FICEG (Festival International du Cinéma Etudiant de Grenoble)
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<img alt="Affiche_2_bis-1485613826" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/387886/Affiche_2_bis-1485613826.png"></p>
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Le <strong>FICEG </strong>(Festival International de Cinéma Étudiant de Grenoble) est un projet mené par les étudiants de licence 3 d'Arts du Spectacle à l'<strong>UGA </strong>(l'Université Grenoble Alpes).</p>
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Il aura lieu du <strong>1er au 4 Mars 2017 </strong>sur le Campus de l'UGA à St Martin d'Hères et à Grenoble, et a pour but de promouvoir la multiculturalité du paysage cinématographique étudiant du monde entier.</p>
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Pour sa troisième édition, la programmation s'est focalisée autour du thème de <strong>la migration</strong>, sous toutes ses formes, du politique au poétique.</p>
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Le jury sera présidé par<strong> Eric Pellet</strong>, un réalisateur de films expérimentaux, diplômé des beaux arts et du studio national des arts contemporains du <strong>Fresnoy.</strong></p>
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Le Festival commencera avec une carte blanche au président du Jury lors de la cérémonie d'ouverture à Grenoble, suivront ensuite deux soirées de projections à l'<strong>Amphidice</strong>, la salle de spectacle de l'UGA, pour finir avec la soirée de clôture du festival où seront annoncés les gagnants. De plus, une <strong>Masterclass </strong>publique et gratuite d'Eric Pellet se déroulera à l'<strong>Amphidice </strong>le Vendredi 3 Mars de 15h à 18h30. A cette occasion, il présentera sa démarche cinématographique et des extraits de ses films en dialogue avec <strong>David Yon et Aude Fourel</strong>, réalisateurs et enseignants de l'UGA. </p>
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<strong><img alt="Pellet-1485954085" height="394" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/389326/pellet-1485954085.jpg" width="394"> </strong></p>
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<strong>Eric Pellet</strong> est artiste et réalisateur. Formé à l’université et en école d’art, il obtient une maîtrise de cinéma en 1997, un DNSEP aux <strong>Beaux-arts de Lyon</strong> en 1999, un DEA de cinéma à l<strong>’Université Lumière Lyon II</strong> en 2002. Il est finalement diplômé du<strong> Fresnoy</strong>, Studio National des arts contemporain en 2005.</p>
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Il crée des formes expérimentales de documentaire, d’essai, de poème en interaction avec la danse, la littérature et la poésie contemporaine, la création sonore,<strong> le cinéma,</strong> les arts plastiques et situe sont travail d’artiste à la charnière entre<strong> le cinéma de recherche et l’art contemporain</strong>. Il tourne, monte, sonorise une quinzaine de film de commande. Il réalise une vingtaine de film plus personnels, dont <i>Livre des morts,<strong> Admosh</strong>, Ce qui reste, Noir-écran, Le premier jour, Kaunas, Lituanie</i>. Il est également impliqué dans <strong>l’enseignement</strong> (Ecole Nationale Supérieur de Lyon, Centre Chorégraphique de Rilleux-La-Pape, Ecole Nationale d’Architecture de Lyon) et la<strong> programmation</strong> (Centre Thomas More, Centre Culturel de Rencontre de la Tourette, notamment).</p>
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En 2011, il s’installe à Amplepuis, département du Rhône, dans les murs de <strong>l’usine Biolay</strong>, une ancienne fabrique textile de prêt-à-porter féminin. Il la transforme en un lieu de recherche <strong>pluridisciplinaire </strong>voire <strong>transdisciplinaire,</strong> de création matérielle ou immatérielle et de diffusion, dans la sphère des arts vivant, de l’image et du cinéma, de la philosophie et de la littérature.</p>
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En 2014, il crée à cette fin <strong>l’association </strong><strong><i>Usine Biolay</i></strong><strong>,</strong> qui inclut dans son projet la médiation, la formation et la pédagogie relative à ces champs d’action. L’association développera son activité principalement dans une partie réaménagée de l’ancienne usine mais, aussi, en rayonnant au-delà, le plus largement possible. Il est l’un des neuf auteurs à créer un spectacle vivant à partir de <i> La Passion selon Saint Matthieu</i>, de Bach, spectacle intitulé <i>Passion(s)</i> et présenté dans le cadre de<strong> Montpellier Danse en 2016. </strong></p>
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<strong>Programmation :</strong></p>
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<u>Partie 1 : Le départ</u></p>
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<i>-Au revoir</i>, réalisé par Elisei Markov, Russe, 3min ; Fiction</p>
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<strong>Synopsis</strong> : Un couple dans une gare, sur le point de se dire au revoir. Lorsque le train part, elle se rend compte qu’il n’est pas partit.</p>
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<i>-Circle</i>, réalisé par Mohammad Bakhshi, Iranien, 19min ; Fiction</p>
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<strong>Synopsis</strong> : Comment vivre un départ ? Il est très dur de quitter sa maison pour un camp de réfugié, surtout quand on est un enfant. </p>
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<i>-Millenium, Eternal Sunrise</i>, réalisé par Vlad Aksenov, USA, 11min ; Fiction</p>
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<strong>Synopsis</strong> : Chanari, une petite fille de onze ans vient de perdre sa mère. Selon une légende, elle pourrait être ressuscitée. Chanari va donc désobéir à son père pour essayer de faire revenir sa mère à la vie.</p>
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<u>Partie 2 : Le voyage</u></p>
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<i>-Acrocosme</i>, réalisé par Alaxandre Guerre, Le Fresmoy (France), 15min ; Science-Fiction</p>
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<strong>Synopsis</strong> : Un cosmonaute est envoyé dans l’espace pour découvrir une potentielle forme de vie sur la planète Mars. Pour cela, il doit traverser une zone dangereuse : la ceinture de Van Allen.</p>
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<i>-Butterfly co,</i> réalisé par Ifigenia Dimitriou, Grec, 11min ; Fiction</p>
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<strong>Synopsis</strong> : Récemment engagé dans un open-space, un employé se trouve obligé d’accomplir un travail qui ne lui permet pas de s’épanouir. Il découvre un jour une trappe en dessous de son bureau qui le mène à un monde onirique, poétique, en complet décalage avec sa réalité, un lieu où ses sens pourront s’éveiller. </p>
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<i>-No’i</i>, réalisé par Aline Magrez, INSAS (Belge), 23min ; Documentaire</p>
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<strong>Synopsis</strong> : Un rain passe dans les rues de Hanoï, capitale du Vietnam, et nous fait découvrir ses lieux, ses habitants, ses coutumes. A travers des travellings denses et un travail sonore profond, le train sert alors de lien, pour relier tous les morceaux de la ville.</p>
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<u>Partie 3 : L’arrivée</u></p>
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<i>-Searching for god’s heaven</i>, réalisé par Mohanad Abdelgawag, Allemand, 21min ; Documentaire</p>
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<strong>Synopsis</strong> : L’espoir d’une vie meilleure, voici le but des réfugiés syriens. C’est ce qui pousse Daham Hamea et ses cousins à combattre tous les problèmes rencontrés à Berlin.</p>
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<i>-Little Stone Lion</i>, réalisé par Chen Tang, Taiwan, 7min ; Animation</p>
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<strong>Synopsis</strong> : A la nuit tombé, un petit lion de pierre, gardien d’un temple religieux asiatique, prend vie et protège son temple des intrus… dont un chat particulièrement fouineur.</p>
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<i>-The world we live in,</i> réalisé par Juliane Walter, Allemand, 16min ; Documentaire/Animation</p>
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<strong>Synopsis :</strong> Etre entendu et rester anonyme. Pointer une réalité dure en y esquissant la silhouette de ceux et celles qui la vivent. Ici, la prise de vue réelle se marie à l’animation pour dresser trois portrais de travailleurs émigrés en Allemagne, offrant un autre regard sur un pays important de l’Europe.</p>
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<u>Partie 4 : Et après ?</u></p>
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<i>-Scent of Geranium</i>, réalisé par Maghmed Farzaneh, USA, 5min, Animation</p>
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<strong>Synopsis :</strong> L’immigration est un nouveau chapitre dans une vie, un chapitre avec des évènements inattendus qui peuvent prendre la vie sur des chemins différents de ceux imaginés.</p>
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<i>-Native Immigration</i>, réalisé par Eric Romero, Napier University, (Angleterre), 15min, Documentaire</p>
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<strong>Synopsis </strong>: Un « Mockeydocumentary » ou « faux documentaire » sur divers témoignages d’individus qui ont immigrés au Royaume-Unis, sous l’apparence d’interview à caractère auto dérisoire et comique, on nous présente Manuel, Olamilekan et Chen Lee, dont la vie a basculée quand ils ont découvert qu’ils étaient immigrants.</p>
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<i>-Nothing Stranger</i>, réalisé par Pedro Collantes, Netherlands Film Academy, 22min, Fiction</p>
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<strong>Synopsis </strong>: Ling retourne en Chine après avoir passé plusieurs années en France. Elle retrouve la tombe de son amie Mei, ainsi que la petite sœur de cette dernière. Ling lui confie alors un rêve dont elle se souvient encore de tous les détails.</p>