PARiS TONKAR™ /// La réédition du livre CULTE sur le graffiti parisien !

Premier livre français consacré au graffiti, PARiS TONKAR est la référence absolue depuis 1991, épuisé depuis 25 ans, et enfin réédité !

Project visual PARiS TONKAR™ /// La réédition du livre CULTE sur le graffiti parisien !
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⭐ ⭐ Pack ⭐ old school n°5 (900 €) /// disponible /// Un exemplaire papier du livre « Paris Tonkar », 160 pages, 21 x 24 cm + une peinture sur support publicitaire du métro (année 1990/91), acrylique, poscas, bombe, 40x55cm, signé Daes 4AD, 1991 Ces œuvres ont été réalisées entre 1990 et 1991 : ce sont les premières œuvres exposées par Tarek (alias Daes) sur différents supports (toile, plastique ou encore tissu) à Paris Graffiti en 1992. ⭐ ⭐ ⭐ ⭐ Pack ⭐ old school n°4 (900 €) /// disponible /// Un exemplaire papier du livre « Paris Tonkar », 160 pages, 21 x 24 cm + une peinture sur support publicitaire du métro (année 1990/91), acrylique, poscas, bombe, 40x55cm, signé Daes 4AD, 1991 Ces œuvres ont été réalisées entre 1990 et 1991 : ce sont les premières œuvres exposées par Tarek (alias Daes) sur différents supports (toile, plastique ou encore tissu) à Paris Graffiti en 1992. ⭐ ⭐
Nous avons dépassé les 700 préventes grâce à vous et nous tenons à vous remercier. On vise les 200% pour jeudi soir ! Comme promis, nous offrirons à tout le monde un pack stickers par envoi.
Cette longue interview a été réalisée durant mon séjour à New-York en octobre 2019, je me suis rendu une journée dans le Bronx afin de visiter l’exposition « Art vs Transit » au Bronx Museum qui mettait à l’honneur l’immense travail photographique d’Henry Chalfant. Nous avions passé un excellent moment lors de cet échange riche en anecdotes et en révélations. Le catalogue d’exposition de cette sublime rétrospective sur cette période exceptionnelle des années 70 à New York avait été chroniqué dans le numéro 20. Henry Chalfant est considéré comme l’un des plus importants documentaristes du mouvement puisqu’il possède des archives photographiques uniques sur l’émergence du writing et du Hip-Hop à ses débuts. Son travail d’anthropologie visuelle de la culture populaire américaine à la fin du XXe siècle nous permet de comprendre les origines d’un art qui s’est imposé au monde en moins de trente ans. Il s’est intéressé à l’art du writing dès son arrivée à New York en 1973, après avoir obtenu son diplôme de l’Université de Stanford. Il est le grand témoin de cette période où les grands noms du graffiti ont émergé comme Dondi ou encore Seen. Peu de gens le savent, mais il a débuté comme sculpteur puis il s’est tourné vers la photographie et le cinéma pour faire une étude approfondie du mouvement Hip-Hop : ses archives sont composées de plus de 1 500 photographies. Il est co-auteur de Subway Art et de Spraycan Art (Thames and Hudson). Il a également coproduit le documentaire PBS, « Style Wars » et bien d’autres encore sur cette expression artistique. Une interview unique à lire pour un homme d’exception ! Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs et nous en dire un peu plus sur vous ? Henry Chalfant : Je suis né en 1940 à Sewickley, en Pennsylvanie, une ville de l’ouest de cet Etat. J’ai quitté l’école à 14 ans, puis je suis allé à l’université en Californie. J’ai ensuite vécu là-bas pendant sept ans et je me suis mis à la peinture et à la sculpture. Je suis ensuite allé en Europe, à Barcelone, où j’ai travaillé comme sculpteur avec l’artiste Enric Gelpi pendant presque deux ans. Après cela, j’ai passé quelques années à Rome, puis je suis revenu aux États-Unis, à New York, en 1973. J’ai fait de la sculpture ici pendant environ dix ans, mais à mi-chemin de cette période, j’ai commencé à prendre des photographies de graffiti dans le métro. Vous étiez déjà un artiste si je comprends bien. Votre pratique était la sculpture, clairement une forme d’art. Donc, la première fois que vous avez vu les graffiti dans le métro, avez-vous pensé que c’était de l’art ou avez-vous pensé le contraire ? H. C. : Eh bien, je pensais que c’était de l’art ! Cela l’était, vous savez… Pour moi, les critères de l’art sont la forme, la couleur et la représentation de quelque chose de réaliste ou d’abstrait. C’est de l’art, il n’y a pas de doute. Un nouvel art, en somme ? H. C. : C’était un nouveau genre d’art créé par des jeunes : ce que je trouvais très intéressant, ce sont des jeunes qui l’ont inventé. Et je me sentais aussi attiré par cet art formellement parce que mes sculptures étaient similaires d’une certaine manière à leur aspect formel. (...) Lire la suite de l'interview ici : Interview d’Henry Chalfant
Épuisé depuis 1998, le livre culte Paris Tonkar est enfin réédité. Pour Tarek, c’est l’opportunité aux amateurs de graffiti de se procurer enfin cet ouvrage de référence. S’il continue d’exhumer ses archives de l’époque, Tarek réfléchit à donner une suite à Paris Tonkar, en abordant le mouvement sous un autre angle. Cette édition anniversaire, la même qu’en 1991, propose un avant-propos qui explique comment le livre s’est construit. La mise en page aérée offre la part belle aux photos et textes d’origine, conservant la tonalité des années 1990. (interview de Tarek en français réalisée par Violaine Pondard) En 1991, Paris Tonkar était publié aux Éditions Florent Massot : le premier livre français et européen qui parle du mouvement graffiti. Un ouvrage culte qui a influencé des générations de graffeurs en France. Les auteurs, Tarek Ben Yakhlef et Sylvain Doriath, observateurs et acteurs d’un mouvement graffiti naissant, en ont fait une photographie unique, positionnant cet art émergeant comme référence pour les artistes urbains en devenir. Après ce livre, Tarek Ben Yakhlef a quitté le monde du graffiti pendant deux décennies. Il s’est fait un nom dans la bande dessinée avant de renouer avec la peinture au début des années 2010, exposant aujourd’hui dans de nombreuses galeries dans le monde. Septembre 2024, il ressort Paris Tonkar. Entretien. Quelle est la genèse de Paris Tonkar ? J’ai toujours voulu écrire des livres. Depuis tout petit, cela a toujours été mon ambition et ma vocation. Très jeune, j’ai aussi reçu, à mon anniversaire, un petit appareil photo Kodak. Je prenais des photos de ce que je trouvais bizarre ou étrange. Au milieu des années 1980, quand j’ai commencé à pratiquer le tag avec des copains, j’ai pris des photos de ce qu’on faisait ensemble, autour de chez moi. Et quand je suis tombé sur Subway Art, de Martha Cooper et Henry Chalfant (1984) et Spraycan Art, de Henry Chalfant et James Prigoff (1987), deux livres de référence du graffiti new-yorkais et mondial, je me suis dit qu’il n’existait rien de la sorte en France. Le graffiti est alors devenu un prétexte pour écrire mon premier livre. En 1986, l’idée avait commencé à germer, et en 1987 je m’y suis mis vraiment. A partir de ce moment, le projet de livre est devenu obsessionnel. Je me suis acheté un nouvel appareil photo. Je suis allé partout dans Paris, en banlieue sud, en Seine-Saint-Denis, pour prendre en photo ce que je voyais. Sur la ligne B du RER, à Champigny-sur-Marne aussi... partout où il y avait un intérêt photographique. Comment as-tu trouvé un éditeur ? J’avais contacté beaucoup de maisons d’éditions sans succès car la plupart voulaient récupérer le projet, mais sans moi, pour le refiler à une autre personne. La copine d’un graffeur m’a mis en relation avec son père qui était l’éditeur de Marval. Lui m’a véritablement conseillé et m’a mis sur la voie de Florent Massot, jeune éditeur indépendant prêt à prendre le risque de sortir un tel livre. Après avoir signé mon contrat d’édition, nous avons travaillé ensemble sur la construction du livre durant cinq mois, avec une pré-sélection des photos, puis encore deux mois pour composer sa maquette, rue des Cinq-Diamants à Paris où on nous avait prêté un local. Certaines photos sont antérieures à 1987. D’autres concernent des murs datant de 1984 et 1985 qui étaient encore visibles ! Les graffitis réalisés sur le métro étaient davantage éphémères car nettoyés. Mais dans certaines friches, les murs n’étaient pas touchés pendant des années. Je n’ai jamais arrêté de prendre des photos car très tôt, j’avais dans la tête l’idée de faire un tome 2. Finalement une partie de mes photos ont été publiées dans le magazine 1Tox. Le livre Paris Tonkar est paru en novembre 1991 à 2 500 exemplaires. Moins d’un an après, le livre a été réimprimé à plus de 4 000 exemplaires. Pendant cette période, comment considérais-tu ce graffiti ? Te disais-tu qu’il s’agissait d’art ? A aucun moment nous nous sommes dit que c’était de l’art. D’ailleurs, un article de l’Événement du Jeudi à l’époque titrait « De l’art ou du cochon ». Tout le monde associait cela à de la dégradation, de la délinquance, aux gangs mais jamais à de l’art. Moi, je faisais du graffiti, je savais que ce n’était pas de l’art. Mais les grandes fresques, qui faisaient parfois 10 mètres de long sur cinq à six mètres de haut, je les trouvais artistiques. C’était puissant ! Quand le livre est publié, quel est son impact ? Justement quand le livre sort, une partie de la population commence à comprendre qu’il y a quelque chose derrière le graffiti. De l’art, des recherches esthétiques. Ce n’était pas qu’une bande de jeunes qui taguait le métro. Il y avait des graffeurs qui avaient une démarche artistique, qui s’inspiraient de références du graffiti new-yorkais et de muralistes. J’observe un début de changement à ce moment-là. Le livre obtient une belle presse, avec des articles dans Libération, Le Figaro, des reportages dans le 20 heures de Claude Sérillon, le JT de minuit d’Antenne 2 (visible sur le site https://paristonkar.fr). La presse parlait de notre livre comme d’un livre d’art et non comme un livre de sociologie sur des jeunes de banlieue désœuvrés. Il y a une prise de conscience à ce moment-là. Après les pages sur les tags et les blocs, le livre fait la part belle aux grands murs. A l’époque, lors d’un procès pour dégradation, un avocat a même utilisé mon livre pour expliquer que son client était un artiste et non un délinquant ! Le livre est devenu un marqueur historique de ce mouvement. Très tôt, certains en ont pris conscience. Moi non, car j’avais la tête ailleurs. Quel est le regard que tu portes sur l’évolution du mouvement depuis 35 ans ? Si on m’avait dit dans les années 1990 qu’en faisant ce que je faisais je me serai retrouvé dans des galeries d’art contemporain, que je serai cité dans des livres d’histoire de l’art... j’aurai eu un gros doute ! Chose étonnante : le public a suivi bien plus vite le mouvement que l’institution. Ce qui arrive toujours dans les grands mouvements artistiques, d’ailleurs. Il y a les avant-gardistes qui essuient tous les coups. Puis cela crée des vocations. Ensuite, le public et les critiques l’acceptent et le phénomène s’impose. Ce qui est le cas aujourd’hui : cet art fait désormais partie de notre environnement, à la fois artistique et architectural. Dans beaucoup de projets de mise en valeur de certains quartiers, on introduit la peinture murale. Les trompes l’œil existaient déjà, mais l’art urbain y a apporté une nouvelle dynamique. Un dernier mot ? Vous pouvez nous suivre sur Instagram (https://www.instagram.com/paris.tonkar/) et découvrir mes dessins et peintures sur Urbaneez : https://urbaneez.art/artists/tarek
In 1991, Paris Tonkar was published by Éditions Massot: the first French and European book about the Graffiti movement. A cult book that has influenced generations of graffiti artists in France. The authors, Tarek Ben Yakhlef and Sylvain Doriath, observers and actors of the emerging graffiti movement, have created a unique photograph, positioning this emerging art form as a benchmark for up-and-coming urban artists. After the book was published, Tarek Ben Yakhlef left the world of graffiti for two decades. He made a name for himself in comics before returning to painting in the early 2010s, now exhibiting in numerous galleries around the world. In September 2024, he brings out the reissue of Paris Tonkar, more than 30 years after the first publication. Violaine Pondard • June 17, 2024 • urbaneez.art How did Paris Tonkar come about? I always wanted to write books. Ever since I was a child, it has always been my ambition and my vocation. When I was very young, I also received a little Kodak camera for my birthday. I was used to taking photos of anything I found weird or strange. In the mid-1980s, when I started tagging with friends, I took photos of what we were doing together, around my house. And when I came across Subway Art, by Martha Cooper and Henry Chalfant (1984), and Spraycan Art, by Henry Chalfant and James Prigoff (1987), two reference books on New York and the world of graffiti, I said to myself that nothing of the kind existed in France. Graffiti then became a pretext to write my first book. In 1986, the idea started to germinate, and in 1987 I got into it. From that point, the book project became an obsession. I bought myself a new camera. I went all over Paris, the southern suburbs, and Seine-Saint-Denis to take photos of what I saw. On the B line of the RER, in Champigny-sur-Marne and all the vacant lots I came across... wherever there was a photographic interest! How did you find a publisher? I contacted many publishing houses without success because most of them wanted to take over the project, but without me, and pass it on to someone else. But the girlfriend of a graffiti artist put me in touch with her father, who was the editor of Marval. He advised me and put me on the path of Florent Massot, a young independent publisher willing to take the risk of publishing such a book like this. After signing my publishing contract, we worked together on the construction of the book for five months, with a pre-selection of photos, then another two months to create the layout, on the rue des Cinq-Diamants in Paris, where we had been lent a room. Some of the photos were taken before 1987. Others concern walls dating from 1984 and 1985, which were still visible! The Graffiti made on the metro was more ephemeral, as they were quickly cleaned up. But in some wastelands, the walls remained untouched for years. I never stopped taking photos, because very early on, I had the idea of making a volume 2 but some of my photos were published in 1Tox magazine. The book Paris Tonkar was published in November 1991 with 2’500 copies and a year later, over 4’000 copies were reprinted. ↪️ Interview ///https://urbaneez.art/magazine/paris-tonkar-the-reissue-of-the-cult-book-on-parisian-graffiti ↪️ Discover the profile of Tarek and his available works
Comer a interviewé Tarek quelques semaines avant le lancement de la prévente de Paris Tonkar. Vous pouvez découvrir l'intégralité de cette discussion ci-après ou en achetant le numéro en question ici : https://www.fanzinesectionurbaine.store/
Voici une petite sélection de photographies des années 88-92...
CLICK est quelqu’un qui a énormément compté dans le graffiti car il avait du style et que l’on voyait son tag partout, sur toutes les lignes de la banlieue parisienne ; c’est à cela que l’on reconnait les grands "cartonneurs". Lorsqu’il débarque à Nanterre en 1985, La Défense et son univers urbain devient son terrain de jeu, d’abord en rollers puis avec des marqueurs. CLICK s’attaque à sa ligne le RER A, il s’aventure jusqu’au terminus et découvre les graffs de YANK TNT et des CAS dans la gare de Cergy Préfecture. Il les rencontre et intègre ce groupe pour allier leurs forces. Candidat Au Suicide, tout est dit, ils n’ont peur de rien, stations, voies, dépôts tout y passe. Au sein des CAS il y a des tagueurs, des graffeur, des rappeurs, des fly-girls… Un crew hétéroclite composé de b-boys et de punks, un crew incontournable de l’ouest parisien. Au milieu des années 90, CLICK s’oriente vers la musique, sous le nom de Dj Click. Adepte du métissage musical, il produit de nombreux projets et parcourt la planète pour mixer. Interview réalisée par SOFRESH (Robin Master & Somy DUC)
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Yann Cherruault alias Coke Star est un passionné de Hip-Hop. Activiste de la première heure, il est co-fondateur de International Hip-Hop puis iHH Magazine et, en 2010, Paris Tonkar magazine en compagnie de Tarek et Hélios. Il a commencé par le tag dans le mitan des années 80. Dans un petit café parisien, il revient sur ses début dans une discussion décontractée avec Tarek. Ce premier épisode aborde ses première années dans le mouvement graffiti à Paris. Du tag au rap en passant par la culture Hip-Hop, Coke Star nous dévoile son parcours. Musique de Barzolff 814 avec son aimable autorisation.
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Bonne nouvelle ! Jeudi 30 mai à partir de 18h30, live sur Instagram de Florent Massot et Tarek. Ils évoqueront leur rencontre et la création de ce livre au début des années 90 ainsi que des anecdotes bien piquantes. Et des surprises en live ! Paris Tonkar Magazine /// https://www.instagram.com/paristonkar/ Tarek /// https://www.instagram.com/tarek.artist/ Florent Massot /// https://www.instagram.com/massotflorent/ Massot éditions /// https://www.instagram.com/massot_editions/
Tarek, iHH™ BOOKS&CO et Massot editions présentent Premier livre français et européen consacré au graffiti, PARiS TONKAR est un ouvrage de référence depuis 1991 /// Épuisé depuis 25 ans, il est de nouveau disponible grâce à cette édition anniversaire ! Notre prévente avance bien et nous ne sommes plus qu'à 35% du premier palier qui nous permettrait de passer la ré-édition de ce livre en couverture cartonnée et reliée au lieu de brochée. Aidez-nous en relayant le lien sur vos réseaux avec pour objectif 400 contributions avant mercredi !
Le livre PARiS TONKAR qui était introuvable depuis des années revient enfin ! Il sera bientôt disponible grâce à vous et à vos contributions. Un grand merci pour cette première journée /// si nous dépassons le premier palier de 400 contributions la campagne sera validée, vous recevez à coup sûr vos contreparties et bonne nouvelle nous passerons la ré-édition du livre en couverture cartonnée et reliée au lieu de brochée. Nous sommes sur la bonne voie avec près de 150 contributions pour cette première journée... MERCI ! Dans le cadre de l’épisode 16 consacré à TAREK l’auteur du livre « Paris Tonkar », SOFRESH Podcast vous propose ce bonus vidéo dans lequel TAREK revient sur différentes photos avec détails et anecdotes. Il y parle des BBC, JONONE, BANDO, SAN, PSYCKOZE, des quais de Seine et des palissades du Louvre au début des années 80… Puis du graffiti sur métro du début des années 90. SOFRESH 🎙️ Le podcast qui s’entretient avec les actrices et les acteurs du mouvement Hip Hop français.