Documentaire : Prévention du Suicide en France
Documentaire sur la prévention du suicide en France : brisons le tabou et libérons la parole.
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Documentaire : Prévention du Suicide en France
Pourquoi faire ce documentaire ? Ce documentaire cherche à lever le tabou national autour du suicide. Peu à peu, les tabous tombent et sont largement discutés dans notre société : alcool, drogue, agressions sexuelles… Pourtant, le suicide reste LE tabou de notre société, en public, comme en privé, dans l'espace public comme au sein des familles. Malgré une baisse continue du nombre de suicides depuis les années 2000, il représente toujours environ 𝟭𝟬 𝟬𝟬𝟬 𝗱𝗲́𝗰𝗲̀𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗮𝗻 et 𝟮𝟬𝟬 𝟬𝟬𝟬 𝘁𝗲𝗻𝘁𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗼𝗿𝗶𝗴𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝟴𝟵 𝟬𝟬𝟬 𝗵𝗼𝘀𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀, selon la Direction générale de la santé. Le suicide tue trois fois plus que les accidents de la route, et pourtant les campagnes de sensibilisation sont absentes de l'espace public. Dans une société d'images, où ce sont ces dernières qui font avancer les causes, la prévention du suicide en manque cruellement, d'où ma volonté d'en créer des nouvelles. On peut néanmoins citer les importants "La vie après le suicide d'un proche" de la réalisatrice Katia Chapoutier, ou encore "Le suicide, comprendre pour aider", réalisé par James Barrat. On trouvera aussi beaucoup d'autres documentaires liés à la santé mentale plus globalement, notamment chez les jeunes. Quelle est la nature du projet ? Pour ce documentaire, nous allons rencontrer des proches de victimes (amis, famille), pour découvrir différents portraits, différentes histoires et voir les raisons multiples (ou pas) qui peuvent pousser au suicide. Nous suivrons également “l’après” : leur vision des évènements, leur réaction, leur gestion du deuil, qui passent parfois par leur engagement, notamment dans des associations de prévention. Nous suivrons également des professionnels qui pourront nous fournir leur constat, leur analyse de l’évolution du phénomène, les découvertes scientifiques, les perspectives, et bien-sûr leur solution, leur conseil. Enfin, nous suivrons également des personnes ayant fait des tentatives de suicides, pour répondre aux questions que les proches de victimes peuvent se poser. Était-ce un acte mûrement réfléchi ou un acte impulsif ? En avaient-ils parlé à leurs amis ou à leur famille ? Sinon, qu’est-ce qui les en a empêché ? De quelles informations disposaient-ils sur le sujet et l’aide possible à ce moment-là ? AInsi que leur “vie d’après”. Comment se sont-ils reconstruits ? Comment vont-ils aujourd’hui ? Quels conseils pourraient-ils apporter à ceux qui se trouvent dans la situation qu’ils ont affrontée, ou à leurs proches ? Ce documentaire cherche à remplir une mission de prévention : en posant des constats parfois méconnus, en levant un tabou, en rencontrant des professionnels qui peuvent expliquer les dispositifs de prévention/accompagnement existants et en racontant l’histoire de toutes ces personnes, nous cherchons à aider un spectateur en prise avec des idées suicidaires. Que ce soit par sa propre prise de conscience ou la prise de conscience d’un proche. Pour se sauver, ou sauver les autres, encore faut-il être informé. Des chiffres récents sur le sujet : • Le suicide représente en France près de 10 000 décès par an, soit trois fois plus de décès que les accidents de la route. • 89 251 hospitalisations en médecine et chirurgie sont recensées pour tentatives de suicide en 2022 mais on estime à 200 000 le nombre de tentatives de suicide au total, celles-ci ne faisant pas toujours l’objet d’un contact avec le système de soins. • Le taux de suicide est en France l’un des plus élevés d’Europe avec 13,4 décès pour 100 000 habitants, pour une moyenne européenne de 10,2/100 000 habitants. • Le suicide en France concerne en premier lieu les hommes, avec un taux de suicide standardisé de 20,7 pour 100 000 habitants, et dans une moindre mesure les femmes avec un taux de suicide standardisé de 6 pour 100 000 habitants. • Chaque année le suicide est responsable de la mort de plus de 400 adolescents en France, ce qui en fait la 2e cause de mortalité pour cette tranche d’âge. Source : (Sources : CépiDc 2020 et 2021, Santé publique France, Eurostat 2020, 5e rapport ONS 2022)
Edgar (Réalisateur/Scénariste) : Tombé amoureux du cinéma après la découverte inoubliable de Drive en 2011 sur grand écran, et malgré une acceptation dans une école d’acteur, j’ai dû me résoudre à opter pour une voie plus “traditionnelle” dans le milieu du cinéma, après l’obtention d’un master de journalisme. J’ai ainsi pu travailler ainsi à différents postes (critique, assistant-programmateur, chef de projet digital, community manager…) dans différents acteurs de l’écosystème cinématographique, le journalisme avec le magazine des cinémas MK2 TROIS COULEURS, la programmation à Londres au sein de l’Institut Français au Royaume Uni, l'exploitation au siège de CGR Cinémas puis du groupe UGC, ainsi que les acteurs digitaux qui gravitent autour de l’écosystème, comme le site SensCritique dans lequel j’ai lancé les premiers partenariats avec des festivals de cinéma. Mes études de journalisme ont également été d’une grande aide dans mon envie d'écrire et de réaliser. J’ai donc fait une formation au Conservatoire européen d'écriture audiovisuelle (CEEA), spécialisée dans l’écriture de séries TV policières. Dans cette nouvelle démarche de réalisateur et de scénariste, j’ai écris un court-métrage, et je suis en train d’écrire ce documentaire, les deux traitant du même sujet. Constance (vidéaste/preneuse de son) : Vidéaste passionnée basée dans les Yvelines, à proximité de Paris. Mon parcours professionnel m'a permis d'explorer le potentiel créatif du numérique, ce qui m'a conduit à plonger dans le monde de la vidéo. J'ai eu la chance de suivre une formation approfondie à l'école Grain de Louis Fouché, où j'ai perfectionné mes compétences en production vidéo et montage. Pour aller encore plus loin, j'ai poursuivi ma formation à l'école Sup de Création, où j'ai approfondi mes connaissances en motion design et techniques de postproduction. En parallèle de mon activité indépendante, j'ai eu l'opportunité de rejoindre l'agence événementielle Fever en tant que créatrice de contenu. Cette expérience m'a permis de travailler avec des marques et des événements pour créer des vidéos engageantes sur les réseaux sociaux. Aujourd'hui, je vous accompagne dans la création de contenu sur-mesure pour donner vie à votre marque et engager votre audience. Mes services incluent : • Création de contenu de marque : Donnez une nouvelle dimension à votre image de marque à travers des visuels captivants. • Documentaire d'entreprise : Racontez l'histoire unique de votre entreprise et renforcez la connexion avec vos clients. • Publicités vidéo : Attirez l'attention et valorisez vos produits et services pour booster votre visibilité. • Reportages événementiels : Immortalisez vos événements marquants et partagez-les avec impact. • Contenus vidéos pour les réseaux sociaux : Engagez votre communauté avec des vidéos optimisées pour les plateformes sociales. Quentin (vidéaste/cadreur/monteur) : Issu d'une formation d'ingénieur, j'ai été développeur web pendant deux ans dans une start-up. Mais poussé par un désir d'indépendance et l'envie de créer, j'ai décidé de me lancer en freelance. Depuis le collège, je réalise des vidéos : clips et courts-métrages pour la plupart. En parallèle de mes études, je crée un collectif et une association de productions audiovisuelles avec lesquels je m'épanouis dans la réalisation de vidéos. Aujourd'hui, je partage mon activité entre la réalisation de sites web et de films.
À quoi servira la collecte
Le début de ce projet a lieu lors d'une première rencontre, pendant l'été 2024, avec un professionnel du sujet. Depuis, je rencontre d'autres professionnels, je recois des témoignages, et je construis le plan de ce documentaire. Pour ma part, je serais bénévole en tant que réalisateur/scénariste du projet. Tous les fonds compléteront le budget pour participer au financement des différents postes nécessaires pour la création de ce documentaire : • La pré-production (écriture, coordination du tournage, demande d'autorisations, logistique matérielle en amont) = 2800€ • La production (tournage, cadrage, prise de son, éclairage, le matériel) = 8000€ • La post-production (dérush, montage, habillage textuel, génériques, crédits, l’étalonnage) = 6500€ • Déplacements (à Lille, en Suisse, en Belgique) = 800€ Votre aide financière est indispensable pour mener à bien la suite de notre projet, mais aussi pour assurer son indépendance et sa liberté créative. Vous avez une question au sujet de notre campagne de financement ou sur le documentaire ? Contactez-moi par e-mail : edgarmermet@gmail.com