens-et-desirs-par-jean-louis-comolli/"><span style="color:#800080;">texte inaugural de Jean-Louis Comolli</span></a></strong></span>.</p>
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C’est un essai pour défendre une certaine conception du documentaire, trop souvent galvaudé par les médias traditionnels. Une tentative pour se prémunir contre les agressions que sont pour le regard ces représentations audiovisuelles de consommation courante.</p>
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Partant du constat de l’absence de ce genre de médiation en kiosques ou sur Internet, <strong><span style="color:#800080;">Le</span> <span style="color:#000000;">Blog <span style="color:#800080;">documentaire</span></span></strong> s’inscrit dans l’actualité de ce cinéma pour notamment réaffirmer la place de l’auteur, sa subjectivité, son rapport au temps ou sa perception de l’espace… pour explorer, également, ses nouvelles ramifications – nous pensons ici aux webdocumentaires.</p>
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Photos, vidéos, analyses de films, entretiens avec leurs réalisateurs, passeurs et autres facilitateurs permettront un accès privilégié à ce monde multiple, contrasté et foisonnant que forment les webdocumentaires et le cinéma documentaire, considéré ici comme un art à part et entier…"</p>
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<strong>"Le documentaire : la part vivante du cinéma"</strong></div>
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"Longtemps négligé par les cinéphiles, le documentaire est aujourd’hui<span style="color:#800080;"><strong> la part la plus vivante du cinéma</strong></span>. Dans ce monde saturé de spectacles et de publicités, de programmations marchandes et de fictions standardisées, livré aux langues de bois et aux voix des maîtres, l’aventure documentaire apparaît comme <strong>une forme de résistance</strong>. Nous filmons le plus souvent des hommes et des femmes de tous les jours, bien réels, et – pour le meilleur ou pour le pire – inscrits dans des situations elles aussi réellement vécues, dans des rapports de force, des souffrances et quelquefois des violences qui ne sont pas imaginaires. Ceux que nous filmons ne font pas partie des maîtres du monde. D’ailleurs, les seigneurs d’aujourd’hui ne se laissent plus filmer que par leurs domestiques. <strong>Les gens du peuple, eux, ont encore l’espoir que le cinéma puisse dire quelque chose de leur réalité</strong>. Ils y croient encore. Ils ne sont pas – pas encore – devenus ces « petits malins » façonnés par la publicité, qui croient qu’ils ne croient plus..."</div>
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Retrouvez l'intégralité de l'article "Suspens et désirs" par Jean-Louis Comolli ici :<a href="http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2011/01/20/suspens-et-desirs-par-jean-louis-comolli/" target="_blank"> http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2011/01/20/suspens-et-desirs-par-jean-louis-comolli/</a></div>
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Retrouvez pendant notre Festival, et pour la première fois en France, une sélection de films d'animation Africain proposée par Mohamed Ghazala, Président de l’ASIFA (Africa and Arabia’s chapter or The International Association of Animation Filmmakers)</p>
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Deux séances qui se dérouleront le 17 novembre 2013 à 14h à l'Espace Khiasma (Les Lilas) et le 24 novembre 2013 au Musée Commun (20ème arrondissement de Paris) à 15h !</p>
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Voici le programme !</p>
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<img alt="Animation_2" height="241" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/45794/animation_2.png" width="251" /></p>
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• Bon Voyage Sim, de Moustapha Alassane (1963 / Niger / 4'47)<br />
• Bear Jungle, de Brent Dawes (2006 / Afrique du Sud / 5')<br />
• Oni Ise Owo, de Kenneth Shofela Coker (2009 / Niger / 3')<br />
• Dadi Doudi, de Boubaker Boukhari (2007 / Tunisie / 5')<br />
• Ilm Le Savoir, de Ridha And riantomanga (2009 / Madagascar / 3')<br />
• The Essence, de Ebele Okoye (2009 / Niger / 5'53)<br />
• Toto's Journey, de A. Muchilwa et D.Semwaiko ( 2005 / Kenya / 1'42)<br />
• Sayari Yetu, de M.Ghazala et B.Tigabu (2006 / Kenya / 2'46)<br />
• Trip, de Nisren Abasher et Anna-lisa Lippolbt (2008 / Soudan / 3')<br />
• Honayn's Shoe, de Mohamed Ghazala (2009 / Égypte / 3'30)<br />
• La Femme Mariée A Trois Hommes, de Cilia Sawadogo (1991 / Burkina Faso / 6')<br />
• Kono, de Justin Zarbo ( 2009 / Burkina Faso / 5')</p>
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<img alt="Image_animation" height="244" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/45792/image_animation.png" width="244" /> </p>
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Belleville en Vue(s) s'attache tout au long de l'année à proposer des projections de films et des ateliers à des publics éloignés de l'offre cinématographique. Il en sera de même au cours de notre Festival avec une séance pour les structures socio-éducatives à la Maison des métallos, puis une séance ouverte à tous au Centre Emmaüs Louvel-Tessier !</p>
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<strong>Mardi 19 novembre | 14h | La Maison des Métallos</strong><br />
Séance en direction des publics migrants en apprentissage du français (séance adressée aux<br />
structures socio-culturelles)</p>
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Les projections mensuelles de films et les ateliers “parole & cinéma” proposés par Belleville en<br />
Vue(s) découlent d'une volonté d'éducation à l'image et de sensibilisation à des oeuvres<br />
cinématographiques auprès de publics en apprentissage de français. Cette initiative vise à<br />
mettre en confiance les apprenants vis à vis de leur capacité à s'exprimer oralement sur des<br />
enjeux soulevés par le cinéma, que cela soit visuellement (la puissance évocatrice de l'image)<br />
et thématiquement. Parce que la langue est un vecteur essentiel d’expression et d’échange,<br />
Belleville en Vue(s) défend l’idée du cinéma comme support au langage, dans sa pratique et<br />
son enrichissement lexical.</p>
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<strong>Mercredi 20 novembre | 20h30 | Espace Culturel Emmaüs Louvel-Tessier</strong><br />
SABABOU, de Samir Benchikh (2013 / France / 100' / Prod : Docker Films)</p>
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Le Centre Louvel-Tessier est un centre d'hébergement d'urgence et de stabilisation géré par<br />
Emmaüs Solidarité. Sa particularité réside dans la place accordée à la culture, aux pratiques<br />
artistiques et à la citoyenneté, mises au cœur de son action sociale. Cette séance est organisée<br />
dans le cadre des Écrans d'Emmaüs, ciné-club mensuel proposé par Belleville en Vue(s).</p>
<p dir="ltr">
<strong>Radio En Chantier (REC) est la webradio des foyers</strong> dont le fonctionnement est géré par les résidents du foyer Bisson (Paris 20eme) et les membres de l’association<em> Attention Chantier.</em></p>
<p>
La radio des Foyers est née de la rencontre entre résidents des foyers de travailleurs migrants africains et bénévoles de l’association <a href="http://www.attentionchantier.org">Attention Chantier</a> (qui porte le festival de cinéma des foyers depuis 5 ans), avec l’envie commune de se réapproprier un espace de vie quotidienne, en se formant et en créant ensemble un espace de paroles, de débats, de culture qui puisse être entendu jusqu’au continent Africain : La Radio des Foyers.<br />
Cette radio est transgénérationnelle, c’est une aventure collective qui rassemble autour de la citoyenneté, de l’expression et de la démocratie. Elle est co-réalisée par les résidents des foyers de travailleurs migrants, les bénévoles de l’association Attention Chantier et les riverains du quartier Bisson dans le 20è arrondissement.</p>
<p>
<strong>“La radio des foyers, c’est votre parole, c’est notre voix !”</strong>, c'est un moyen de libérer la parole, parce qu’avant d’être un résident de foyer ou un migrant on est d’abord un citoyen qui a forcément des choses à dire !</p>
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Le samedi 5 octobre, la radio des foyers sortait de ses murs pour installer son studio éphémère dans le jardin du Pavillon Carré de Baudouin à Paris 20è, invitée par la Nuit Blanche. L’équipe propose trois heures d’émission expérimentale animée par Sékou Diallo et Elise Aubry. AU MENU : > LES COULISSES DE LA NUIT BLANCHE...</p>
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Écoutez l'émission ici : http://www.radiodesfoyers.org/ep/la-radio-des-foyers-squatte-la-nuit-blan</p>
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<strong>A l'occasion du festival, la radio des foyers installe son studio samedi 16 novembre aux Ateliers Varan </strong>pour enregistrer la table ronde modérée par Thierno Ibrahima DIA : <em>"Décoloniser les imaginaires : la fabrique du réel dans les nouveaux cinémas d'Afrique"</em> et réaliser des entretiens avec les cinéastes, les intervenants et le public.</p>
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Belleville en Vue(s) attache une importance particulière depuis 10 ans, à la découverte des nouveaux talents et des cinémas contemporains.</p>
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Raison pour laquelle elle a choisi cette année de faire un focus, dans le cadre du <em>Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires</em>, sur les nouvelles formes de création interactives, communément appelées webdoc, POM, Haïku...</p>
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<strong>➢ POM, webdocumentaire, vidéographie : lexique des nouveaux formats</strong></p>
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<strong>Les différents outils numériques permettent l'émergence aujourd'hui de nouvelles formes narratives destinées aux nouveaux médias.</strong></p>
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La crise dans les médias aura eu le mérite d’accélérer les initiatives des photojournalistes dans le “digital story telling”. Depuis 2005, une nouvelle orchestration éditoriale s’est mise en place pour l’ensemble des “journalistes de l’image” et des écritures narratives ont rencontré leurs publics. Même si nous sommes toujours dans l’essai, les enjeux sont réels : des métiers ont évolué (<em>journaliste multimédia, iconographe bimédia</em>), d’autres se sont créés (<em>vidéographe, community manager</em>) et des formats (ou capsules) ont vu le jour (<em>POM, vidéographie, Websérie et Webdocumentaire</em>) permettant à l’image fixe, désormais en mouvement, d’interagir.</p>
<p>
<span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif">S</span>‘informer en tous lieux et à tout moment… Aujourd’hui on parle de fragmentation de l’information visuelle, de transversalité du récit, de multiplication des supports et des écrans, de développement des communautés, l’image (fixe ou animée) est d’ailleurs devenue “conversationnelle” dans les réseaux sociaux.</p>
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POM</h2>
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Une <strong><em>Petite Œuvre multimédia</em></strong> (acronyme <em>POM</em> ou <em>POEM</em>), appelée parfois <em>Petit Objet Multimédia</em>, est une réalisation vidéo ou flash qui associe photographe, réalisateur, webdesigner, créateur sonore et illustrateur.</p>
<p>
Ce média linéaire est basé sur un <strong>montage d’après des photographies uniquement</strong>, sa <strong>réalisation sonore est très poussée</strong>. Souvent articulé selon le choix d’un angle et d’une écriture spécifique, l<strong>e point de vue de ses auteurs sert de fil conducteur</strong>. Une <em>POM</em> peut aussi développer une problématique ou apporter un éclairage complémentaire à une information d’actualité.</p>
<p>
Ce <strong>format court </strong>(entre une et quatre minutes) peut appartenir au genre de la fiction, du documentaire ou du reportage, il fait partie avec le <em>web-reportage</em>, le <em>webdocumentaire</em> et la <em>vidéographie</em>, des <em>nouveaux médias</em> ou <em>nouveaux supports de l’information</em>.</p>
<p>
La <em>Petite Œuvre Multimédia</em> a été <strong>créée et développée en 2005 par <em><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Territoires_de_fictions">Territoires de Fictions</a></em></strong> dans le projet « France à quoi tu penses ? ». Selon <a href="http://www.virginieterrasse.com/"><strong><em>Virginie Terrasse</em></strong></a>, photographe et directrice artistique de TdF (avec <a href="http://benjaminboccas.com/"><strong><em>Benjamin Boccas</em></strong></a>), la <em>POM</em> « anime l’image fixe, lui apporte une 3e dimension et permet une approche directe, sensitive et ludique du sujet » et constitue une « passerelle entre information et création ». Mode de narration innovant, la <em>POM</em> est un service <em>RichMedia</em> et est par nature un <strong>format éditorialisé spécifique au Web</strong>.</p>
<h2>
Vidéographie</h2>
<p>
Proche de la <em>POM</em>, la <em>vidéographie</em> est également un <strong>média linéaire d’information éditorialisée</strong>, associant un montage <strong>de photos et de vidéo</strong> réalisée à partir d’un réflex numérique. En développant l’enregistrement vidéo Full HD sur son reflex <em>EOS 5D Mark II</em>, la marque <em>Canon</em> a créé accidentellement de nouvelles pratiques et un nouveau métier : <em>Vidéographe</em>. La série <a href="http://paris-ile-de-france-centre.france3.fr/brevesdetrottoirs/"><em>Brèves de trottoirs</em></a>, réalisée par <strong><em>Olivier Lambert</em> </strong>et <a href="http://www.salvathomas.com/"><strong><em>Thomas Salva</em></strong></a> (co-produite par <a href="http://www.darjeelingprod.com/"><em>Darjeeling</em></a>) est un bel exemple de réussite, elle a été diffusée sur <em>France3</em> et dans <em>le Parisien</em>.</p>
<h2>
Webdocumentaire</h2>
<p>
Le <em>webdocumentaire</em> (souvent raccourci en <em>webdoc</em> ou <em>webdocu</em>) est un <strong>média d’information conçu pour le web. Il se caractérise par une navigation, de l’intéractivité et une interface regroupant du <em><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/RichMedia">Richmedia</a></em></strong>. Son récit non-linéaire, s’appuie sur un écriture spécifique, enrichit de vidéos, textes, photographies, créations sonores. Souvent connecté aux <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seaux_sociaux">réseaux sociaux</a>, aux <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Plateforme_communautaire">plateformes communautaires</a> ou à un <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Blog">blog</a>, le webdocumentaire reste toutefois un travail d’auteur, à ne pas confondre avec le webreportage, qui est un outil journalistique.</p>
<p>
Historiquement, deux sociétés sont spécialisées dans la production de Webdocumentaire : <a href="http://www.upian.com/"><em>Upian</em></a> dirigée par <strong><em><a href="http://www.youtube.com/watch?v=RudlHlDTI2Y&feature=channel">Alexandre Brachet</a> </em></strong>et <a href="http://www.honkytonk.fr/"><em>Honkytonk</em></a> par <a href="http://webdocu.fr/web-documentaire/2010/03/12/entretien-avec-arnaud-dressen-honkytonk/"><strong><em>Arnaud Dressen</em></strong></a> et <strong><em>Guillaume Urjewicz</em></strong>. Rejoints depuis par <em><strong><a href="http://www.youtube.com/watch?v=7GJdEazxbds">Judith Rueff</a> </strong></em>de l’<em>agence de reportageS</em> <a href="http://www.ligne4.fr/"><em>Ligne 4</em></a>, <a href="http://www.youtube.com/watch?v=u3vff0cwQbI"><strong><em>Cécile Cros et Laurence Bagot</em></strong></a> de la société <a href="http://www.narrative.info/"><em>Narrative</em></a>, <a href="http://www.freelens.fr/lucas-menget-france-24-suite-a-la-table-ronde-sur-les-nouveaux-formats-de-reportage-multimedia/"><strong><em>Lucas Menget</em></strong></a> du <a href="http://www.france24.com/static/infographies/lune/index.html"><em>studio multimédia de France 24</em></a> ainsi que le photographe indépendant <strong><em><a href="http://samuel-bollendorff.com">Samuel Bollendorff</a> </em></strong>qui multiplie les webdocs depuis deux ans. Les productions <a href="http://www.thanatorama.com/"><em>Thanatorama</em></a> (2007, sous la direction artistique d’<a href="http://webdocu.com/?p=511"><strong><em>Ana Maria de Jésus</em></strong></a>), <em><a href="http://gaza-sderot.arte.tv/">Gaza/Sderot</a> </em>(2008), <a href="http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/visuel/2008/11/17/voyage-au-bout-du-charbon_1118477_3216.html"><em>Voyage au bout du charbon</em></a> (2008) et <a href="http://prisonvalley.arte.tv/?lang=fr"><em>Prison Valley</em></a> (2010) ont marqué la jeune histoire de ce genre nouveau.</p>
<p>
2010 reste sans conteste l’année de maturité pour le webdocumentaire. Le genre a trouvé sa place sur la toile, une place prometteuse et un peu moins marginale. Une place qui est aujourd’hui aussi peu à peu occupée par les <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Documentaire">documentaristes</a> et les <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Journaliste">journalistes</a> multimédia.</p>
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</p>
<p>
Retrouvez l'intégralité de l'article rédigé par Wilfrid Estève pour OWNI :<a href="http://" target="_blank">http://owni.fr/2010/12/06/pom-videographie-webdocumentaire%E2%80%A6-petit-lexique-des-nouveaux-formats/</a></p>
<p>
<strong>➢ Des projections et des rencontres professionnelles : la section Docs 2.0 du festival</strong></p>
<p>
<br />
<em>« Non seulement le multimédia est un langage entièrement nouveau, mais c’est LE langage que<br />
j’attendais depuis que je suis né </em>», disait Chris Marker3. Son CD-Rom Immemory, conçu en 1997, est<br />
peut-être la première tentative d’œuvre multimédia créée par un auteur-réalisateur.<br />
D'autres depuis s'y sont intéressés, en effet de plus en plus d’auteurs-réalisateurs, de collectifs et de<br />
producteurs s'engagent dans la réalisation et la production de nouveaux formats webdocumentaires.</p>
<p>
Les structures de formation au cinéma documentaire et les associations d'éducation à l'image emboitent le<br />
pas en mettant en place des sessions consacrées aux nouveaux formats (webdocumentaire, POM,<br />
Haiku). Ce focus Docs 2.0 nous permettra d'explorer ces nouvelles écritures.<br />
Retrouvez dans le cadre du<strong> Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires</strong>, 3 séances de projections/rencontres autour d’oeuvres multimédia et 1 rencontre professionnelle :</p>
<p>
</p>
<p>
- <strong>DANS LES MURS DE LA CASBAH</strong>, de Céline Dréan (2012 / Prod : Vivement lundi ! - Université Rennes 2)<br />
Le webdocumentaire Dans les murs de la Casbah offre une exploration inédite et interactive du mythique quartier d’Alger. La Casbah d’Alger porte dans ses murs autant l’Histoire du pays que les problématiques urbaines de l’Algérie moderne. La<br />
Casbah ne se livre pas d’emblée. Mais au coeur de ses ruelles se racontent des histoires. Derrière ses<br />
murs épais, elle cherche son avenir, entre une mémoire vivante et des rêves esquissés. L'idée de ce webdocumentaire est partie de recherches d'universitaires algérois et rennais en sociolinguistique urbaine. Ensuite Céline Dréan a imaginé cette immersion dans cet espace, symbole de l'identité algérienne.</p>
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<p>
- <strong>LA DUCE VITA</strong>, de Cyril Bérard et Samuel Picas (2013 / Prod : Darjeeling)<br />
Le 28 octobre 1922, les chemises noires de Mussolini marchaient sur Rome et prenaient le pouvoir en Italie. 90 ans plus tard, le film interactif La Duce Vita plonge les internautes dans le quotidien du village natal du dictateur. Une ville créée ex novo<br />
pour servir le culte du dictateur, pour faire la propagande du mythe des origines de l’homme<br />
nouveau. La Duce Vita est un documentaire en trois actes. Dans chaque acte, des films principaux constituent la trame principale. Des points d’interactivité viennent ponctuer le récit pour l’augmenter avec des interventions de spécialistes (historiens, philosophes, architectes, etc.).</p>
<p>
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<p>
- <strong>SCARS OF CAMBODIA</strong>, d'Emilie Arfeuil et Alexandre Liebert (en partenariat avec le Studio<br />
Hans Lucas et Hélium Films)<br />
Tut est un pêcheur de 52 ans vivant à Kampot. Malgré la barrière de la langue, il a raconté, pour la première fois et sans mots, son passé sous les Khmers Rouges, à une photographe et un réalisateur, mimant les tortures subies en prison l'année de ses 15 ans. Ce projet partage cette rencontre et témoigne de la mémoire enfouie, de la manière dont elle transparaît dans les gestes, les attitudes et les regards, la manière dont elle marque quelqu'un à vie et constitue une personne. Les traumas physiques<br />
et psychologiques de Tut permettent de mettre en lumière les cicatrices historiques du Cambodge.</p>
<p>
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<em>Toutes les séances sont suivies d'échanges avec les réalisateurs et les membres des équipes des films.</em></p>
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Une table ronde <strong>"Esthétiques et nouvelles formes de narration"</strong> animée par Nicolas bole et Cédric Mal du<strong> Blog Documentaire</strong></p>
<p>
s'interrogera sur les frontières et filiations entre documentaire et webdocumentaire, les apports de ces<br />
formats dans la création documentaire contemporaine en termes d'esthétique et de narration et les nouvelles pratiques de diffusion qui incombent à des objets initialement prévus pour un usage individuel inventent-ils</p>
<p>
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Intervenants (sous réserve) :<br />
<strong>– Wilfrid Estève et Virginie Terrasse (Studio Hans Lucas)<br />
– Les Ateliers Varan<br />
– Le Collectif Tribudom et L'École du webdocumentaire « Pointvue »<br />
– France TV, direction des nouvelles écritures<br />
– Marianne Levy-Leblond (responsable des productions web et des projets transmédias,<br />
Arte France)<br />
– Claire Simon (réalisatrice)<br />
– Faissol Fahad Gnonlonfin (réalisateur et producteur)<br />
– Céline Dréan (réalisatrice et productrice)<br />
– Cyril Bérard et Marc Lustigman (Darjeeling Production)<br />
– Laurent Duret (producteur, Les Films d'Ici)</strong></p>
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Bonjour à tou-te-s,</p>
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Dans le cadre de la <strong>saison de l'Afrique du Sud en France</strong> et de notre partenariat avec <em>Encouters - South African International Documentary Festiva</em>l, Belleville en Vue(s) proposera une sélection de films documentaires d'étudiants de l'école Big Fish dans le cadre du <em>Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires</em>.</p>
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Le festival <em>Encounters - South African International Documentary Festival</em> est <strong>le premier festival de cinéma documentaire sur le continent africain</strong>. Il propose des projections, rencontres avec des professionnels et masterclass à Cape Town et Johannesburg et vient de fêter son 15ème anniversaire cette année !</p>
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Voici la liste des films des jeunes réalisateurs sud africains que vous pourrez découvrir <strong>pour la 1ère fois en France</strong> :</p>
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• My Last swim, de Lesego Lediga (2012 / Afrique du Sud / 7’46’’ / Prod : Big Fish) // <strong>Best Short Documentary Film au Festival du Film Black de Montréal cette année</strong><br />
• Bush Trails, de Davison Mudzingwa (2012 / Afrique du Sud /8’53’’ /Prod : Big Fish)<br />
• Garden of my ancestors, de Tsholofelo Monare (2012 / Afrique du Sud / 16’ /Prod : Big Fish)<br />
• Strong Bones, de Dowelani Nenzhelele (2012 / Afrique du Sud /8’32’’ /Prod : Big Fish)<br />
• Malume No Mshana, de Zolani Ndevu (2012 / Afrique du Sud /9’10’’ /Prod : Big Fish)<br />
• Sea Skeleton, de Tamsin Reynolds, (2012 / Afrique du Sud /11’04’’ /Prod : Big Fish)<br />
• The Colour of freedom, de Xander Foster (2012 / Afrique du Sud /7’04’’ / Prod : Big Fish)</p>
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Bonne semaine à tous et à très bientôt,</p>
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L'équipe de Belleville en Vue(s)</p>
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<u><strong>LE MOT DU PARRAIN</strong></u></p>
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C'est avec un vif plaisir que j'ai accepté de parrainer l'association Belleville en Vue(s)<br />
I'an dernier en raison de la<strong> <em>qualité de sa programmation et de son engagement social et culturel</em></strong><br />
auprès de publics trop souvent éloignés d'une offre artistique exigeante et libre.<br />
En effet, j'attache une importance particulière aux structures qui, comme Belleville en<br />
Vue(s), s'engagent dans l'<strong><em>accès à la culture cinématographique pour tous</em></strong>.<br />
Cette association qui œuvre depuis dix ans dans les 4 arrondissements du grand<br />
Belleville est un acteur clé du paysage culturel et cinématographique du Nord Est Parisien.<br />
<strong><em>Belleville en Vue(s) est une pépinière d'idées et de talents</em></strong> à l'échelle d'un quartier<br />
populaire vivant et diversifié. Pour preuve elle développe sans cesse de nouvelles activités,<br />
comme elle le fait depuis 3 ans avec le Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires.<br />
Toujours dans un souci de mixité sociale et de décloisonnement des publics, le Festival s'en va<br />
à leur rencontre dans différents lieux (les Ateliers Varan, le centre culturel Emmaüs, l'Espace<br />
Khiasma, la Maison des Métallos, Carré de Baudouin) et se délocalise même le temps d'une<br />
projection à Porto Novo au Bénin.<br />
J'espère que vous aussi vous apprécierez la qualité artistique du festival et sa volonté de<br />
nourrir le débat critique. En développant au-delà du cercle des professionnels une culture du<br />
cinéma documentaire, <em><strong>le Festival est plus que jamais le lieu privilégié pour appréhender un<br />
monde en ébullition, chaotique, terrifiant mais à quel point merveilleux</strong></em>.</p>
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Bon festival à tous,</p>
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<strong>Rabah Ameur-Zaïmeche</strong></p>
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Un <i>PARCOURS DE CINEMA en festivals</i>, élaboré par le Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires sera proposé à des participants accompagnés par différentes structures sociales et des jeunes suivis par la Protection Judiciaire de la Jeunesse, en collaboration avec KYRNEA International, Coordination nationale Passeurs d’images.</p>
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Plus d'info :<a href="http://www.passeursdimages.fr/Festival-des-Nouveaux-Cinemas" target="_blank">http://www.passeursdimages.fr/Festival-des-Nouveaux-Cinemas</a></p>
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"Découverte ensorcelante du FID de Marseille", Mati Diop, fille du musicien Wasis Diop, a remporté le Grand Prix du Festival International du Documentaire de Marseille.</p>
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Son film "Mille Soleils" est un voyage à entre Dakar et l'Alaska sur les traces du film culte "Touki Bouki", réalisé dans les années 70 par son oncle Djibril Diop Mambety, un des plus grands cinéastes sénégalais de sa génération, aujourd'hui décédé.</p>
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Retrouvez "Mille Soleils" et "Atlantiques" samedi 23 novembre 2013 dans le cadre du Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires#3.</p>
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Vous souhaitez en savoir plus ? Lisez cet article du Monde : <a href="http:///www.lemonde.fr/culture/article/2013/07/12/la-tendresse-explosive-de-mati-diop_3446680_3246.html" target="_blank">http:///www.lemonde.fr/culture/article/2013/07/12/la-tendresse-explosive-de-mati-diop_3446680_3246.html</a></p>
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A très bientôt,</p>
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L'équipe de Belleville en Vue(s)</p>
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Nouveau jalon dans l’exploration des liens possibles entre le monde du documentaire dit "traditionnel" et l’univers du webdocumentaire : <em><strong><span style="color:#800080;">Le</span> <span style="color:#000000;">Blog</span> <span style="color:#800080;">documentaire</span></strong></em> a tenu à vous livrer ici cet entretien avec Céline Dréan, auteur du webdocumentaire "<a href="http://casbah.france24.com/" target="_blank"><strong><em>Dans les murs de la casbah</em></strong></a>".</p>
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http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2012/04/04/dans-les-murs-de-la-casbah-un-webdoc-de-celine-drean/</p>
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Bonsoir à tou-te-s,</p>
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Par ce 1er mel nous souhaitons vous remercier pour votre soutien. Déjà 25% de la collecte est réuni et c'est en partie grâce à vous !</p>
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Continuons nos efforts, de plus en plus de partenaires nous soutiennent. Après le festival <span class="st"><em>Encounters South African International Documentary Festival, </em></span>le studio de création Hans Lucas, le Blog Documentaire, Africadoc Bénin ou encore le collectif Tribudom, ARTE France et France TV nous ont rejoint et participeront à une des tables rondes organisées pendant le festival.</p>
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Le catalogue est en phase de finalisation, vous pourrez y retrouver l'ensemble du programme. Il pourra si vous le désirez, vous être transmis par mel sur simple demande à contact@belleville-en-vues.org.</p>
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Nous reviendrons vers vous pour plus de nouvelles très prochainement...</p>
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En attendant, nous comptons sur votre mobilisation à nos côtés.</p>
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A bientôt,</p>
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L'équipe de Belleville en Vue(s)</p>
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