<div>
<p>
Chers kissbankers,</p>
<p>
<br />
Tout d'abord, un grand merci, nous avons été très touchées par tous vos soutiens qui ont beaucoup compté tout au long du chemin. Vous avez été géniaux.</p>
<div>
<br />
Que se passe-t-il maintenant ?</div>
<div>
</div>
Nous avons décidé d'arrêter le projet dans sa forme actuelle, mais restez branchez sur le blog car nous y publierons une partie de nos recherches et repérages en Algérie, en Egypte, et en Tunisie. Nous espérons avoir ouvert des pistes, créé des liens et donné envie à beaucoup d'entre vous de s'intéresser au sujet et de rencontrer ces communautés lorsque vous passerez par Alger, Le Caire ou Tunis !<br />
<br />
En attendant un éventuel reboot, sous une autre forme, et dans la même galaxie, nous continuerons bien sûr à travailler sur ces sujets et les faire vivre !</div>
<div>
Un immense merci à tous <3<br />
</div>
<div>
Ophelia et Sabine</div>
Les hackers dans la cité arabe
From Morocco to Iraq, we will meet with hacker communities. We will tell you their story : How they are bringing change to their societies. Release in June 2013.
Failed
187
Contributions
04/05/2013
End date
€7,465
Out of €12,000
62 %
The publications
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Nous vous remercions chaleureusement de votre soutien sur le projet "Les hackers dans la cité arabe". Nous avons décidé de nous arrêter après la Tunisie pour prendre le temps de souffler et réfléchir à la suite. Nous publierons sur le blog une partie de nos recherches et repérages, pour lesquels nous ne souhaitons bien sûr pas solliciter pas votre participation financière. Nous n'en continuerons pas moins à travailler sur le sujet des hackers, qu'ils soient arabes, européens ou chinois !</p>
<p>
Nous vous remercions encore du fond du coeur pour votre participation et n'hésitez pas à vous rendre dans ces pays malgré le contexte politique difficile pour rencontrer ces communautés de hackers et de makers qui ont soif de rencontres et d'échanges.</p>
<p>
</p>
<p>
42 bises et restez branchés sur le blog pour l'épisode tunisien !</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Nous partons cet après-midi pour le Forum Social Mondial de Tunis, qui marquera la rencontre entre hackers et altermondialistes, une tendance montante, comme on l'a vu lors du mouvement Occupy par exemple. Il y aura entre autres un hackerspace temporaire franco-tunisien. Nous avons fait <a href="https://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/03/25/altermondialistes-et-hackers-dressent-le-camp-au-forum-social-mondial-de-tunis/" target="_blank">une petite présentation sur notre blog</a>.</p>
<p>
</p>
<p>
Nous avons plus que jamais besoin de votre soutien, il reste 11 jours et 50% de la somme à réunir. Pari impossible ? Non, il suffit que chacun d'entre vous réussisse à convaincre une personne de faire un don et nous y arriverons, on compte sur vous !</p>
<p>
</p>
<p>
Sabine et Ophelia</p>
<p>
Nous avons eu la bonne surprise d'apprendre que notre projet était présenteur dans le Vinvinteur, l'émission de France 5 sur le numérique. À voir ce soir à 20 heures et des poussières ou dès maintenant sur les Internets, autour de 2'13 :</p>
<div class="embed">
<iframe frameborder="0" height="269" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xy8zu0" width="480"></iframe></div>
<div class="embed">
</div>
<div class="embed">
On s'excuse par avance de vous spammer : parlez du projet autour de vous, nous sommes à j-19 et à seulement 46% de la somme. Sinon, 42 chatons seront immolés. Pourquoi 42 ? La réponse <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Grande_Question_sur_la_vie,_l%27univers_et_le_reste" target="_blank">est ici.</a></div>
<p>
Le magazine Telerama <a href="http://www.telerama.fr/medias/crowdfunding-apres-veronica-mars-dix-projets-fous-droles-etranges-finances-par-les-internautes,94749.php" target="_blank">a sélectionné</a> <em>"dix projets fous, drôles, étranges, financés par les internautes"</em> et nous avons eu la bonne surprise de lire que le nôtre en faisait partie :</p>
<p>
</p>
<p>
<em>"Un documentaire sur les hackers dans le monde arabe</em></p>
<p>
<em>Anciennes journalistes d'Owni.fr, Sabine Blanc et Ophelia Noor ont déjà beaucoup travaillé sur le hacking. Mais pour financer leur nouveau projet sur le rôle citoyen des hackers dans le monde arabe, elles ont besoin de fonds, <a href="http://www.kisskissbankbank.com/les-hackers-dans-la-cite-arabe--2" rel="nofollow" target="_blank">12 000 euros exactement dont presque la moitié a déjà été collectée</a>. Si vous donnez plus de 250 euros vous recevrez en cadeau le défacement du site de votre choix (c'est-à-dire la modification de sa présentation) par le pirate de votre choix. Pour de rire, évidemment."</em></p>
<p>
</p>
<p>
Par contre, nous ne savons pas dans quelle catégorie nous sommes nominées :)</p>
<p>
</p>
<p>
Continuez à parler de cette aventure autour de vous, nous sommes à J-20 et il nous manque encore 55% : ce projet est autant le nôtre que le vôtre et celui des gens que nous rencontrons, heureux que l'on raconte ce qu'ils font pour leur société, loin des clichés communs sur les hackers.</p>
<p>
</p>
<p>
Bon we à tous !</p>
<p>
</p>
<p>
Sabine et Ophelia</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Chers Kissbankers !</p>
<p>
</p>
<p>
Nous partons dans moins de 15 jours à Tunis. Nous y serons pendant le Forum Social Mondial où un hackerspace temporaire sera monté par des hackers français et tunisiens. Mais la Tunisie, c'est aussi un Parti 2.0 et un Parti Pirate, deux plateformes de projets de gouvernance ouverte et transparente (OpenGov.tn et OpenTunisia), un Chaos Computer Club du nom de son célèbre et puissant homologue allemand et un TelecomixTN inspiré de Telecomix tout court, qui défend la liberté d’expression. Notre semaine s'annonce riche en belles rencontres et histoires à vous raconter. Merci à vous tous de nous permettre de continuer l'aventure !</p>
<p>
</p>
<p>
C'est un étrange marathon le crowdfunding. On se démène pour faire connaitre notre idée, on explique pourquoi chaque don est important et nous permettra de concrétiser le projet, sans verser dans la mendicité. Notre famille, nos amis et des inconnus nous aident, parcequ'ils croient en nous ou en l'idée. Sachez que chacun de vos dons sont un baume au coeur et un super boost pour la confiance. Merci :)</p>
<p>
</p>
<p>
Nous sommes libres d'êtres audacieuses et de ne pas coller à un format pré-établit et nous sommes aussi liées directement à vous par votre participation au projet : nous vous tiendrons au courant de chaque étape tout au long du chemin. Merci à vous tous de prendre le risque avant tout le monde de nous soutenir. Cette collecte, si elle réussit, nous permettra de publier le projet sans dépendre des intermérdiaires financiers traditionnels.</p>
<p>
</p>
<p>
À partir d'aujourd'hui, il nous reste 22 jours pour compléter la collecte. Nous sommes à fond et nous espérons que vous aussi ! Première étape cette semaine, atteindre 50 % minimum ! Et vous pouvez participez ! Comment ? En faisant circuler l'information sur la collecte régulièrement jusqu'au 5 avril. Via vos réseaux sociaux, des mailing lists, ou via des mails plus perso à des personnes de votre entourage qui pourraient être assez touchées par le sujet pour y participer aussi ! </p>
<p>
</p>
<p>
Let's hack on !</p>
<p>
Bien à vous tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Ophelia et Sabine</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Collecte-kkbb-j22" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/14076/collecte-kkbb-j22.jpg" /></p>
<p>
</p>
<p>
N'hésitez pas à utiliser les visuels que nous publions sur la page facebook ou sur le compte twitter !</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Bienvenue au hackerspace du Caire. Ce soir là, une réunion est organisée pour décider des actions à mettre en place, notamment des ateliers, et surtout, terminer l'installation du lieu : l'imprimante 3D et les fers à souder n'attendent plus que des chaises et des tables. Tarek, fondateur du hackerspace, nous expliquait qu'il avaient déjà du déménager trois fois avant de trouver cet appartement en banlieue du Caire. Également présents, deux agents <a href="http://owni.fr/2011/07/25/telecomix-%C2%AB-hacker-pour-la-liberte-%C2%BB/" target="_blank">Telecomix</a>, Kheops le breton et son ami réfugié syrien... https://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/03/11/photo-un-soir-au-hackerspace-du-caire-en-fr/</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Cairo_hackerspace__" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/13708/CAIRO_HACKERSPACE__.jpg" /></p>
<p>
</p>
<p>
Apparemment, il y a eu un petit bug sur la publication du premier teasing, le voici donc :</p>
<p>
</p>
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Notre semaine au Caire (+ un saut de puce à Alexandria) a été aussi dense que riche, nous avons reçu un accueil superbe de la communauté de hackers/makers. En guise de jets de pierre place Tahrir, on a surtout perdu un poumon à respirer l'air gris de pollution.</p>
<p>
Pour vous mettre en bouche, voici <a href="https://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/02/25/un-impact-fort-sur-la-societe-et-le-systeme-educatif-fren/" target="_blank">un petit son</a> de Mahmoud El-Safty qui a co-fondé le hackerspace de Gizeh et le <a href="https://www.facebook.com/fablab.egypt">fab lab Egypt</a>, le premier du pays. Une synthèse des espérances placées dans ces lieux.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Sabine et Ophelia</p>
<p>
</p>
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Nous venons de publier un second teaser sur notre voyage en Egypte : un extrait d'une interview avec Jay Cousins, "community catalyst" à icecairo, un espace de coworking/incubateur de start-up dédié aux green techs. Il explique pourquoi "le hacking est en haut de [leurs] priorités et revient aussi sur leur approche très orientée business : il s'agit d'inciter à créer des entreprises viables.</p>
<p>
<a href="http:// La feuille de route du Gouvernement en matière d'ouverture et de partage des données publiques L’ouverture des données publiques, liberté publique et levier d’innovation L'ouverture des données publiques est fondée sur la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978 relative au droit d’accès aux documents administratifs, ainsi définis : « (…) quels que soient leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support, les documents produits ou reçus, dans le cadre de leur mission de service public, par l'Etat, les collectivités territoriales ainsi que par les autres personnes de droit public ou les personnes de droit privé chargées d'une telle mission. Constituent de tels documents notamment les dossiers, rapports, études, comptes rendus, procès-verbaux, statistiques, directives, instructions, circulaires, notes et réponses ministérielles, correspondances, avis, prévisions et décisions. (…) » (article 1er). Le droit d'accès aux documents administratifs a été reconnu comme une « liberté publique » par le Conseil d'État (CE, 29 avril 2002, U., n° 228830). En 1997, le gouvernement en a élargi le principe en décidant la mise en ligne gratuite des « données publiques essentielles ». En 2003, la directive 2003/98/CE du Parlement européen et du Conseil du 17 novembre 2003 concernant la réutilisation des informations du secteur public, transposée par l'ordonnance du 6 juin 2005 et le décret du 30 décembre 2005, a facilité la réutilisation des documents existants détenus par des organismes du secteur public. Le décret n° 2011-577 du 26 mai 2011 relatif à la réutilisation des informations publiques détenues par l'Etat et ses établissements publics administratifs a posé le principe de la gratuité du droit à réutilisation. Le 21 février 2011, le décret n° 2011-194 portant création d'une mission « Etalab » chargée de la création d'un portail unique interministériel des données publiques créait la structure en charge d’animer et d’héberger la diffusion de ces données publiques. Avec la révolution numérique - qui facilite la production, la diffusion et le traitement de données de masse - l'ouverture et le partage des données publiques sont devenus un puissant levier pour : ● renforcer la confiance des citoyens grâce à une plus grande transparence de l'action publique (par exemple, avec la mise en ligne d'informations sur les comptes publics, la pollution ou les délits constatés) ; ● permettre de nouvelles formes de co-production avec la société et soutenir l'innovation sociale (comme le projet Handimap qui a permis, grâce aux données des villes de Rennes et de Montpellier, de développer une application de calcul d'itinéraire pour handicapés moteurs) ; ● améliorer le fonctionnement administratif (comme en témoigne la très forte utilisation des données publiques par l'administration elle-même) ; ● améliorer l'efficacité de l'action publique en développant de nouveaux modes d'organisation et de nouveaux processus de travail (comme le suivi des accidents de la route par la sécurité routière permettant d'améliorer l'aménagement de la voirie) ; ● soutenir le dynamisme économique, en créant de nouvelles ressources pour l'innovation et la croissance (comme en témoignent les jeunes entreprises innovantes primées par Dataconnexions) ; ● contribuer à l'influence et au rayonnement international de la France (initiative Open Government Partnership -OGP-, initiative sur la transparence de l'aide internationale -IATI- ou sur la transparence des industries extractives - EITI). L’engagement du Gouvernement en faveur de la transparence de l’action publique et de l’ouverture des données Dès le premier Conseil des ministres, le 17 mai 2012, le Président de la République a fait signer, à tous les membres du gouvernement, une charte de déontologie rappelant notamment leur « devoir de transparence », leur « scrupuleux respect des dispositions garantissant l'accès des citoyens aux documents administratifs » et leur engagement à « mener une action déterminée pour la mise à disposition gratuite et commode sur Internet d'un grand nombre de données publiques ». En lançant le chantier de la modernisation de l'action publique, le Premier ministre a réaffirmé le 31 octobre 2012 les principes d'ouverture et de partage des données publiques prévus par la circulaire du Premier ministre du 26 mai 2011, notamment le droit pour tout citoyen de pouvoir réutiliser librement et gratuitement les données publiques, ou l'encadrement strict des redevances de réutilisation de données publiques. En intégrant la mission Etalab au SGMAP, il a constitué une force globale d'innovation, associant la conception des systèmes d'information de l'Etat, l'ouverture des données publiques, l'évaluation des politiques publiques et l'innovation en matière de politiques publiques. Dès le premier comité interministériel pour la modernisation de l'action publique (CIMAP), le 18 décembre 2012, le gouvernement a pris trois décisions importantes pour l'ouverture des données publiques : ● « Réaffirmer le principe de gratuité de la réutilisation des données publiques et l'étendre, en concertation, aux collectivités, aux délégataires de service public, à la sphère sociale et aux autorités administratives indépendantes » ; ● « Lancer, dès 2013, des travaux sur la transparence de l'action publique et des institutions, notamment en ouvrant le débat sur la mise à disposition de données en matière d'éducation, de risques environnementaux, de transparence du système de santé, de l'offre de transport, de logement, de lisibilité des prestations sociales et des dépenses publiques » ; ● « Confier au SGMAP, en lien avec le ministère du budget, la mission d'évaluer les modèles économiques de chaque redevance existante, notamment en auditant les coûts et les recettes associés. Le SGMAP doit remettre ses propositions au Premier ministre au printemps 2013. » L'ouverture des données publiques est engagée. Outre les informations partagées (mais pas toujours réutilisables) par le service public de l'accès au droit (Légifrance), le cadastre ou encore Géoportail, de nombreuses bases de données sont mises en libre accès par les administrations, les établissements publics et les collectivités locales. La mission Etalab a développé une plateforme nationale d'hébergement et de partage de données publiques ouvertes, gratuites et réutilisables (www.data.gouv.fr). Elle coordonne un réseau de correspondants Open data et de fournisseurs de données qui ont permis la mise en ligne de plus de 350.000 jeux de données. La mission Etalab a également travaillé à structurer l'écosystème des réutilisateurs de données (startups, associations, …), notamment par le biais de l'organisation du concours Dataconnexions, qui lui a permis, en deux éditions, de récompenser 11 projets particulièrement prometteurs. L’ambition du Gouvernement en matière d’ouverture des données publiques Le gouvernement entend donner sa pleine mesure à cette politique, et en faire un levier de modernisation de l'action publique et de soutien au dynamisme économique. 1. Travailler à l’ouverture de jeux de données stratégiques Le gouvernement souhaite favoriser l'ouverture de données stratégiques et de qualité, qu'elles permettent de créer des services utiles au quotidien (comme pour le transport, l'environnement, la santé, la consommation énergétique, le tourisme...), qu'elles soient réclamées par les citoyens en raison de leur caractère démocratique ou pratique (budgets et dépenses détaillées par administration…), ou qu'elles répondent à une exigence légale ou réglementaire (publication des attributaires de marchés publics conformément à l'article 138 du code des marchés publics). Pour ce faire, la mission Etalab du SGMAP organisera, dès 2013, six débats thématiques et ouverts, afin d'identifier et de publier de nouveaux jeux de données. Ces débats seront confiés à une commission composée par le SGMAP et le ministère concerné, pouvant bénéficier d’un rapporteur ou d’un secrétariat assuré par Etalab ; ils donneront lieu à un rapport, remis au Premier ministre et au ministre intéressé, qui formuleront des recommandations en termes d'ouverture cohérente des données et préciseront les bénéfices attendus. Dans ce cadre, le gouvernement étudiera les possibilités : ● d'élargissement de la stratégie d'ouverture des données publiques à tous les établissements publics administratifs, aux délégataires de service public, aux collectivités territoriales et aux autorités administratives indépendantes ; ● d’extension de la politique d'ouverture des données publiques aux missions de service public à caractère industriel et commercial, aux entreprises publiques et à la sphère associative. Le Premier ministre a par ailleurs demandé à tous les ministres de préciser leur stratégie d'ouverture des données publiques dans les programmes ministériels de modernisation et de simplification (PMMS), à transmettre d'ici la mi-mars. 2. Faciliter et améliorer le processus d’ouverture des données publiques dans les ministères, les établissements publics, et les collectivités territoriales Etalab ouvrira, dès 2013, une nouvelle version de la plateforme www.data.gouv.fr. Tout en conservant sa vocation de diffuser largement les données brutes, celle-ci deviendra à terme une vitrine grand public de l'ouverture et du partage des données publiques. Elle proposera en particulier des outils techniques utiles pour s'approprier ces données (outils de visualisation de données, de traitement statistique, etc.). Une attention toute particulière sera apportée à l'indexation des données, à leur traitement sémantique et aux liens entre ces données. Etalab, en collaboration avec les collectivités locales et les autres producteurs de données publiques, travaillera à répertorier et à présenter l’ensemble des données publiques librement accessibles et gratuitement réutilisables, quelle qu’en soit la source. De même, Etalab poursuivra avec les fournisseurs de données la réflexion sur l'importance des formats ouverts et la possibilité de les faire converger, et s'attachera à construire une plus grande interopérabilité entre la plateforme www.data.gouv.fr et les systèmes d'information de l'État, des collectivités territoriales ou des institutions européennes. Par ailleurs, Etalab lancera également dès 2013 le chantier de la diffusion de données par des interfaces programmables (« API »). 3. Accompagner les réutilisations innovantes et la communauté des réutilisateurs L'État encourage la réutilisation la plus large des données publiques afin que cette politique d'ouverture soutienne une stratégie d'innovation, y compris sociale, et de croissance économique. ● Le service public est le premier utilisateur de données publiques de qualité Les données publiques sont produites dans le cadre d'une mission de service public et le service public est fréquemment le premier bénéficiaire de leur ouverture. La production, la collecte et la publication de données par l'administration doivent répondre aux besoins d'un service public de qualité. Etalab doit donc être à la disposition des administrations pour leur permettre de saisir ces opportunités. En particulier, elle organisera des sessions de formation, pourra monter des ateliers ad-hoc, pour analyser le potentiel de certaines applications de l'ouverture des données publiques (lutte contre le chômage, par exemple), et publiera des notes d'analyses de cas exemplaires. ● L'Etat favorise la réutilisation des données publiques par les entreprises pour créer des services innovants Etalab continuera à soutenir les entreprises innovantes, l'économie sociale et solidaire ainsi que les grands groupes industriels, dans leurs projets de réutilisation de données publiques. Elle organisera en 2013 trois concours Dataconnexions, permettant de repérer et de faire connaître des réutilisations exemplaires, et soutiendra l'organisation d'Assises nationales de l'open data, en lien avec le ministère chargé du redressement productif, le ministère chargé des PME et le ministère chargé de l'économie sociale et solidaire. ● L’Etat soutient l’engagement descitoyens et des associations autour des données publiques au profit d'une action publique moderne et renouvelée Le soutien à l'engagement des citoyens, pour coproduire certaines informations, concevoir de nouveaux services ou aider les acteurs publics à relever certains défis, fait partie intégrante des missions d'Etalab, qui organisera en particulier des concours mobilisant les citoyens autour des données et des objectifs partagés par l'État. ● Suivre et encourager la recherche en sciences de la donnée Les « Big Data », la transformation des chaînes de valeur, les stratégies et les organisations fondées sur la « culture de la donnée » caractérisent les formes actuelles de la révolution numérique. Pour suivre cette transformation rapide, Etalab accentuera sa coopération avec le monde de l'enseignement supérieur et de la recherche et se dotera, avant la fin de l'année 2013, d'un collège d'experts rassemblant des experts technologiques, des spécialistes de datasciences, des juristes, des économistes ou des réutilisateurs (entrepreneurs ou responsables associatifs), à moyens constants. 4. La transparence et la culture de la donnée au service de la modernisation de l’action publique L'ouverture des données publiques est un outil majeur au service de la transformation du service public, pour en améliorer la qualité et en permettre l'évaluation par tous ses usagers. Le SGMAP veillera à construire, chaque fois que cela sera pertinent, des référentiels quantitatifs, si possible en temps réel, pour les évaluations des politiques publiques, afin qu'elles permettent de construire des outils utiles au pilotage de ces politiques publiques. Comme prévu par le CIMAP du 18 décembre 2012, le SGMAP travaillera à la conception d'innovations dans les services publics en ayant recours aux données publiques. 5. L’évaluation des redevances existantes À l'occasion du CIMAP du 18 décembre 2012, le Premier ministre a confié au SGMAP, en lien avec le ministère du Budget, une mission d'évaluation des modèles économiques des redevances existantes, notamment en auditant les coûts et les recettes associés. Ces recommandations seront remises au premier semestre 2013. Etalab et le SGMAP accompagneront les administrations qui commercialisent de l'information publique dans l'évolution de leurs modèles économiques. En effet, le respect du principe d'accès libre et gratuit du citoyen à des données publiques réutilisables n'empêche pas de concevoir des stratégies de monétisation de services à haute valeur ajoutée ou de création de plateformes. 6. Évolutions du cadre juridique et administratif Un vade-mecum rappelant le cadre juridique de la mise à disposition des données publiques sera diffusé aux ministères, afin de faciliter leur engagement dans la démarche d’ouverture de leurs données. A l’occasion, notamment, de la révision de la directive 2003/98/CE du Parlement européen et du Conseil du 17 novembre 2003 concernant la réutilisation des informations du secteur public, le gouvernement lancera des travaux de concertation, visant à actualiser si nécessaire les définitions légales encadrant le droit d'accès et de réutilisation des données publiques. 7. L’action internationale de la France Enfin, le gouvernement attache une importance toute particulière au rayonnement de la France sur le sujet de la transparence, de l'ouverture des données publiques (« Open Data ») et de la gouvernance ouverte (« Open Government »). Etalab prendra part au pilotage des projets européens de plateformes de données ouvertes communautaires (notamment le site ouvert au début de l'année 2013 par la Commission européenne (http://open-data.europa.eu/open-data/). La France étudie par ailleurs l’opportunité de rejoindre l'Open Government Partnership (« OGP »), pour engager une coopération fructueuse avec les autres gouvernements engagés dans cette voie. Elle se rapprochera du partenariat pour examiner les conditions de son adhésion. La France s'engagera par ailleurs largement dans la coopération multilatérale autour des approches de transparence et de gouvernement ouvert. " target="_blank">C'est</a><a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/03/04/jay-cousins-iceairo-le-hacking-est-en-haut-de-nos-priorites-fren/" target="_blank">à lire ici. </a></p>
<p>
</p>
<p>
Par ailleurs, nous avons plus que jamais besoin de votre soutien, la collecte se finit dans un mois et nous n'avons que 41% de la somme. Alors si vous pouviez relayer le lien parmi vos connaissances susceptibles d'être intéressées, ça serait super sympa.</p>
<p>
</p>
<p>
Merci d'avance, chokran, شكراً !</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Nous n'aurions pas rêvé mieux à la veille de notre départ en Egypte demain, d'avoir le soutien de l'équipe du Monde diplomatique et d'Alain Gresh qui a publié aujourd'hui sur son blog, Nouvelles d'Orient, un billet sur notre projet :</p>
<p>
</p>
<p>
<em>"(...) <a class="spip_out" href="http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/les-hackers-dans-la-cite-arabe--2" rel="external">un reportage multimédia</a> au long cours dans les hackerspaces du monde arabe, de l’Algérie au Liban, afin de rendre compte de l’inventivité et de la formidable activité de réappropriation de la technologie qui se déroule autour de l’informatique, des réseaux sociaux, et plus généralement des questions de cyberpouvoir.</em> "</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
À retrouver en intégralité sur <a href="http://blog.mondediplo.net/2013-02-05-Les-hackers-dans-la-cite-arabe" target="_blank"> Nouvelles d'Orient</a>.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Belle fin de journée à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Ophelia et Sabine</p>
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Voici <a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/28/le-jeune-le-bureaucrate-et-le-gerontocrate/" target="_blank">un long article </a>un peu gonzo (promis on en abusera pas), qui esquisse le paysage politique, économique et numérique algérien. Une partie de notre travail consiste en effet à cerner dans quel contexte s'inscrivent les communautés que nous allons rencontrer. Derrière l'adverbe fourre-tout "arabe" se cachent des réalités extrêment différentes. Imaginez, déjà que bien des Français font un subtil distingo entre les ch'tis et les Marseillais, alors entre le Maroc, l'Egypte, le Liban, etc.</p>
<p>
</p>
<p>
Un conseil de lecture pour compléter : <em><a href="http://www.actes-sud.fr/catalogue/societe/arabites-numeriques" target="_blank">Arabités numériques</a></em>, d'Yves Gonzalez-Quijano</p>
<p>
Vous trouverez ici <a href="http://owni.fr/2012/11/07/internet-arabe-etait-percu-comme-internet-de-ben-laden/" target="_blank">une interview</a> de ce chercheur qui revient en détail et avec une grande finesse d'analyse sur le rôle des réseaux sociaux dans les révolutions.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Hello everyone, </p>
<p>
</p>
<p>
We've met with Emeka Okafor on the internets this week for an interview, the initiator of Maker Faire Africa (MFA). We talked about hackers and makers cultures in Africa and his last experience with MFA in Cairo.</p>
<p>
</p>
<p>
Here is an excerpt <a href="https://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/26/emeka-okafor-im-very-much-for-the-localization-of-the-maker-movement/" target="_blank">on our blog</a>. We'll keep the rest for june ! </p>
<p>
</p>
<p>
Meanwhile, remix, enjoy and prosper ! </p>
<p>
</p>
<p>
Ophelia & Sabine</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<em>NB : La version française est </em><a href="https://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/25/emeka-okafor-je-prone-la-localisation-du-mouvement-maker/" target="_blank">ici</a><em>. N'hésitez pas à transmettre l'info à vos amis anglophones !</em></p>
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
Entre deux rdv pour trouver des partenaires médias/diffuseurs/prod, et quelques heures de community management, on a trouvé le temps de faire un peu de journalisme \0/</p>
<p>
En l'occurence une interview d'Emeka Okafor, un New Yorkais qui a lancé Maker Faire Africa, dont la troisième édition avait eu lieu au Caire en 2011.</p>
<p>
</p>
<p>
Vous retrouverez un extrait <a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/25/emeka-okafor-je-prone-la-localisation-du-mouvement-maker/" target="_blank">sur notre blog</a>. On garde le reste pour juin :)</p>
<p>
</p>
<p>
Big bisous,</p>
<p>
</p>
<p>
Sabine et Ophelia</p>
<p>
Bonjour à tous,</p>
<p>
</p>
<p>
on a trouvé un chouette point de chute au Maroc : le <a href="https://www.facebook.com/SaharaLabs?ref=ts&fref=ts" target="_blank">premier hackerspace</a> dans le Sahara, à Tarfaya, né ce mois-ci. On ira faire un remake d'<em>Un thé au Sahara</em> : <em>Un maté au Sahara</em> bien sûr :)</p>
<p>
Le <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Club-Mate" target="_blank">Club-Mate</a> est LA boisson préférée des hackers, une boisson sans alcool hyper caféinée, pour coder jusqu'au bout de la nuit ! Originaire de Berlin, elle est distribuée <a href="http://www.club-mate.fr/nous-trouver/" target="_blank">dans quelques bars en France</a>.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.flickr.com/photos/nuridao/6038539321/in/set-72157627400695184" target="_blank"><img alt="CCCAMP 2011" height="358" src="http://farm7.staticflickr.com/6061/6038539321_5bde52a581_b.jpg" style="max-width: 540px;" width="539" /></a></div>
<div class="embed">
</div>
<div class="embed">
Photo prise pendant le Chaos Communication Camp 2011, près de Berlin, grand raout quadriannuel incontournable. Crédit <a href="http://www.flickr.com/photos/nuridao/6038539321/in/set-72157627400695184" target="_blank">Ophelia Noor</a> CC by sa nc</div>
<p>
Jusqu'en juin, vous pourrez suivre notre travail <a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/" target="_blank">sur ce blog</a>.</p>
<p>
Notre premier voyage nous a menées en Algérie, du 24 au 28 décembre. Provisoirement, nous avons appelé cette partie "la communauté qui vient". Voici quelques lectures :</p>
<p>
</p>
<p>
<a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/07/mademoiselle-la-presidente-du-club-de-securite-informatique/" target="_blank">Un portrait de Sabrina Amrouche</a>, la jeune présidente du premier club de sécurité informatique d'Algérie, et hackeuse en devenir</p>
<p>
</p>
<p>
<a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/11/son-un-hacker-cest/" target="_blank">Un montage sonore</a> où trois jeunes étudiantes en informatique parlent de leur vision du hacking</p>
<p>
</p>
<p>
<a href="http://leshackersdanslacitearabe.wordpress.com/2013/01/03/al-jerry-can/" target="_blank">Un reportage sur l'atelier Jerry</a>, un serveur à bas coût DIY nomade, réalisé à l'Ecole d'informatique d'Alger</p>
<p>
</p>
<p>
Merci pour votre soutien, faites tourner !</p>
<p>
</p>
<p>
Sabine et Ophelia</p>