Niglo
A force d’entendre :"Le scénario n'a aucun sens, c'est trop prévisible." "Les séries françaises manquent vraiment de budget, ça se voit à l'écran." "Les séries françaises essaient trop de copier les Américaines sans jamais y arriver." "Il y a un sérieux problème de rythme, c'est lent et ennuyeux." "Pourquoi toutes les séries françaises se prennent tellement au sérieux ?" "Ils ne prennent jamais de risques, c’est toujours la même recette." "On dirait qu'ils ne savent pas faire autre chose que des séries policières." À force de chercher une série qui me correspondait vraiment sans jamais la trouver, j'ai réalisé que ce que je voulais voir à l'écran n'existait tout simplement pas. Je passais d'une série à l'autre, frustré de ne pas retrouver l'originalité, les personnages authentiques et les histoires captivantes que j'avais en tête. Alors, plutôt que de continuer à attendre une série qui ne viendrait peut-être jamais, j'ai décidé de la créer moi-même. Écrire et réaliser ma propre série est devenu une évidence. Je veux proposer quelque chose de frais, d'original, et surtout, raconté avec sincérité. L'univers que je construis sera unique, avec des personnages complexes et des intrigues inattendues, mais toujours ancrées dans le réel. Pour cela, j'ai choisi de travailler avec des acteurs professionnels, talentueux, mais qui n'ont pas encore été surexposés à l'écran. Des visages nouveaux qui apporteront une authenticité et une fraîcheur à mon projet. Mon but est de créer une histoire qui surprend, qui touche, et qui donne aux spectateurs l'envie de découvrir ce qu'ils ne savaient même pas qu'ils cherchaient. Cette série sera avant tout une série drôle, mais pas une simple succession de gags. Il y aura un véritable axe scénaristique qui portera l'intrigue de bout en bout. Nous allons faire rire, oui, mais avec une qualité de production digne des plus grandes séries. Vincent Tartar, l’un des meilleurs chefs opérateurs de sa génération, va nous apporter son expertise en matière d'image et de lumière. Grâce à lui, chaque plan sera soigné, chaque scène aura une identité visuelle forte. On veut que le public rit tout en étant ébloui par la beauté de ce qu'il voit. C'est un projet ambitieux, et pour cela, j'ai rassemblé une équipe de comédiens que je considère comme des virtuoses de la comédie. À la manière d’un chef d’orchestre symphonique, j’ai choisi des talents capables de sublimer chaque situation, chaque réplique, avec précision et énergie. Nous voulons que cette série soit un vrai moment de plaisir pour le spectateur, un rendez-vous où le rire se mêle à une réalisation impeccable. J'ai toujours été fasciné par des valeurs comme le sens de l'honneur, la famille, la parole donnée, la fierté d'appartenance et le poids des longues lignées. Ce sont des principes profondément ancrés qui dictent la manière de vivre de ceux qui y croient, et j’ai eu la chance de côtoyer deux communautés qui, à leur manière, incarnent ces valeurs : les gitans et les aristocrates. Deux mondes apparemment opposés, mais qui partagent un même attachement à des traditions, à des règles non écrites, même si leurs codes sont totalement différents. Ces deux univers me fascinent parce qu'ils fonctionnent sur des systèmes de valeurs similaires, mais avec des modes de vie et des symboles qui s’opposent. Et c’est cette confrontation, ce choc culturel et humain que je veux explorer dans une fiction. Faire se rencontrer ces deux communautés, c’est créer des situations pleines de tensions, de décalage, mais aussi d’humour, parce qu’au fond, c’est souvent dans la différence qu’on trouve les meilleures histoires. Mon but est de montrer ces deux mondes avec respect, tout en jouant avec leurs contradictions pour raconter quelque chose de drôle et profond à la fois.
Alain Chapuis, cette fois-ci ce n'est pas le tavernier mais ça reste tout de même le taulier de l'immeuble... Henri Eude Côme Lentilly de la Tour de Salvagny Michel Bernini, c'est le chef des gitans toujours prêt à (se) rendre service... Maurice Venturino Romy Chenelat, c'est la femme de Maurice Venturino c'est parce qu'elle ne veut plus vivre dans une caravane et qu'elle veut devenir influenceuse que tout va arriver. Esméralda Jonathan Chiche, c’est le bras droit de Maurice, c’est plus le bras gauche il n’en met jamais une dans le panier. Désidério Gilles Graveleau et Serge Papagalli, ce sont les clients fidèle du Airbnb, à chaque occasion ils viennent profiter du luxe de l'endroit, ils sont mariés et filent le (presque) parfait amour. Claude et Hubert Marie-Blanche Chapuis, secrètement amoureuse de Claude, elle espère et essaie subtilement de le faire changer de cap. Chantal Evelyne Cervera, c'était la nounou d'Henri Eude Côme Lentilly de la Tour de Salvagny, elle est aussi la maman de sa demi-soeur, elle est devenue gardienne de la paix, elle est maintenant à la retraite. C’est une maîtresse femme qui aime et qui sait commander. Régine Alexandra Cholton, c'est la fille de Régine et la demi-soeur d'Henri Eude Côme Lentilly de la Tour de Salvagny. Natacha David Pilandon, le directeur du coworking petite fouine, piercé et tatoué. Faux cool, un vrai tyran, malhonnête hypocrite et démerdard. Amaury Bo Gaultier de Kermoal, médecin légiste en reconversion dans la protection rapprochée. Truc N'Guyen Brice Fournier, Médecin de la médecine du travail, il ne soigne qu'au paracétamol, migraine, traumatisme cranien, conjonctivite, appendicite, fracture... paracétamol. Bernard Bernard Aymeric Bécaud, chef du gang des bikers, sauf qu'il a peur de son ombre... Andy, enfin André, Dédé quoi... Irina Lytiak, elle se croit dans un monde parallèle, légèrement schizophrène sur les bords bien que pas méchante, elle aime bien parler avec ses voisins. Emma Pierre-Jean Ducrest Galtié, il est notaire, très souvent à la limite de la légalité. Maître Jeannette Aïda Daghari, c’est la sœur de Maurice, elle a quitté le camp quand elle a réussi son concours de Gardienne de la Paix. C’est la honte de la famille, elle est en plein burnout, elle est commandante au RAID mais comme sa mère elle possède des dons de voyance. Sarah Venturino Soledad Estarlich, c’est la mère d’Esmeralda, elle vit aux crochets de tout le monde, c’est une cigale qui a gagné sa vie comme médium alors qu’elle n’a aucun don de voyance. Elle tire les carte et créé des oracles uniques qu’elle vend à prix d’or pour les pigeons. Il n’y a que sa fille qui sait que c’est une imposteuse. Encarnita Miguel Carrasco, il est obligé de travailler parce qu’il n’a pas tous ses trimestres, il aime aider les autres. Il a monté une entreprise de service à la personne mais il est distrait et il oublie souvent ses missions. C’est le super collègue dans l’espace coworking. Lucien Alex Champagnac, il fourni le coworking en papeterie, il drague tout ce qui bouge mais il détient le record du monde des vents, il est aussi inscrit à la salle de sport, malgré son jeune âge, il a un accent du cantal à couper au couteau. Il veut ouvrir une brasserie. Zacharie Ketty Latella, badass girl, toujours prête au combat, quant elle ne le provoque pas elle le cherche. Carla Et tout au long de la campagne on vous dévoilera qui est qui et qui fait quoi...
La collecte servira à financer les moyens techniques et humains pour réaliser ce pilote. Le choix que nous avons fait avec Vincent Tartar, mon chef op, c'est de produire une oeuvre pour la télévision mais avec l'exigence du cinéma. C'est le résultat de plus de trente ans à faire ce métier, à tourner dans des séries, à regarder des séries se dire à chaque fois qu'on aurait pu faire mieux... Alors maintenant nous sommes au pied du mur avec le scénario et toutes nos exigences, sur les comédiens, sur les costumes, sur les décors, sur le découpage des scènes, sur la musique, on a la chance d'avoir eu l'accord d'un des plus grands musiciens de jazz manouche au monde avec une compo originale, Angelo Debarre Pourquoi 35 000€ pour financer le tournage du pilote ? Le financement d'un pilote de série, même avec des moyens optimisés, représente un investissement important, et voici pourquoi nous avons besoin de ces 35 000€. Tout d'abord, il est essentiel de comprendre qu’un pilote est la carte de visite de notre série. Il doit être de qualité irréprochable, car c'est ce qui va convaincre les plateformes de diffusion et les producteurs de soutenir le projet à long terme. 1. Équipe technique : Pour obtenir une qualité visuelle et sonore digne des meilleures productions, nous devons faire appel à des professionnels expérimentés, du chef opérateur à l’ingénieur du son, en passant par les maquilleurs et costumiers. Tous ces talents méritent d'être rémunérés à la hauteur de leurs compétences. 2. Matériel et logistique : La location du matériel de tournage, des caméras de haute qualité, des éclairages, des micros, sans oublier la post-production (montage, étalonnage, mixage) sont des postes coûteux. Il ne s’agit pas simplement de « filmer », mais de créer un produit visuellement captivant. 3. Décors et costumes : Pour que l’univers de la série prenne vie et soit crédible, nous devons investir dans des décors et des costumes soignés. Que ce soit pour recréer le contraste entre les gitans et les aristocrates, chaque détail comptera pour immerger le public dans notre histoire. 4. Régie et logistique : Le tournage nécessite également des frais de régie (transport, repas pour l’équipe, location de lieux de tournage), qui font partie intégrante d’une production réussie. 5. Post-production et promotion : Une fois le tournage terminé, il reste encore une étape clé : la post-production. Cela inclut le montage, les effets visuels, le mixage audio, et la création d’une bande-annonce. De plus, il faut prévoir un budget pour promouvoir le pilote et lui donner un maximum de visibilité auprès des décideurs. Ces 35 000€ ne sont donc pas une dépense superflue, mais le strict nécessaire pour garantir que notre projet soit à la hauteur de ses ambitions et qu’il capte l’attention des plateformes et des diffuseurs. Investir dans ce pilote, c’est nous donner toutes les chances de faire de cette série une véritable réussite. Si vos dons, vos contributions, vos participations dépassent les 35 000€ On pourra commencer à imaginer de rémunérer les acteurs et il y en a plus de 50. et même s'il nous ont donné leur accord pour être à la participation, c'est à dire n'être payés que si cela fonctionne dans le futur en étant prioritaires sur leur rôles, j'aimerais vraiment être le seul bénévole de l'aventure. 6. Cachets des acteurs : Bien que nous ayons choisi des acteurs professionnels peu surexposés, ils doivent être correctement rémunérés pour leur travail et leur engagement. Leur performance est essentielle au succès du projet.