VRAAC

Votre nouveau média culturel à Grenoble

Visuel du projet VRAAC
65
Contributions
22 jours
Restants
5 018 €
Sur 6 000 €
84 %

VRAAC

Notre histoire Tout a commencé par une fin. Celle du Petit Bulletin Grenoble à l’automne dernier, brutalement liquidé après 30 ans d’existence. Ce journal culturel bien connu localement pour lequel nous travaillions depuis plus ou moins longtemps. Il y eut bien sûr de la tristesse, et puis très vite un grand réconfort : un tsunami de mots doux sur nos réseaux sociaux, nos boîtes mail, dans nos petites vies de rédacteurs musique, critique expo, commercial, secrétaire de rédaction… Franchement, quelle chaleur ! Alors, ce fut une évidence. Il y avait beaucoup trop de monde à l’enterrement pour ne pas rêver d’une résurrection ! Une partie de l’ancienne équipe salariée du PB s’est donc lancé ce défi en repartant de zéro, la marque Petit Bulletin ayant été rachetée à Lyon. Un nom, une identité visuelle, un format... Il a fallu tout réinventer... ou presque : des plumes historiques du journal n'ont pas hésité à nous rejoindre. Vous y retrouverez donc un ton, une écriture et des contenus qui manquaient tant à notre ville. VRAAC, c'est quoi ? Un média gratuit et indépendant qui vous guidera dans vos sorties culturelles (mais pas que) à Grenoble et aux environs. Un regard percutant sur les spectacles, concerts, expos, projections, festivals, qui sont légion dans notre cité. Cinq lettres qui signifient : Ville, Rencontres, Art, Apéro, Culture. Quatre supports : une newsletter hebdo, tous les jeudis depuis septembre. des pages Facebook/Instagram, depuis septembre. un mensuel papier, à venir début 2025. un site web, à venir début 2025. Un mensuel papier bientôt disponible dans toute l'agglo ! Oui, on a bien dit "papier" ! Présent depuis la rentrée de septembre sur les réseaux sociaux et sous forme de newsletter, le média VRAAC doit se concrétiser avec le lancement d'une édition print gratuite dès le mois de janvier 2025. Idéalistes, nous ? Peut-être un peu (sinon, on ne risque jamais rien), mais pas tant que ça. Figurez-vous qu'on a mené notre enquête, interrogé les acteurs culturels, entendu les retours de nos futurs lecteurs : il semblerait bien que le papier ait encore la cote, surtout dans une ville que la presse gratuite a complètement désertée. Distribué à 10 000 exemplaires dans plus de 300 points (votre cinéma de quartier comme votre boulangerie préférée), ce nouveau journal doit devenir le guide indispensable de vos sorties, avec des critiques et des recommandations dans tous les domaines, mais également des articles de fond (reportage, décryptage, enquête, portrait) et des entretiens au long cours. Nous parlerons culture, oui, mais pas seulement. Il s'agit aussi de prendre le pouls de notre ville, de la raconter, de la comprendre. Il s'agit parfois de prendre un peu d'altitude pour évoquer les montagnes qui nous entourent. Il s'agit surtout de prendre part, en tant que journalistes culturels, à certains débats qui agitent la cité. Le retour d’un agenda en ligne Si l’on fait appel à vous aujourd’hui, c’est également pour nous aider à financer ce qui constitue le plus gros investissement du projet : le futur site internet de VRAAC. Bien sûr, il accueillera tous les articles du mensuel, des publications en plus… Mais surtout un agenda en ligne, le plus exhaustif possible, facilement consultable, qui vous permettra de savoir tout ce qu’il se passe à Grenoble et aux environs au jour le jour. Pas mal, non ? Vers un modèle économique pérenne Peut-être suivez-vous déjà notre travail sur les réseaux sociaux, ou dans la newsletter hebdomadaire, lancés il y a un peu plus de deux mois désormais. Sachez que ce travail, pour le moment, est entièrement bénévole. Si l'on ne veut pas s'essouffler trop vite, il nous faut donc passer à la vitesse supérieure. Car publier un journal papier, financé par la publicité culturelle, c'est aussi créer un modèle économique pérenne et nous permettre tout simplement de dégager des revenus pour chaque membre de l'équipe.
Qui sommes-nous ? Hugo Verit est journaliste, diplômé de l’École de journalisme d'Aix-Marseille. Il a travaillé pour Le Dauphiné Libéré et d'autres titres, et surtout au Petit Bulletin de 2020 à 2023, produisant des articles sur tous types de sujets culturels et généralistes... Pour VRAAC, il sera rédacteur en chef. Renaud Goubet est l'ex-directeur de la publication du Petit Bulletin où il a passé plus de 25 ans. Grenoblois et fidèle à sa ville, consommateur de sorties et surtout de concerts, il était évident pour lui de proposer un nouveau média local et de qualité. À VRAAC, il sera en charge du développement commercial et de tout un lot de suivi indispensable à un média, ainsi qu'à l'entreprise. L'équipe de rédaction : nombreux et nombreuses seront les rédacteurs et rédactrices de VRAAC. Beaucoup sont des anciens du PB mais l'équipe s'enrichit déjà de nouvelles têtes. Toutes et tous sont des spécialistes dans leur domaine, en musique, théâtre, cinéma, danse, expo... mais aussi passionné.e.s par leur ville, ses lieux de sorties et de vie, comme sa proximité avec la nature, le temps d'un bol d'air rapide hors de notre cité. Autour de nous se tissent des compétences diverses et indispensables : graphistes, distributeurs, imprimeur, entreprises indépendantes... Ce projet nécessite aussi de recréer un microcosme autour d'un seul objectif : relancer un média grenoblois indépendant, culturel et GRATUIT ! Crédit photo : Pascale Cholette

À quoi servira la collecte

Palier 1 On est officiellement de retour et le print est lancé ! Cette somme nous permet de financer la conception de la maquette du journal et d’assurer une trésorerie suffisante pour envisager sereinement la réalisation des premiers numéros. Palier 2 Vous assurez notre comeback, mais il a encore plus de gueule ! On est en mesure de proposer, en plus du mensuel papier, un site web 100% responsive signant le retour à Grenoble d’un agenda culturel hyper exhaustif et facile à prendre en main. Palier 3 Là, c'est la grande bouffée d'air frais ! On finance le lancement de l’édition papier et du site web dans de bien meilleures conditions, avec l'assurance de pérenniser le média et la possibilité, à terme, d'embaucher une personne afin de soulager notre toute petite équipe. Bref, le rêve quoi !

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