<h4><strong>100% des bénéfices seront reversés au fonds d’urgence contre le Covid-19. Le prix unique des oeuvres est de 100€. L'envoi des œuvres sera effectué à la fin de la période de quarantaine.</strong></h4>
<p>With 100% of the profits to be donated to the emergency fund against Covid-19. The single price of the works is 100 €. The works will be sent at the end of the quarantine period.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/655360/marie_audrey-1584810487.jpg" width="100%" /></p>
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<p>Les deux créatrices d'Urgence Artistique sur les toits de Paris en 2020.</p>
<p>Infos :
[email protected] /
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<p><strong>Présentation des artistes: </strong></p>
<p><strong>Marie Hazard </strong>was born in 1994, works and lives in Paris. After studying at Central Saint Martins in London, she weaves to create her personal canvas and tell a story – her own and that of her time. By choosing weaving as a medium, Marie Hazard is telling the story of a technique, of savoir-faire, of an ancestral artisanal production which she adapts to our present time. For Hazard, weaving is writing, weaving is telling, weaving is inventing a language. As with weaving looms, where shuttles move thread and yarn to create new materials, displacement and migration necessitate the formation and evolution of language. Her work was exhibited recently next to Alighiero Boetti in Switzerland and Richard Nonas in Mexico City. </p>
<p><strong>Audrey Guttman</strong>, née en 1987, vit et travaille entre Paris et Bruxelles. Après avoir étudié les sciences politiques puis l'histoire de l’art, la littérature et la théorie des arts, elle se consacre pleinement à l’art, déployant une pratique multidisciplinaire de collage, dessin, gravure et écriture. Inspirée autant par la poésie moderne que l’art africain, la calligraphie ou la musique, cette iconographe conçoit l’association de fragments disparates comme une recherche de court-circuits dans le sens, l’espace et le temps, en écho à la recomposition permanente du monde d’aujourd’hui. Sa curiosité s’exerce particulièrement à sonder les dissonances dans la perception et la représentation des images mentales. Son travail a été présenté lors d’une exposition personnelle à la galerie Emilie Dujat à Bruxelles ainsi que lors d’expositions collectives à la Fondation Verbeke en Belgique, au Museo dei Bozzetti en Italie, à Rochester, New York et Ground Control à Paris, entre autres.</p>
<p><strong>Christine Safa</strong>, née en 1994 vit et travaille à Paris. Elle<strong> </strong>appréhende la peinture comme un discernement d’états émotionnels, dictés par la lumière. Les figures récurentes qu'elle peinst sont des sortes de témoins, des fossiles. Elles accueillent et subissent le temps, comme une ruine, une pierre. La lumière donne un poids à la peinture, le soleil s’étend comme un crépuscule de poussière tremblante sur les figures et paysages. Chaque peinture est une déclaration d’un moment donné, suspendu ; un instant de quiétude.</p>
<p><strong>Eugénie Paultre</strong> est née à Paris en 1979, où elle vit et travaille. Après avoir étudié et enseigné la philosophie, elle se consacre depuis 2010 à la peinture et à l’écriture. L’Institut Français de Bratislava et la Galerie Gandy lui ont consacré des expositions personnelles (2019), ainsi que la galerie Erna Hecey : <em>Des liens plus que terrestres</em> (Luxembourg<em>, </em>février-avril 2020). Elle a également récemment participé aux expositions <em>Colori: L’emozione dei colori nell’arte</em> (Castello di Rivoli, 2017) et <em>Etel Adnan et les modernes</em> (Mudam, 2019).</p>
<p><strong>Romina Shama </strong>is an Italian-Egyptian artist, born in Switzerland. After a degree in anthropology at the University of Lausanne, she studied at the Central Saint Martins School in London, and then settled in Paris. Romina is a photographer and her work is an inquiry into the condition of presence. She seeks to transform exhibitions into sites of questioning, and to interrogate representation within the new, immaterial era, one in which the image alone is no longer sufficient. In 2019, she founded the Musee Transitoire.</p>
<p><strong>Margaux Barsac-Rodriguez</strong>, artiste diplômée de l’ENSBA de Paris en 2018, vit et travaille entre Bordeaux et Paris. Par des jeux d’analogie elle fabrique des images, fixes ou en mouvement, des objets, des installations, où se tisse un fil, des liens, une continuité entre les formes et ce qu’elles évoquent. Elle prélève des formes, enregistre ses visions, pour constituer un solfège rigoureux de matières, de gris, d’éléments, de corps, d’étendues et donner naissance à des paysages habités. Il s’y développe un univers minéral, marqué par la fuite du temps comme par la blessure. </p>
<p><strong>Louis Mounis</strong>, architecte installé à Paris, déploie sa pratique à travers l’architecture, l’écriture, la photographie et la marche. Depuis bientôt deux ans, il a centré sa recherche sur le territoire Méditerranéen: les images qui composent l’histoire de cette mer permettent à Louis d’explorer les archétypes et de redécouvrir ses propres archétypes mémoriels. Le dialogue entre les différentes échelles du territoire, de l’habitat, du corps et leurs relations à la mémoire sont la trame de fond de ses photographies. Une sorte d’archive mnémonique.</p>
<p><strong>Margaux Derhy</strong>, née en 1985 vit et travaille à Londres. Elle se consacre depuis 2015 totalement à la peinture en ayant suivi une formation aux ABA de la ville de Paris dans un premier temps puis à Londres à Central Saint Martins pour un Graduate Diploma. En 2019, Margaux a rejoint le MA Painting du Royal College of Art (RCA) à Londres. Son travail s'articule autour des sujets de la mémoire dans la sphère familiale et des émotions liées à la perte et l'absence. En utilisant plusieurs médiums qui alimentent sa peinture (de la céramique à la broderie ou la sérigraphie), son univers figuratif teinté de bleu dégage un sentiment de douce mélancolie. </p>
<p><strong>Julot Bandit,</strong> photographe qui vit et travaille à Paris, puise son inspiration dans les mouvements de ses modèles, en capturant les moments clés de leur gestuelle. Il fige ses sujets dans une mise en scène dynamique, les faisant souvent apparaitre en lévitation ou suspendus dans les airs. Tant à l’aise avec la couleur qu’avec le noir et blanc, Bandit réalise des portraits pour la mode, les magazines, ainsi que pour la publicité et le monde musical. Il a notamment collaboré avec les groupes SARH et Lily Wood & The Prick pour la conception de leurs pochettes d’album, ainsi qu’avec le rappeur Travi$ Scott sur une série photographique pour le magazine Highsnobiety. Récemment il a collaboré avec Kanye west et Angèle sur des créations uniques.</p>
<p><strong>Njaheut Gilles Valler</strong> est né le 6 janvier 1991 dans la ville de Douala, Njaheut Gilles Valler (de son nom d’artiste Gilles GeeKk) est originaire du Cameroun où il a passé les dix premières années de sa vie, imprégné d’une culture visuelle issue des diverses tribus ethniques, dont celle des Bamiléké (tribu d’origine de ses parents) qui va jouer un rôle primordial dans son identité visuelle. </p>
<p><strong>Lucas Talbotier</strong> is a french painter who recently graduated from Les Beaux-Arts de Paris. He is currently working in Paris. Talbotier's paintings are composed with meticulous attention to the physical qualities of his chosen medium, interacting arrangements of color and form are at once reductive and expressive. In the artist’s hands, color assumes a tactile quality, appearing almost material : he develops his own color palette derived from pigments ground in vinylic blinder, altering the quantities in order to obtain varying degrees of matte to almost reveal painting as a sedimentation of light.</p>
<p><strong>Charlotte Jankowski </strong>est née en 1979, vit et travaille à Paris. C’est à la fois la poésie des signes et une mécanique de la recherche qui guident les expériences et les travaux de Charlotte Jankowski. Interroger le sens du signe, placer les signes au coeur du sens, jusqu’où épuiser le signe qui fait sens ou alors trouver un sens aux signes, sont au coeur de sa démarche artistique. ­Guidée par une approche à la fois très cérébrale et spontanée l’artiste opère un va et vient constant entre les silences de la représentation et ce qu’évoquent les jeux de mots tel le son d’une parole qui dépose plus qu’elle n’impose, son rythme, ses coupures, ou sa fluidité. Est-ce alors le sens qui est subordonné au signe ou le signe à celui du geste qui lui donne du sens ?</p>
<p><strong>Quentin Derouet </strong>est né en 1988 et diplômé de la Villa Arson en 2012, travaille à Paris et à Comprégnac dans l’Aveyron. En 2015, il collabore avec Fabrice Hyber à l’élaboration d’une nouvelle variété de rose dont la seule caractéristique serait de laisser la plus belle trace lorsqu’on l’écrase. Il crée une roserai dans le sud de la France, et produit en fonction des floraisons. Il a notamment exposé au Musée d’Art Moderne de Saint-Etienne, au Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice, au Kunst Merano Arte en Italie ainsi qu’à la Villa Arson. Son travail est représenté par trois galeries, entre Paris, Nice et Shanghai. En 2018, Quentin Derouet a cofondé la galerie Pauline Pavec, avec laquelle il travaille à la redécouverte d’oeuvres d’artistes comme Robert Malaval ou Gherasim Luca.</p>
<p><strong>Apolonia Sokol</strong> is born in 1988, works and lives in Paris. After completing her MFA at Academie des Beaux-Arts de Paris, the artist moved to New York (USA) and worked as an assistant for Dan Colen. Later she exhibited in Los Angeles. In Brussels her work was shown with the pieces of Walker Evans. Apolonia lived in Copenhagen (DK) and is represented by Danish gallery Andersen’s Contemporay. The painter is also represented by Turkish gallery The Pill (Istanbul) . Apolonia Sokol’s work has been exhibited in several institutional group shows such as Tainted Love/ Club Edit (curator Yann Chevalier) in new Contemporary Art Space Confort Moderne’s inaugural show in France, Villa Arson, Mademoiselle at the CRAC in Sete (curated by Tara Londi),Musée des Sables d’Olonne (curated by Amelie Adamo), Peindre dit-elle # 2 (curators Julie Crenn, Anabelle Teneze and Amélie Lavin) in Musée des Beaux-Arts de Dole and Emerige Prize 2018 (FR) (curator Gaël Charbau). The artist’s work is included in several prestigious private collections. HBO and Danish Documentary are producing an ongoing documentary on the artist directed by Lea Glob.</p>
<p><strong>Azzedine Saleck </strong>(b. 1987 based in Paris). Saleck is a poet and an artist currently living in Paris. Of Mauritanian and American descent, raised in France, Azzedine Saleck captures the complexity of fragmented cultural influences at the intersection between language and form. His practice involves language-based sculptures, and the design of spaces that create intimacy and affective responses. Dislocating references, Saleck’s recreation of fictional spaces and habitat refer to and induce ritualistic behavior. These resulting situations capture and trigger transformational moments of awareness. They act as testimonies of moments of subjective and collective histories. Saleck has exhibited at the Gulbenkian Foundation, Paris, and the Confort Moderne, Poitiers, Southard Reid gallery in London, and the artist run space Treize in Paris. His work is published in Talismans, the desert between us is only Sand, Gulbenkian Foundation, 2018, YEAR, 2016, Brussels.</p>
<p><strong>Bruno Albizzati</strong>, born in 1988, lives and works in Paris, France. Rooted in the use of paper and cardboard, his work articulates itself through different techniques such as charcoal, graphite powder and pigments on the one hand, spray paint and textured matters on the other. He graduated from Arts Déco Paris in 2012. Since 2009, his work has been included in multiple collective exhibitions, notably at Centre Pompidou (2009) or Maison de l’Architecture (2013) in collaboration with various galleries and curators such as Odile Burluraux, of the Paris Modern Art Museum (2013) and Alicia Knock from Centre Pompidou (2016). His work is regularly shown in several International Art Fairs including the Spring Break Art Show in NYC, Art Paris Art Fair at Grand Palais, Art Central Hong Kong or Art Stage Singapore. Recent personal and two-persons exhibitions took place at Schuebbe Inc., Düsseldorf (2015) and Galerie La Forest Divonne in Paris (2017) and Brussels (2017-2018).</p>
<p><strong>Mathilde Denize</strong> (née en 1986, en France) vit et travaille à Paris. Plasticienne, sa pratique est orientée en particulier vers la peinture et le travail d’installation et de composition sculpturale, de performance et de vidéo. Elle expose régulièrement sous différents commissariats et dans de nombreux lieux, musées, galeries, festivals et foires.</p>
<p><strong>Charlotte Heninger </strong>est une artiste française basée à Pantin. Ses installations anticipent un futur aux frontières des sciences et de la fiction, imbriquées entre les différents règnes du monde vivant et inerte. En installant ses pièces dans un paysage qu’elle construit, l’artiste fait émerger l’éventualité d’une nouvelle ère peuplée d'entités hybrides en symbiose avec leur milieu.</p>
<p><strong>Laure Wauters </strong>vit et travaille à Paris et Pantin. Diplômée des Arts Décoratifs de Paris, elle rejoint l’atelier W en 2107 après une résidence à la Cité des Arts de Paris. Reposant avant tout sur le dessin et la peinture, son travail explore la fragmentation et l’assemblage, l’imitation et le détournement. Par touches, les références ponctuent son language plastique fait de maquettes et de fragments inventés, entre éléments narratifs et associations sensorielles. Combinant anachronismes et jeux (invraisemblables) d’échelles, les éléments juxtaposés sont des artefacts incomplets, marqués par l’ellipse ou l’absence.</p>
<p><strong>Côme Clérino</strong>, né en 1990, vit et travaille à Paris. Diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris avec les félicitations du jury en 2016 après 5 ans dans l’atelier de Wernher Bouwens et Ann Veronica Janssens. Sculpteur mais aussi peintre et photographe, Côme aime la multiplicité des matériaux ; à travers ses pratiques il décrit son environnement urbain. Son travail a été exposé dans diverses galeries et espaces publics à travers l’Europe. Cela lui a permis également d’être sélectionné au salon de Montrouge et Jeune Création en 2020. Enfin plusieurs de ses travaux ont été publiées dans des revues telles que Point Contemporain, Le Chassis et Artaïs.</p>
<p><strong>Fifou</strong>, photographe et directeur artistique depuis 12 ans, Fifou a fait ses armes essentiellement dans le milieu du hip hop Français. À ses heures perdues, ce boulimique de travail aime expérimenter d’autres techniques. Il affectionne particulièrement le travail du noir et blanc à l’argentique, en particuliers le format 6x6. La recherche du grain, de l’accident mais surtout de la texture est sa principale motivation. </p>
<p><strong>Sébastien Léon </strong>est un artiste pluri-disciplinaire français résidant à Los Angele. Son travail est disponible à <a href="http://www.sebleon.com/">www.sebleon.com</a>.</p>
<p><strong>Anna Skladmann</strong>’s (b. 1986, Bremen, Germany) artistic medium combines photography and scanning techniques to reflect critically on aspects of contemporary life and politics exploring notions of nature and society, cultivation and the machine. <br />
Her recent work has explored the gendering of humans’ attitude towards the environment with an interest for alternative female-focused narratives rooted in the natural world. <br />
She received her MA from the Royal College of Art and her BA from Parsons School Of Design, her work has since been nominated for the Prix Pictet and Paul Huf Award, and has also won the Arles Photo Folio Prize. Her photographic projects have been shown at the Maison Européenne de la Photographie, Museum of Modern Art, Fotofest International, Unseen Photo Fair, Saatchi Gallery and the Museum für Kunst und Gewerbe. Permanent Collections include The Maramotti Collection, The Museum Of Fine Arts Houston, The Moscow Museum of Modern Art, Stiftung für die Hamburger Kunstsammlung and The Pinault Collection.</p>
<p><strong>Loup Sarion </strong>(1987, France) lives and works in New York, USA. Recent exhibitions include: <em>Cannibal Valley</em>, M+B, Los Angeles (duo show); <em>Milch in meinen Augen</em>, Kunstverein Heppenheim (solo show); <em>The annual</em>, Socrates sculpture park, New York; <em>Tuff Titties</em>, Sorry We’re Closed, Brussels (duo show), <em>Chapo, </em>C L E A R I N G, New York (duo show); <em>Everybody is somebody’s secret, </em>Berthold Pott Gallery, Cologne, Germany (solo show); <em>Smooth like an alibi</em>, Formatocomodo, Madrid, Spain (solo show); <em>Langue Pendue</em>, SpazioA, Pistoia, Italy (solo show); <em>Le nouveau monde industriel</em>, Galleria Continua, Les Moulins, France ; <em>humidity</em>, Galerie Jean Roch Dard, Brussels, Belgium (solo show); <em>Les lèvres nues</em>, DOC, Paris ; <em>I cut out the mug and went to the bottle</em>, EXOEXO, Paris (duo show). </p>
<p><strong>Erin Lawlo</strong>r (b. 1969, UK) lives and works in London. She has exhibited extensively internationally, recent solo exhibitions include Miles McEnery Gallery, NYC; Espacio Valverde, Madrid; Fox/Jensen Gallery, Sydney; Galerie Pauline Pavec, Paris; Rod Barton, Brussels. Recent institutional exhibitions include “onomatopoeia,” at the Rothko Center, Latvia, (2017), and “Maleri.Nu/Paint.Now,” at the Ny Carlsberg Glyptotek, Copenhagen (2016).</p>
<p><strong>Jason Stephen Levin </strong>is a mixed-media painter based in Philadelphia, Pennsylvania. His works embrace mark making, combined with erratic undertones and designs—both minimal and prominent—breaking the confines of a singular method or style of painting. A lawyer by training, Jason views the blank canvas as an escape from the rigidity of rules and formalism.</p>
<p><strong>Katherine Bradford</strong> is a New York artist represented by CANADA in New York, Campoli Presti in Paris and London, and Philipp Haverkampf in Berlin. Her work is in the collections of the Brooklyn Museum, Metropolitan Museum, Dallas Museum and the Menil in Houston Texas. She has just completed a large public art work for the New York City subway. She was on the faculty at Yale School of Art (2017-18) and the Skowhegan School (2009).</p>
<p><strong>Alexia Mavroleon</strong> was born and raised in London, England and studied at the Rhode Island School of Design in the United States. She is Greek and Swiss. She now lives and works in Manhattan, NY. Her work investigates personal and social narratives by bringing them into new spaces predominantly through installation and performance. She experiments with the notions and ideas of control and her own relationships with it.</p>
<p><strong>Adrian Schachter.</strong> Adrian is a young artist born in 1996 in New York, where he studies at the School of Visual Arts.<br />
Despite his young age, his work intersects painting, sculpture and photography, and it’s characterized by a strongly satirical imprint.</p>
<p><strong>Andrea Marie Breiling</strong>, Artist lives and works in Los Angeles . Primarily a painter who occasionally uses different mediums to create paintings ie social platforms and digital technology. Solo shows 2018 in Los Angeles with Night Gallery and Aachenbach Hagemier in Düsseldorf Germany. With an upcoming solo presentation In Los Angeles in the large exhibition space of Night Gallery (scheduled for June 2020 new date tbd)Having shown in many group shows since graduating MFA in 2014. With the most recent group show at Harpers Books in upper east side York In January 2020. </p>
<p><strong>Ethan Cook</strong> is a New York-based artist. He is known for his abstract paintings on self-produced canvases. More recently, he has used handwoven strips of cotton and linen to create painterly compositions. Cook's woven canvases are contemporary in their minimalist focus on shape and color while referencing one of the most traditional art forms, weaving. Cook weaves his own canvases on a loom and juxtaposes these with store-bought canvas sheets in abstract arrangements. For the artist, the surface of the canvas itself becomes the focus of his practice. Using simple geometric shapes and a limited color palate, Cook's works nurture structural simplicity.</p>
<p><strong>Yulia Losilzon</strong> (b. 1992), lives and works in London, UK. Graduated from Royal College of Art, MA Painting, London and from Slade School of Fine Art, UCL, London in 2017. Yulia Iosilzon draws on fragmentary narratives, persistent duality between text and subtext, clarity and opaqueness, rendered through form in the use of transparent fabric. Yulia’s work is born from an inherent interest in the narrative - of stories anecdotally told and retold, fables proliferated and propaganda through word of mouth and fairy tales passed down from generation to generation. It is snippets and snapshots of these histories that are captured and immortalised in her paintings, removed from their original context and often reduced to, or solely recognisable by, their base emblems or characters.</p>
<p><strong>Lauren Luloff</strong> works and lives in NYC. Her paintings are constructed, layered and torn, coalescing into moody evocations of color, time and place. Visually at ease in the dialogue of Abstract Expressionist predecessors, her works are steeped in an accumulation of personal memories and images. The application of her ordinarily domesticated materials and approaches add boldly feminine strokes to the lineage. Both thick and lithe, Luloff’s paintings reflect her psychological and physical world. The immediate surroundings of plant life in her light-filled, Brooklyn studio, and the chaos of repeated travels to India, all unfold onto and into the surface of her paintings. Much as we recall dream imagery in flickering hazes of recollection, Luloff’s motifs, patterns and images dance in and out of solid and ethereal shape, lightness and darkness. Luloff’s work has been included in the notable exhibitions at the Queens Museum of Art, Queens, NY, Bronx River Arts Center, New York. Secret Project Robot, Brooklyn, Galeria Marlborough, Madrid, CB 1 Gallery, Los Angeles, Galerie Ceysson-Benetière Paris and Halsey McKay Gallery, East Hampton, NY. </p>
<p><strong>Kenny Schachter</strong> is an artist, writer, and curator who has been curating contemporary art exhibits in museums and galleries and teaching (art history and economics) for nearly thirty years; presently in the graduate department of the University of Zurich. He has lectured internationally, been the recipient of a Rockefeller supported grant in Mexico, and contributed to books on Paul Thek, Zaha Hadid, Vito Acconci and Sigmar Polke/Gerhard Richter. Kenny Schachter has a regular column on <a href="http://artnet.com/">Artnet.com</a> in addition to writing widely for various international publications. He most recently had a retrospective of his art at Joel Mesler’s Rental Gallery in New York in the summer of 2018, curated an exhibit at Simon Lee Gallery in London, fall 2018 and a one person show at Kantor Gallery, LA, February 2019. Next up, a solo show at Blum & Poe Tokyo, Spring 2020. Schachter has been profiled in The New York Times Magazine (cover story, September, 1996), and London's Observer, Independent and Telegraph and deals in international art from Impressionist and Modernism to the art and design of today. He currently lives and works in New York City. </p>
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