Dreams
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<i>Dreams</i> est un film sur la fin d’une époque, celle de l’insouciance, dans laquelle nous sommes confortablement installés, entourés par nos amis d’enfance et de rue. On rêve ensemble à un avenir fait de succès sans imaginer qu’il ne peut en être autrement tout en préférant les tabourets du bar aux bancs de la fac. Et puis un événement vient marquer la fin de cette illusion, un départ, une rupture, un choix à faire qui nous met face à nos responsabilités.</p>
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<strong>SYNOPSIS</strong></p>
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Des amis d’enfance ayant grandi dans une même rue de la ville de Créteil se retrouvent un soir dans le garage de l’un d’entre eux devenu depuis de nombreuses années leur salle de jeu. Le lendemain à l’aube Sarah s’envole pour les Pays-Bas. Ce départ ébranle l’équilibre du groupe et sonne la fin d’une époque.</p>
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Arthur est amoureux de Sarah, son départ et la raillerie de ses amis vont l’amener à s’isoler du groupe. Décision drastique qu’il va prendre notamment dans l’idée d’écrire son premier roman, lui qui n’a jamais douté qu’il deviendrait un écrivain accompli.</p>
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En s’isolant aussi radicalement Arthur doit faire face à sa vie, à son chemin et ses ambitions. Ramené à son intérieur familial et sa réalité quotidienne, il s’agira pour lui de bien manoeuvrer s’il veut exister à la hauteur de ses espérances. </p>
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<img alt="Capture_d__cran_2015-05-17___17.14.02-1431875686" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/199154/Capture_d__cran_2015-05-17___17.14.02-1431875686.png"></p>
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<strong>QUI SOMMES-NOUS ? </strong></p>
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L’écriture de <em>Dreams</em> découle d’un processus mûri ces trois dernières années par Olivier Bonnaud, (auteur, réalisateur, comédien). Le projet actuel a pu aboutir grâce au soutien de la municipalité de Créteil et aux personnes et amis l’ayant accompagné dans sa démarche jusqu’à ce jour. </p>
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Olivier a su réunir autour de son film une équipe soudée, déterminée et confirmée dont l’enthousiasme a permis de faire éclore un rêve plus ambitieux, celui de créer une association dédiée à la production d’œuvres cinématographiques et de spectacles vivants, « Station Solaris ». </p>
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Dreams est notre première collaboration, aujourd’hui nous avons besoin d’un soutien financier pour que chacun de nos membres, <strong>techniciens et acteurs, puisse s’exprimer dans son travail</strong> et ainsi permettre à ce film de voir le jour. </p>
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<strong>Station Solaris</strong></p>
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<i>Olivier Bonnaud</i></p>
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<i>Jules Reinartz</i></p>
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<i>LE REALISATEUR </i></p>
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Olivier Bonnaud (27 ans) originaire du 94, a fait des études de cinéma à Paris III et d’art dramatique à l’Ecole du Jeu. Il intègre ensuite le <strong>Conservatoire Royal de Liège</strong>, choix déterminant pour sa formation puisque qu’en plus d’embrasser savoureusement les plaisirs gustatifs et liquoreux que lui offre la Belgique il y découvre une nouvelle pédagogie auprès de la culture wallonne et flamande. </p>
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Il réalise à 16 ans un premier court-métrage remportant le premier prix dans la catégorie Jeune au festival « Imag’essone ».</p>
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<strong>En tant que</strong> <strong>comédien</strong> Olivier travaille avec différents metteurs en scène : Mathias Simons, Raven Ruëll, Jan Christophe Gockel, Charlotte Clamens, Nicolas Marchand. Il fait également la rencontre de Delphine Noels (réalisatrice) et Benoît Dervaux (chef opérateur des frères Dardenne) avec qui il tourne plusieurs courts métrages lui permettant de se perfectionner sur les techniques de réalisation et de tournage. On le retrouvera prochainement dans des mises en scènes de Vincent Hennebicq et Sylvain Daï.</p>
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<strong>INTENTIONS DU REALISTATEUR</strong></p>
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<i>Dreams</i> est un court-métrage de fiction intimiste qui aborde les thèmes de l’amitié, du rapport de l’individu au groupe et de l’influence de l’environnement sur la construction de la personnalité.</p>
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J’ai envie de raconter l’histoire de jeunes adultes confrontés à des choix de vie qui vont mettre à l’épreuve leur amitié dans un environnement qui n’est ni celui d’une banlieue enclavée ni d’une mégalopole. </p>
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Alain Bashung chantait <strong>« la force décuplée des perdants »,</strong> c’est cette énergie qui doit animer les personnages et emporter le film. Je ne souhaite pas pour autant dresser le portrait de losers mais plutôt saisir <strong>les moments de luttes et de doutes</strong> de jeunes gens qui tentent de mener leur vie sans être déçus ou résignés. </p>
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Le ton du film est loin d’être fataliste mais bien emprunt <strong>d’une distance humoristique</strong> s’appuyant sur l’absurdité de situations quotidiennes et l’énergie d’anti-héros aux réactions autodestructrices, capables de drôlerie jusque dans leur désespoir. </p>
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<strong><em>Décors</em></strong></p>
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<i>Dreams</i> est tout d’abord une histoire fortement inspirée par mes années passées à Créteil, au lycée, avec mes amis, à arpenter les rues pavillonnaires et les terrains vagues. La plus grande partie du tournage se déroule dans les lieux que j’ai connu et dont nous voulons révéler <strong>le charme et la singularité</strong>. Le film s’ouvre avec <strong>une partie de foot nocturne et festive</strong> dans un terrain vague situé entre une voie d’autoroute et des lotissements. Cette séquence contient la problématique du film de façon physique et géographique: comment ré-enchanter nos vies et les espaces que l’on habite par l’énergie et la force d’un groupe?</p>
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<strong>MISE EN SCENE</strong></p>
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La mise en scène donnera <strong>une part centrale au jeu des acteurs et à l’improvisation</strong>. Avec humilité mais aussi grande conviction, nous voulons inscrire les personnages dans une énergie proche de celle des films de John Cassavetes et de son film « Husbands » en particulier.</p>
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Ce sont des personnages très actifs avec <strong>des réactions contradictoires car souvent sur la brèche,</strong> qui ne prennent pas le temps de se poser pour parler d’eux même. Pour construire le film dans cette dynamique et ce souci là, Olivier tenant également un rôle dans le film, il sera assisté à la mise en scène par une autre actrice, Justine Bachelet, qui interviendra comme une « assistante Jeu », un regard extérieur pour conserver cette recherche d’un jeu sur le fil de l’improvisation. </p>
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Les romans de Salinger (L’attrape coeurs) et John Fante sont une autre source d’inspiration qui a déteint sur le projet <i>Dreams</i>, et tout particulièrement les héros de ces auteurs. Les personnages d’Holden Caulfield (Salinger) et Bandini (Fante) sont aussi drôles que désespérés. Et bien qu’ils évoluent dans des couches sociales très différentes ils se rejoignent en ce point : <strong>ce sont des idéalistes</strong>. Cette caractéristique fait à la fois leur grandeur et leur faiblesse, car ils alternent <strong>entre instants de grande joie, fulgurances et moments pathétiques</strong>. C’est sur cette brèche que se joue aussi notre histoire et la sensibilité du personnage d’Arthur.</p>
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<strong>IMAGE / CADRE</strong></p>
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La caméra sera au service de l’imprévu, de l’accident, de ce qui arrive « Ici et Maintenant » chez l’acteur, elle sera en mouvement, disponible pour épouser la dynamique des personnages.</p>
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Pour cela le chef opérateur bénéficiera <strong>d’une grande mobilité </strong>et donc des appuis techniques qui permettent cette disponibilité (Steadicam, kit épaule…)</p>
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Les images du film «Gummo» de Harmony Korin où l’on suit des ados dans leurs « jeux » en plein air sont pour nous une référence, à la fois dans le style et dans la vitalité qui s’en dégage. Vitalité de marginaux sales et abîmés chez qui apparaît <strong>une sorte de grâce</strong>. Nous souhaitons également produire un objet brut, proche des acteurs, qui vibre avec eux pour donner au film sa tension. «Gummo» s’inscrit aussi dans cette dynamique car la caméra ne semble jamais installée, on oscille entre l’impression de saisir<strong> une</strong> <strong>réalité brute</strong> échappée d’un documentaire et une fiction fauchée.</p>
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<strong>LA MUSIQUE</strong></p>
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L’univers musical du film fera cohabiter deux artistes aux genres très différents : Benjamin Britten compositeur classique avec ses chorales pour enfants, et Caandides, groupe d’électro-folk contemporain au son urbain très singulier. Voici deux titres qui seront présent, «Cuckoo» (B. Britten) et «Winter VII» (Caandides). Ce contraste portera de manière très concrète la différence entre la douceur mélancolique de l’enfance et la détermination des jeunes adultes.</p>
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<a href="https://soundcloud.com/caandides/winter-vii" target="_blank">Caandides - Winter VII</a></p>
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<img alt="Capture_d__cran_2015-05-17___18.48.31-1431881366" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/199237/Capture_d__cran_2015-05-17___18.48.31-1431881366.png"></p>
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<strong>L’EQUIPE</strong></p>
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La force du projet réside également dans l’équipe que nous avons pu constituer jusque là faite de personnes confirmées et motivées. L’équipe technique comprend 16 postes quand le film nécessite la présence de 12 acteurs.</p>
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<strong><i>Balthazar Lab (chef opérateur)</i></strong></p>
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<img alt="Capture_d__cran_2015-05-17___17.16.52-1431876374" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/199172/Capture_d__cran_2015-05-17___17.16.52-1431876374.png"></p>
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Après unMaster d’histoire à la Sorbonne, Balthazar Lab intègre <strong>la Fémis </strong>dans la section image. Au cours de sa formation, il prend en charge l’image de nombreux courts-métrages au sein de l’école ainsi qu’en dehors (comme «Pour faire la guerre», Réal : Cosme Castro, sélectionné́ au festival de Namur, de Bombay et d’Angers ; «Jeanne», Réal : Cosme Castro). Il participe en tant que stagiaire caméra au dernier film de Woody Allen : «Magic in the Moonlight». Il occupe le poste de second assistant caméra sur un long métrage à l’été 2014.</p>
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<strong><i>Justine Bachelet (assistante jeu)</i></strong></p>
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Formée à l’Ecole du Jeu, à la Manufacture de Lausanne et est actuellement en dernière année au <strong>Conservatoire National de Paris</strong>. Elle a notamment travaillé avec Delphine Eliet, Lilo Baur, Michel Fau, Yann-Joel Collin, Sophie Loukachevsky et Gilles David.</p>
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Au cinéma, elle a joué dans les courts-métrages de Cosme Castro et Léa Forest, Antoine Reinartz, Anne Brouillet et Antonin Desse. Elle joue dans le premier long-métrage de Cosme Castro et Léa Forest , Nous sommes jeunes et nos jours sont longs, sur lequel elle retrouve Balthazar. </p>
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Au théâtre, elle a joué sous la direction de Tamara Al Saadi, Frédéric Jessua, Sophie-Claire David et Delphine Eliet.</p>
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Avec Olivier ils ont été plusieurs fois partenaire au théâtre, ont co-dirigés une création au Conservatoire de Liège, et se retrouvent maintenant pour expérimenter ensemble avec ce film.</p>
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<strong><em>Les acteurs</em></strong></p>
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<strong>Avec la participation de:</strong></p>
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Marie-Christine Orry</p>
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Klaus Gerke</p>
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Nicolas Gatulle</p>
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Raven Ruëll</p>
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<strong>ACTUELLEMENT OÙ EN SOMMES-NOUS ?</strong></p>
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Le film nécessite <strong>13 jours de tournage</strong> avec une scission pour les besoins de cohérence entre les saisons ; une partie de l’histoire se passant en hiver et l’autre en été. <strong>Nous avons d’ores et déjà tourné 3 journées en Mars</strong> pour la partie hiver dont nous vous ferons part d’un aperçu dans les prochains jours.</p>
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Nous sommes en préparation de la seconde session de tournage qui se déroulera en Juillet sur une période de 10 jours. Tout se met en place, nous finalisons les décors et le découpage. La première session s’étant passé sans accrocs dans une ambiance réconfortante, nous sommes impatients et excités à l’idée de se retrouver pour commencer le gros du tournage, qui plus est avec le soleil cette fois-ci !</p>
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En réduisant au maximum les dépenses le coût du film est estimé à <strong>9 000€</strong>, ce budget est nécessaire compte tenu de la logistique inhérente au tournage alliée à notre volonté de réaliser <strong>un</strong> <strong>film exploitable en festival</strong>. Nous avons déjà réuni une partie des financements notamment grâce au <strong>soutien de la ville de Créteil </strong>(3000€) et de sources privées (2500€). Nous avons besoin de votre aide pour la somme restante qui nous servira à: </p>
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• La location du matériel image et son <strong>2500 euros</strong></p>
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• La location du camion qui servira au transport du matériel <strong>500 euros</strong></p>
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• Les dépenses régies ; tout comme une famille nombreuse, une grande équipe est chaleureuse tant qu’elle n’est pas affamée !! <strong>500 euros</strong></p>
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Par ailleurs, tout dépassement éventuel de la collecte sera automatiquement réinjecté dans le matériel, et permettra, à fortiori, d’améliorer la qualité du film. </p>
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Amis, famille, KissBankers, <strong>merci d’avance pour votre soutien</strong>, qu’il soit financier, moral ou même spirituel il sera toujours le bienvenu !</p>
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<strong>Association Station Solaris</strong></p>