4e Prix Ali Boudoukha du meilleur article algérien d'investigation

Grâce à vous toutes et tous, nous avons réussi à atteindre l'objectif des 5000 € et même à le dépasser ! Grâce à vos dons, nous pouvons ensemble récompenser nos lauréats, et rendre pérenne ce prix qui récompense le professionnalisme, l'audace et la prise de risque de journalistes dont le métier est de vous informer en toute vérité. Merci !

Objectif atteint et même légèrement dépassé ! Merci à celles et ceux qui continuent à nous soutenir bien que l'objectif soit atteint. Ces trois jours qui restent peuvent faire toute la différence! Merci à vous toutes et tous qui avez permis de rééditer pour la 4e fois l'exploit de maintenir vivant l'idéal journalistique pour lequel s'est investi tout au long de sa vie notre confrère et ami défunt, Ali Bey Boudoukha. Grâce à votre solidarité et votre soutien notre engagement pour un journalisme meilleur et une presse éthique, plurielle et résolument professionnelle, est plus fort encore. Nous n'existons que parce que vous êtes. Mais SOMMES parce que nous croyons en ce que nous faisons: vous devoir la vérité. Une mission que nous avons accepté, mais qui ne se fera pas sans heurts, sans écueils, sans répression. Chaque année, de par lemonde, la profession de journaliste paie un lourd tribut à la liberté d'expression. En Algérie, nous sommes encore quelques ilots de résistance, mais continuons à subir les coups de butoir d'un pouvoir qui, au gré des luttes claniques et du rapport de force du moment, n'en reste pas moins enclin à vouloir asseoir son hégémonie sur les libertés et à museler la presse et les journalistes. Trois sont en prison: Mouloudj, Bouras et Touati. D'autres sont poursuivis en justice. Ne les oublions pas. Encore une fois, merci du fond du cœur ! Joyeux et heureux Yennayer ! Assegas Ameggaz ! PS: sur le tee-shirt en arabe : La liberté est l'affaire de tous !

Le journalisme d'alerte a besoin de votre lumière ! Nous voulons que la récompense vienne de vous, lecteurs-citoyens sensibles à l'émergence d'une presse d'investigation en Algérie. Le recours au financement participatif est une manière d'assurer l'indépendance du prix, sa crédibilité. Cliquez, contribuez ! https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/4e-prix-ali-boudoukha-du-meilleur-article-algerien-d-investigation

En quelques mots, le lanceur d'alerte Nourredine Tounsi, lauréat dans la nouvelle catégorie des lanceurs d’alerte. Tounsi, ancien cadre au port d’Oran, est un lanceur d'alerte ayant révélé aux médias de nombreuses affaires, dont celle de la filière de la cocaïne. Cela lui a valu un séjour carcéral. Il est sorti de prison le 23 septembre dernier, après une année de détention. La récompense viendra de vous, lecteurs-citoyens sensibles à l'émergence d'une presse d'investigation en Algérie. Le recours au financement participatif est une manière d'assurer l'indépendance du prix et la crédibilité de sa démarche. Cliquez, contribuez ! https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/4e-prix-ali-boudoukha-du-meilleur-article-algerien-d-investigation

Le journalisme d'alerte a besoin de votre lumière ! Nous voulons que la récompense vienne de vous, lecteurs-citoyens sensibles à l'émergence d'une presse d'investigation en Algérie. Le recours au financement participatif est une manière d'assurer l'indépendance du prix, sa crédibilité. Cliquez, contribuez ! https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/4e-prix-ali-boudoukha-du-meilleur-article-algerien-d-investigation

En quelques mots, la journaliste Samira Moaki lauréate d'un prix spécial de l’organisateur pour l’ensemble de son travail de journalisme d’immersion, notamment en faisant l’expérience de la harga sur un botti et en couvrant la guerre d’Irak où elle a survécu à une balle dans la tempe. La récompense viendra de vous, lecteurs-citoyens sensibles à l'émergence d'une presse d'investigation en Algérie. Le recours au financement participatif est une manière d'assurer l'indépendance du prix et la crédibilité de sa démarche. Cliquez, contribuez ! Il ne nous reste que 13 jours.

En quelques mots, le journaliste/ écrivain Saïd Oussad lauréat du premier prix dans la catégorie « enquête de presse » pour son article sur la filière de la harga publié sur le journal Liberté, évoque le difficile métier de journaliste d'investigation et de l'impérieuse nécessité d'évoquer la question des harragas. La récompense viendra de vous, lecteurs-citoyens sensibles à l'émergence d'une presse d'investigation en Algérie. Le recours au financement participatif est une manière d'assurer l'indépendance du prix et la crédibilité de sa démarche. Contribuez ! Il ne nous reste que 14 jours.

Nous voulons que la récompense vienne de vous, lecteurs-citoyens sensibles à l'émergence d'une presse d'investigation en Algérie. Le recours au financement participatif est une manière d'assurer l'indépendance du prix, sa crédibilité.

https://www.youtube.com/watch?v=HrtKrjB-RIE

4e Prix Ali Bey Boudoukha. Aidez-nous à maintenir pérennes l'esprit et la pratique d'un journalisme d'investigation libre ! Ils ont reçu notre reconnaissance. Ils attendent votre soutien !

Merci à nos 34 contributeurs d'avoir permis d'atteindre et de dépasser les 2000 €. Mais il nous rest encore du chemin. Que chacun autour de lui sensibilise sur la nécessité impérieuse de venir en aide à ce projet, à cet îlot de luminescence qu'est ce prix emblématique de la liberté de la presse, et pour que nous puissions honorer nos engagements vis-à-vis de nos lauréats.

Et mille mercis à nos généreux contributeurs. 19 soutiens. Merci à Khadoubibi, Lamia et Youssef, Ferhat, Abderrahmane, Tinoo, Mohand, Amazigh, Ghiles, Yasmina, Patrick et toutes celles et tous ceux qui ont préféré garder l'anonymat. Merci d'exister.

https://www.youtube.com/watch?v=OoacB6fvXgA