Le projet en deux mots :

Publication contenant des portraits de comédiens belges photographiés avec un objet de leur univers théâtral. Chaque artiste écrit un texte qui sera joint au portrait.

A propos de moi :

Patricia Mathieu photographe, j’ai déjà réalisé 2 publications photographiques , l’une avec des artistes, sculpteurs, peintres "129 artistes belges"" et l’autre avec des dessinateurs de bande-dessinées belges "Petits trésors de dessinateurs" (édition Luc Pire).
Les informations se trouvent sur mon site www.patriciamathieu.be .

Le projet en détails:

Suite aux rencontres d’artistes dans le milieu du théâtre, j’ai entamé une série de portraits de comédiens belges. Le confinement débutant mi-mars, j’ai décidé de réaliser la publication en offrant les bénéfices de ce travail photo aux artistes en difficulté par le biais de l’union des artistes belges dont le président est Pierre Dherte validant mon projet.
Les comédiens rencontrés furent enthousiastes à l’idée du projet. Une cinquantaine d'artistes figurent déjà dans la mise en page de la publication. Chaque artiste aura une double page dans le livre: une avec son portrait et la seconde avec un texte qu'il écrit à propos de l'objet choisi.

Parmi les artistes : Bernard Yerlès, Marie-Paule Kumps, Christelle Delbrouck, Bénédicte Philippon, Edwige Baily , Yoann Blanc, Laurence Briand, Jacqueline Bir, Pierre Pigeolet, Marc Deroy, Tania Gabarski, Pierrette Laffineuse, Maude Richard, Damien de Dobbeleer , Alain Leempoel et tant d'autres .

Préface par Charlie Dupont et Pierre Kroll

Extraits de texte écrit par les comédiens :

"Dentelles noirs et lacets… Deux éléments d’un accessoire typiquement féminin qui racontent toute une histoire. Londres 1888. Ces gants étaient l’un des atouts de charme d’un personnage de théâtre, une prostituée du Londres Victorien qui cherchait l’amour dans les rues de la capitale anglaise." de Bénédicte Philippon.

"Puis, avant d’entrer en scène, mettre son costume, cela tient pour moi d’une forme de rituel. Sans cérémonie cependant, je m’habille spontanément, intuitivement, avec le tempérament du personnage. Je ne suis plus tout à fait moi. Je peux donc me livrer en confiance à un espace temps fictif, la pièce." de Stéphanie Van Vyve

"Hors scène" Nos comédiens belges