Lautréamont, l'Aurore d'un nouveau siècle
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557739/Aff_Lautr_amont_10.05.2018-1543424410.JPG" width="100%" /></p>
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<p><strong><em>Lautréamont est mort ! Personne ne saura pourquoi. Ne priez pas pour lui.</em> Dans le Paris assiégé de 1870, Isidore Ducasse meurt mystérieusement. Il a 24 ans. Son manuscrit Les Chants de Maldoror plonge dans l’oubli. Nous voici entrainés par le personnage de Maldoror dans un vertige lautréamontesque. Burlesque, déjanté et inquiétant. Puis dans la réalité de la guerre. L’ennemi est aux portes de la cité. C’est le Siège de Paris. Paris, le nombril du monde ! Les Parisiens mangent les animaux du Jardin des Plantes pour survivre. Lautréamont vit ses derniers instants. La dure réalité d’une ville assiégée et les songes décalés d’un feu follet.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557742/La_M_re_le_P_re_Maldoror_accueil-1543424745.jpg" width="100%" /></p>
<p>Après avoir abordé un premier « poète maudit », Arthur Rimbaud, et nous être penchés sur sa vie fulgurante, notre chemin devait nous mener à Lautréamont. Immanquablement. Que de similitudes entre « l’homme aux semelles de vent » et l’étrange Isidore Ducasse. Que de mystères dans la vie de ces deux poètes ! Que de voyages ! L’Afrique et le soleil après une vie de poète pour Rimbaud, Les Chants de Maldoror et le siège de Paris après une jeunesse en Amérique du Sud pour Lautréamont.</p>
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<p>Écriture</p>
<p><strong>Bastien TELMON</strong></p>
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<p>Mise en scène</p>
<p><strong>Bernard GUÉRIN</strong></p>
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<p>Jeu</p>
<p><strong>Matthieu BENÉTEAU</strong></p>
<p><strong>Fanny LUCET</strong></p>
<p><strong>Bastien TELMON</strong></p>
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<p>Création lumières</p>
<p><strong>Catherine RICHAUD</strong></p>
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<p>Création masques</p>
<p><strong>Camille MAECKE</strong></p>
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<p>Production</p>
<p><strong>Cie Le Rideau d'argent</strong></p>
<p><a href="http://cielerideaudargent.fr/" target="_blank">http://cielerideaudargent.fr/</a></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557744/_19A7720-1543424926.jpg" width="100%" /></p>
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<p>Ce spectacle sera joué en avant-première les 9 et 10 avril 2016 à Épineuil (Yonne), puis les 15 et 16 avril 2016 à Laval (Mayenne)</p>
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<p><strong>/ LA COMPAGNIE /</strong></p>
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<p>C’est la rencontre de deux comédiens, deux générations, deux écoles du théâtre, Bernard Guérin et Bastien Telmon, qui donne naissance à une pièce sur Arthur Rimbaud et sa mère, la Rimbe. L’accueil enthousiaste du public pour cette première création théâtrale <em>Rimbaud, la Quête du soleil</em> les incite à poursuivre l’aventure et à créer une compagnie : « toujours avec un souci incessant de précision, de justesse et d’originalité artistiques dans le travail de nos projets pour la scène et l’image ». La troupe prend donc son élan autour du personnage de Rimbaud. Ce spectacle sur la vie du poète est construit autrement qu’un simple récital de poésie ou de mise en espace d’ <em>Une Saison en enfer</em> ou des <em>Illuminations</em>. Autrement aussi que la sempiternelle évocation de la relation avec Verlaine.</p>
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<p><img alt="Lautr_amont2-1457229394" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/286487/Lautr_amont2-1457229394.jpg" /><em>Isidore Ducasse, connu sous le pseudonyme de Comte de Lautréamont.</em></p>
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<p><strong>/ NOUVELLE CRÉATION /</strong></p>
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<p>Nous travaillons actuellement sur notre seconde création, <em>Lautréamont, l'Aurore d'un nouveau siècle. </em>L’auteur de Maldoror nous a donné l’idée d’un spectacle autour de son univers. Obscur, inquiétant, sombre, drolatique, burlesque, déjanté. Et le siège de Paris. En évoquant le monde imaginaire du Comte de Lautréamont et la bataille de Paris, notre propos vise à suivre la courte existence d’Isidore Ducasse et l’évolution de la vie parisienne de cette année agitée. 1870. Sur scène, deux actions sont mises en parallèle. Le monde imaginaire de Maldoror et le sort des Parisiens pendant le Siège. Les scènes de Maldoror sont des allégories à l’univers de Lautréamont, les personnages y sont masqués. Les scènes du Siège sont naturalistes. Elles se déroulent dans un appartement parisien au-dessus duquel loge Isidore Ducasse. Le plateau passe alternativement d’une ambiance à l’autre. Les comédiens ont deux codes de jeu, avec des masques pour les scènes lautréamontesques. Un autre personnage, Louise, intervient régulièrement et ponctue l’action comme un choeur. Louise raconte l’évolution du Siège et le mouvement populaire de la Commune.</p>
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<p><img alt="R_p_titions_-_copie_-_copie-1457218762" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/286463/R_p_titions_-_Copie_-_Copie-1457218762.jpg" /></p>
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<p><strong>/ SOURCES & DOCUMENTATIONS /</strong></p>
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<p>Servent de base à notre propos des livres et documents tels que <em>Journal du siège</em> d’un certain Mouillefarine, <em>Le Siège de Paris</em> de Francisque Sarcey, <em>En Ballon au Siège de Paris</em> de Gaston Tissandier. Ainsi que des ouvrages comme <em>Histoire d’un éditeur et de ses auteurs</em> de J-P Hetzel, éditeur parisien du XIXè siècle, <em>Tutu</em> de Princesse Sapho - cache-nom attribué à Léon Genonceaux, éditeur des <em>Chants de Maldoror</em> du Comte de Lautréamont et de <em>Reliquaire </em>d’Arthur Rimbaud. Nous nous inspirons également du roman graphique <em>La Chambre de Lautréamont</em> d’Edith & Corcal.</p>
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<p><img alt="Boucherie_municipale-1456754591" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/283718/Boucherie_municipale-1456754591.jpg" /></p>
<p><em>La Queue devant la boucherie. Siège de Paris en 1870. Clément-Auguste Andrieux.</em></p>
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<p><img alt="A_rostat-1456761901" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/283814/A_rostat-1456761901.jpg" /></p>
<p><em>Départ du ballon Armand Barbès monté par Léon Gambetta et Eugène Spuller le 7 octobre 1870 de la place Saint-Pierre.</em></p>
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<p><img alt="Communards-1457229452" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/286490/Communards-1457229452.jpg" /></p>
<p><em>Communards place Vendôme à Paris en 1871.</em></p>
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<p><strong>/ MISE EN SCÈNE /</strong></p>
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<p>Les éclairages, le décor et la bande sonore donnent le ton. Lumières grises et crues pour les scènes réalistes. Lumières à dominante vert-de-gris pour les scènes allégoriques. Le décor est minimaliste et transformable, « il y a bien des objets en un seul objet ». Dans une armoire, des bocaux contiennent des masques qui prendront vie. Une canne devient une croix. Un perroquet un arbre. Une lampe à contrepoids un noeud coulant. Chaque élément réaliste doit permettre d’entrer dans la symbolique de Maldoror. Le Comte de Lautréamont, personnage insaisissable, est présent physiquement dans les scènes masquées et allégoriques. En revanche, dans les scènes réalistes, seule la bande son rend présent l’invisible poète dans l’appartement du dessus. Des pas dans un escalier, une clef dans une serrure, un grincement de parquet, les accords plaqués d’un piano. Ce piano ponctue et accompagne les passages d’un univers à l’autre. Les scènes étranges et burlesques de Maldoror passent par un code de jeu particulier - masque, voix, langage corporel - et par une attention particulière à l’ambiance sonore - bruits étranges et intrigants. Les trois personnages vivant le Siège et les huit personnages masqués des scènes allégoriques sont interprétés par trois comédiens.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557745/_19A7705-1543424974.jpg" width="100%" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557747/L_on_Eug_ne_Tutu-1543425030.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>/ LES MASQUES /</strong></p>
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<p>L'idée du masque nous vient à la fois de l'univers du poète et du désir de faire de Lautréamont moins un personnage romantique qu'une allégorie du paria.</p>
<p>Tous les masques de ce carnaval théâtral contribuent à donner une dimension cauchemardesque et burlesque où le monde n'est pas tel qu'il nous est donné à voir. Le rêve étant l'un des thèmes privilégiés par les surréalistes, nous irons dans cette direction. Le surréalisme. L'humour noir et le non-sens, deux formes de comique sans rapport clair entre eux en apparence, tiennent également une place importante dans notre pièce.</p>
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<p><img alt="Les_masques-1456774610" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/284055/Les_masques-1456774610.jpg" /></p>
<p><em>Création masques, Camille Maecke.</em></p>
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<p><strong>/ L'ÉQUIPE /</strong> </p>
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<p><img alt="Portrait_bernard_gu_rin_-_copie-1456571258" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/283006/Portrait_Bernard_Gu_rin_-_Copie-1456571258.jpeg" /> <strong>B e r n a r d G u é r i n,</strong> <em>metteur en scène</em></p>
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<p>Bernard a été formé au centre d'art dramatique de la rue Blanche, à partir de 1967 (Robert Manuel, Daniel Lecourtois, Madeleine Ozeray). Cette formation classique a été complétée, par une saison (1971-1972) à l'Ensemble dramatique de Rouen (Michel Humbert et Renaud Sanson) où il a notamment joué le rôle principal <em>dans Les Horaces et les Curiaces</em>, création en France d'une pièce de B. Brecht. A joué au théâtre Molière, Maeterlinck, Shakespeare, Tchékhov, Hugo, Sartre ou encore Varoujean, Shehadé, Labiche et Daudet ; au café-théâtre, Poë et Nerval. A joué également le rôle de Saint-Louis dans <em>La Justice de Saint-Louis</em>, pour les célébrations du millénaire capétien, à la Grande halle de la Villette à Paris. <strong><em><a href="http://cielerideaudargent.fr/bernard-guerin/" target="_blank">[lire la suite...]</a></em></strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557750/Matthieu_Ben_teau3-1543425205.jpg" style="width: 220px; height: 314px;" /> <strong>M a t t h i e u B e n é t e a u,</strong> <em>comédien</em></p>
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<p>Pour sa formation théâtrale, Matthieu pousse la porte du cours Jean-Laurent Cochet. Il y fait ses premiers pas sur scène à l’occasion de Master class et autresscènes publiques.<br />
Multiplie rapidement les expériences dans des rôles variés. Interprète Mazarin dans <em>Le Lever du Soleil</em> de Madame Simone et François Porché. Aux côtés de Gilles Raab, travaille divers rôles Shakespeariens : le Duc de Gloucester dans <em>Henri VI</em>, Catesby dans <em>Richard III</em>, Malcolm dans <em>Macbeth</em>…<br />
Passe également par le café-théâtre et les comédies de boulevard des années 20 comme <em>Le Sexe faible</em> où on le retrouve dans le personnage de Carlos. <strong><em><a href="http://cielerideaudargent.fr/matthieu-beneteau/" target="_blank">[lire la suite...]</a></em></strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557752/Fanny9-1543425497.jpg" style="width: 220px; height: 315px;" /> <strong>F a n n y L u c e t,</strong> <em>comédienne</em></p>
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<p>Après avoir suivi les cours Florent, Fanny débute dans une pièce de grand guignol, <em>Un Crime dans une maison de fou</em> d’André de Lorde, mise en scène par Karine Jean.<br />
Aborde le répertoire classique avec <em>L’École des veuves</em> de Jean Cocteau mis en scène par Hazem El Awadly, <em>Electre</em> de Giraudoux sous la direction d’Odile Mallet et de Geneviève Brunet. Interprète Blanche et s’initie à l’escrime dans<em>Le Roi Jean</em> de Shakespeare mis en scène par Lionel Fernandez au Château de Saumur puis, toujours sous la direction de Lionel Fernandez, on la voit dans <em>Gros mensonges entre amis</em>, une adaptation de trois pièces de Sacha Guitry.<br />
Joue dans la comédie <em>Nationale 666</em> de Lilian Lloyd dirigée par l’auteur. Se retrouve dernièrement sous le regard de Karine Jean dans <em>Les Contes du Grand Guignol</em>.<br />
Travaille au cinéma dans le court métrage <em>Les Marches du paradis</em> de Gérard Grégory, puis dans <em>Contes à rebours</em> de Thibaut Martin et de Dimitri Suma...<strong><em><a href="http://cielerideaudargent.fr/fanny-lucet/" target="_blank">[lire la suite...]</a></em></strong></p>
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<p><img alt="B._telmon-1456572177" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/283021/B._Telmon-1456572177.jpg" /> <strong>B a s t i e n T e l m o n, </strong><em>comédien, auteur</em></p>
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<p>Bastien reçoit une formation au Cours René Simon, et suit des ateliers dirigés par Philippe Ferran et Ani Hamel. Egalement escrimeur, interprète d’Artagnan dans le spectacle <em>Tout un Plat </em>d’après Alexandre Dumas. Joue <em>L’Impromptu du Palais Royal </em>de Cocteau, mis en scène par Cyril Jarousseau au Théâtre du Gymnase, <em>Le Songe d’une Nuit d’Eté </em>de Shakespeare, mis en scène par Aurore Guitry ou encore <em>Antigone </em>de Cocteau, dirigé par Joseph Morana. Joue avec Michael Lonsdale dans <em>Pomogui ! </em>de et mis en scène par Catherine Fantou-Gournay. Travaille avec Robert Hossein dans <em>Ben-Hur </em>et interprète Karol Wojtyla dans <em>Jean-Paul II</em>. Joue dans <em>HOC ou Le Nez</em> de N. Gogol, une pièce écrite, adaptée et mise en scène par Julien Le Pocher. <em><strong><a href="http://cielerideaudargent.fr/bastien-telmon/" target="_blank">[lire la suite...]</a></strong></em></p>
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<p><img alt="C._maecke-1456572294" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/283022/C._Maecke-1456572294.jpg" /> <strong>C a m i l l e M a e c k e,</strong> <em>plasticienne</em></p>
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<p>Camille a été formée à l’<em>Institut Technique du maquillage</em> (ITM), option effets spéciaux, en 2006 à Paris. Complète sa formation à l’école <em>Make-up Designory</em> (MUD), option effets spéciaux, en 2008 à Los Angeles. Puis collabore avec le cirque Gruss, mais aussi avec Robert Hossein pour son spectacle <em>Ben Hur</em> au Stade de France. Est également maquilleuse pour la série <em>Frappuccino</em>. <strong><em><a href="http://cielerideaudargent.fr/camille-maecke/" target="_blank">[lire la suite...]</a></em></strong></p>
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<p><img alt="C._richaud-1456572411" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/283024/C._Richaud-1456572411.jpg" /> <strong>C a t h e r i n e R i c h a u d, </strong><em>régie générale</em></p>
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<p>Formée à l'ENSATT, période rue Blanche, en section Régie son lumière plateau puis au CFPTS, en régie générale. Se perfectionne en création lumière avec Gérald Karlikow et à la colorimétrie avec Jean-Claude Espardeilla.</p>
<p>Travaille avec tous les corps des métiers techniques du spectacle vivant. Fera les lumières de <em>La Conversion ou l'épreuve d'un coeur</em>, d’après Paul Claudel, <em>Le mystère des Saints Innocents</em> de Charles Péguy. Travaille avec Catherine Fantou-Gournay et Mickael Lonsdale sur <em>Camille au regard de la Joie</em>, <em>Pomogui !</em> et <em>Le Chant des frênes</em>. Est régisseuse générale du festival <em>La Semaine des Arts</em> à Sciences-Po Paris de 1996 à 2006, avec la volonté de s’investir dans un théâtre populaire et accessible. <strong><em><a href="http://cielerideaudargent.fr/catherine-richaud/" target="_blank">[lire la suite...]</a></em></strong></p>
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<p>Avec l'aimable participation de :</p>
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<p><strong>J a c q u e s N i c o l l e,</strong> <em>réalisation décors, accessoires</em></p>
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<p><strong>X a v i e r C o s t e,</strong> <em>illustration de l'affiche </em><a href="http://xaviercoste.com/" target="_blank">http://xaviercoste.com/</a></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/557753/La_M_re_le_P_re_accueil-1543425584.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>/ DATES /</strong></p>
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<p><strong>QUATRE REPRÉSENTATIONS EN AVRIL 2016</strong></p>
<p><strong>9 & 10 avril</strong> à Épineuil (Yonne) Salle André Durand</p>
<p><strong>15 & 16 avril </strong>à Laval ( Mayenne) Théâtre Jean Macé</p>