On ne sait jamais ce que le passé nous réserve
<p><em><strong>On ne sait jamais ce que le passé nous réserve</strong></em></p><p> </p><p><strong>Il y a des rencontres qui changent votre vie.</strong> Celle avec <strong>Sagan</strong>, qui n’était pas mon écrivain préféré, et dont je ne connaissais que le personnage, ce petit moineau toujours la clope à la main, frémissante, drôle et ironique, m’a bouleversée. Je l’ai rencontrée grâce à <strong>Alex Lutz</strong>, avec lequel j’avais élaboré mon précédent spectacle musical autour de George Sand. Il me parlait régulièrement d’elle, de son style tellement particulier fait de légèreté et de profondeur, jusqu’au jour où <em>Je ne renie rien</em>, le recueil de ses interviews publiées chez Stock, me sont tombés dans les mains. Et là, ça a été le coup de foudre. Pour cette intelligence aigüe, pour son humour, sa tendresse, pour sa lucidité. J’en ai fait un spectacle, <em>Françoise par Sagan</em>, qui rencontre depuis un an un accueil critique et public assez miraculeux.</p><p> </p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https://www.youtube.com/embed/Us7-yDsw43U?feature=oembed&url=http://www.youtube.com/watch?v=Us7-yDsw43U&image=https://i.ytimg.com/vi/Us7-yDsw43U/hqdefault.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text/html&schema=youtube" width="500" height="281" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p>Forte de cette vague Sagan qui semble me porter, <strong>l’idée s’est imposée de faire un album de chansons autour d’elle.</strong> Sagan a écrit des chansons, souvent mises en musique par Michel Magne, chantées par Greco, Mouloudji, Dalida ou Nana Mouskouri. J’ai eu envie de reprendre l’une de ces chansons, <em>Sans vous aimer</em> et d’y ajouter à la fois des créations autour de Sagan, en écrivant sur les thèmes qui m’avaient tellement touchée en entrant dans son univers, ainsi que mettre en musique certains de ses textes en prose, <em>Bonjour New York, Les maisons louées</em>.</p><p> </p><p>Grâce à <strong>Etienne Daho</strong>, j’ai la chance de rencontrer <strong>Jean-Louis Pierot</strong>, dont le talent n’est plus à prouver, et c’est lui qui m’accompagne pour la réalisation et quelques compositions de cet album.</p><p> </p><p>(Crédit photos pochette et studio : Richard Schroeder)</p><p><img width="100%" alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472307/JLP_capuche-1512654448.jpg" /><img width="100%" alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472308/JLP_CLstudio2-1512654538.jpg" /></p><p> </p><p><strong><em>On ne sait jamais ce que le passé nous réserve</em> est comme une lettre d’amour à Sagan</strong>, et, bien sûr, l’occasion d’écrire et de chanter des sentiments qui me tiennent à coeur… La solitude, cette sensation d’être écorchée par tout, une mélancolie sur le fil du rasoir, et toujours l’amour des mots.</p><p> </p><p>Je suis très heureuse que des artistes que j’aime comme Pascal Mary, Pierre Notte, Thierry Illouz, ainsi que Benjamin Siksou apportent leur talent à ce projet qui me tient à coeur. Cet album est aussi l’occasion de retrouver Pierre Grillet mon complice de <em>C’est la ouate</em>, pour un texte qu’on a écrit autour d’une phrase de Sagan que j’adore : <em>On ne sait jamais ce que le passé nous réserve, </em>titre de l’album, ainsi que <em>J’sais pas compter</em>.</p><p> </p><p>Jean-Louis Pierot a réuni un trio exceptionnel pour poser les bases des chansons: le bassiste Marcelo Guilliani (Etienne Daho, Truffaz, Higelin, Christophe), le batteur/percussionniste Raphaël Chassin (Tété, Vanessa paradis, Arthur H), le clavier/trompettiste Alexis Anerilles (Etienne Daho, Edith Fombuena, Sophie Hunger), et le Well Quartet, qui a joué sous la direction d’Agnès Ollier pour la musique de mon spectacle <em>Françoise par Sagan</em>.</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472311/Alexis_piano-1512654850.jpeg" /><img width="100%" alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472312/Celo_t_te-1512654865.jpeg" /><img width="100%" alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472313/Rapahel_joue-1512654881.jpeg" /></p><p> </p><p>Pour vous faire une idée plus précise du projet d'album, <strong>voici les maquettes de <em>Bonjour New York ,</em> <em>À tout l'on s'écorche</em> </strong>et<strong> <em>On ne sait jamais ce que le passé nous réserve</em></strong><em> :</em></p><p> </p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F246273502&dntp=1&url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F246273502%2F51c5271c5a&image=https%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F671194872_295x166.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text%2Fhtml&schema=vimeo" width="480" height="360" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F246273310&dntp=1&url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F246273310%2F9d3848338a&image=https%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F671194280_295x166.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text%2Fhtml&schema=vimeo" width="480" height="360" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F246273970&dntp=1&url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F246273970%2F89a283cab7&image=https%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F671195233_640.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text%2Fhtml&schema=vimeo" width="500" height="375" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p>À très vite,<br />Caroline Loeb</p><p> </p>
<p>Sagan disait qu'elle aimait le jeu parce que l'argent y retrouvait "sa fonction exacte, quelque chose qui circule, qui n'a plus ce caractère solennel, sacralisé qu'on lui prête habituellement". Forte de cette belle pensée sur l'argent, je vous propose, à vous qui suivez mon travail depuis des années, d'être partie prenante dans la production de ce nouvel album de chansons, qui est comme une suite logique de ces dix dernières années de créations théâtrales.</p><p> </p><p>Cette collecte KKBB dont les fonds seront récoltés par ma société de production, On Peut, qui produit l'album, servira à payer : </p><p> </p><p>• le studio de mixage = 1700€ (mi-janvier)</p><p>• la post-production : </p><p> - mastering : 1500€ (fin janvier)</p><p> - création des visuels de la pochette : photos, graphisme, cessions de droits : 3000€ (fin janvier)</p><p>• la fabrication des CDs (packaging, pressage) : 3000€ (février)</p><p> </p><p>La sortie de l'album est prévue pour fin mars - début avril.</p><p> </p><p>Et si la collecte dépasse l'objectif, les fonds supplémentaires serviront à la promotion de l'album (encarts publicitaires, affichage...)</p>