AKKI

Participez au lancement d'une nouvelle revue papier locale qui explore les marges de la région Nouvelle-Aquitaine.

Réussi

254

Contributions

19/11/2020

Date de fin

10 150 €

Sur 9 000 €

113 %

Nos engagements

Développement local

Soutenu par

29 juin 2021

AKKI

AKKI est une revue semestrielle visant à documenter les marges de la région Nouvelle-Aquitaine et les cultures alternatives qui la façonnent. Ce nouvel objet éditorial collaboratif donne la parole à une diversité d’acteurs et actrices porté.e.s par une même volonté ; produire de nouveaux récits sur leur territoire. <hr /> <h3>Un nouveau format pour prendre le temps de la réflexion</h3> Dix ans après sa création en ligne, le magazine Le Type s’aventure sur un nouveau terrain, celui du papier. Pensé en complémentarité de son site web (<a href="http://www.letype.fr/">www.letype.fr</a>), AKKI prend la forme d’un objet hybride, entre le magazine et la revue. Son premier numéro paraîtra en décembre 2020, juste avant Noël. Décorrélé de l’actualité et de la vie événementielle qui rythme la scène artistique locale, AKKI privilégie à dessein une approche de documentation. Celle du temps long, des reportages et des analyses, dans le but d’éviter l’écueil d’un contenu trop rapidement périssable. <h3>Une articulation de chaque numéro autour d’un thème pour explorer la diversité culturelle régionale</h3> La revue AKKI s’appuie sur des initiatives culturelles de la région Nouvelle-Aquitaine issues de champs pluridisciplinaires (musique, cinéma, littérature, architecture, design, théâtre et toute forme de création) pour interroger un grand thème qui chapeaute chaque numéro. <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/690698/fa1a5da3-8069-4f4d-bfb2-5fc360636dc3.jpg" width="100%" /> <h3>Une pluralité de points de vue pour produire de nouveaux récits sur le territoire néo-aquitain, et au-delà</h3> Pour construire chaque numéro, un « appel à contributions » permet de récolter de multiples idées permettant d’enrichir la production d’articles et de formats. En donnant ainsi la parole à une diversité d’acteurs et actrices du territoire et en mettant en lumière ce qui y émerge à l’ombre, AKKI souhaite inviter ses lecteurs et lectrices à explorer les marges de la région, hors des sentiers battus. La revue entend donc dresser un portrait alternatif de ce paysage culturel, pour se l’approprier et mieux appréhender un environnement plus global. Car si ce projet est résolument local et pousse à « agir en nos lieux », il aspire à ouvrir une fenêtre, à « penser avec le monde » (Édouard Glissant) en interrogeant des concepts contemporains sans frontières. <h3>Un crowdfunding pour financer un projet éditorial indépendant et 100 % local</h3> Projet éditorial indépendant, AKKI lance une campagne de financement participatif pour pouvoir voir le jour. C’est sur KissKissBankBank que la revue a porté son choix, au regard du soutien et de l’engagement de cette plateforme sur l’accompagnement de nombreuses autres passionnantes aventures éditoriales. La somme demandée servira à financer l’impression de 1000 exemplaires, au sein d’une imprimerie basée en Gironde, ainsi que l’identité visuelle, le design graphique et le maquettage de la revue, dont la direction artistique est confiée au studio bordelais Bureau Nuits. <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/690640/6419049f-d7e4-4710-bae9-313f0cdc0bed.jpg" width="100%" /> Maquettes en cours de création : intentions <hr /> <h2>Le premier numéro : contre-cultures</h2> <h3>Pour le premier numéro d’AKKI, l’accent est mis sur les « contre-cultures ». Ce sont 130 pages qui se déclineront sous différents formats et qui aborderont, à travers plusieurs angles, des sujets en lien avec cette thématique.</h3> Réactions face à un ordre établi ou hégémonique, les contre-cultures s’entendent comme des modes de résistances ou de contestation. Elles portent en elles des idéaux de transformation, de création, et dessinent des visions alternatives sur le monde. <blockquote> Terme fourre-tout aux contours qui peuvent parfois paraître flous, le concept, forgé dans les années 1960, est-il encore opérant en 2020 ? Qui plus est, est-il pertinent de l’interroger à l’aune d’un territoire donné, celui de la Nouvelle-Aquitaine ? </blockquote> Au regard de l’ambition de la revue – explorer les marges culturelles de la région, questionner cette notion apparaît comme un point de départ éditorial idéal. Invisibilisées, souvent réappropriées, les contre-cultures sont en effet de bons indicateurs de la vitalité artistique et du bouillonnement créatif d’un territoire. Alors que la Nouvelle-Aquitaine jouit d’une certaine image liée à son histoire (patrimoine) et sa géographie (tourisme), c’est une autre histoire que raconte AKKI, à rebours des discours carte-postales parfois trop lissés ou aseptisés. Sans volonté d’exhaustivité, ce numéro entend, à travers une diversité de visions et de contributions, à la fois valoriser certaines initiatives tout en proposant de nouveaux récits à-même de façonner un nouvel imaginaire à l’échelle du territoire néo-aquitain. <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/690642/94753223-c30b-4e0e-8f3a-29e7b9a5fa71.jpg" width="100%" /> Maquettes en cours de création : intentions <hr /> <h2>Les premiers sujets annoncés</h2> <ul> <li> 40 ans de punk en terres d’Aliénor </li> <li> Documenter l’underground à la Fanzinothèque de Poitiers </li> <li> Le hip hop et les musiques électroniques sont-elles (encore) des contre-cultures ? Cas d'étude avec les scènes régionales </li> <li> Portraits de personnalités locales historiques controversées et aux pratiques déviantes ; Gilles Bertin et Pierre Molinier </li> <li> L’émergence du skate à Bordeaux et sa place dans l’intégration urbaine (avec également un entretien avec Léo Valls) </li> <li> L’art du détournement subversif, par des artistes plasticiens et graffeurs du territoire </li> <li> La scène basque, du rock radical à l’ère des festivals </li> <li> Focus sur le VOID, dernier bastion des cultures alternatives du centre-ville bordelais et terreau fertile de « l’intelligence punk » </li> <li> ... </li> </ul> <hr /> <h2>Les plumes du premier numéro</h2> Laurent Bigarella, rédacteur-en-chef du magazine Le Type et de AKKI Clément Bouillé, rédacteur pour le magazine Le Type, Le Rap en France et chroniqueur dans l'émission Le Grand Feat Mathis Fleutot, membre du collectif bordelais z0ne, structure dédiée à la culture rap Maeva Gourbeyre, diplômée en management et ingé du secteur culturel et originaire de la côte basco-landaise, rédactrice pour la presse culturelle Nathan Gouzes, membre du collectif bordelais z0ne, structure dédiée à la culture rap Pierre Grangé-Praderas, organisateur de L’école des Beaux Hacks et artiste associé au fablab de l’IUT de Bordeaux Lucie Hurpeau, étudiante en sociologie, photographe et rédactrice au sein du magazine Le Type Antoine Legros, rédacteur au sein du magazine Le Type William Millaud, rédacteur et photographe au sein du magazine Le Type Benjamin Müller Vignoli, photographe et architecte originaire de La Rochelle et ayant fait ses études entre Bruxelles et Prague Isabelle N'Diaye, activiste dans les champs du travail social, culturel et communautaire Salomé Partouche, membre du collectif tplt et rédactrice pour le webzine Nightmess Lucas Perrot, fondateur d'Eclipse Collective et artiste résident, membre de tplt, enseignant du second degré en lettres modernes Baptiste Pointillart, doctorant à l'Université de Bordeaux qui travaille sur l’histoire du skateboard à Bordeaux, enseignant du second degré en histoire-géographie Lucie Ramin, consultante en communication, professeure de yoga et rédactrice pour Le Type Olivier Ricard, passager clandestin infiltré dans les événements bordelais Luc Robène, historien, professeur à l'Université de Bordeaux et instigateur du projet PIND (Punk is not dead : Une histoire de la scène punk en France, 1976-2016) Manuel Roux, doctorant à l'Université de Bordeaux (laboratoire CeDS EA-7440) et chercheur au sein du programme PIND (Punk is not dead, une histoire de la scène punk en France, 1976-2016) Laurène Secondé, chargée de communication pour Sciences Po Bordeaux et pigiste freelance Solveig Serre, chercheuse au CNRS, spécialiste en musicologie et instigatrice du projet PIND (Punk is not dead : Une histoire de la scène punk en France, 1976-2016) Alice La Terreur, co-fondatrice et responsable de la webradio Ola Radio Bastien Thomas, fondateur du collectif Multiveʁƨe qui promeut la culture sound system en Nouvelle-Aquitaine L'équipe du VOID, salle de concert associative et indépendante bordelaise (2016-2021) Direction artistique : Bureau Nuits (Bordeaux) <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/690644/f7e985d0-8c98-4a6a-990f-b6d3eba2beeb.jpg" width="100%" /> Couverture en cours de création : intentions <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/690647/2696e22d-90b1-4ad0-b0ad-11c6c215c3e9.jpg" width="100%" /> Couverture en cours de création : intentions <hr /> <h2>Calendrier et informations sur l'objet</h2> Numéro 1 – sortie prévue en décembre 2020 (reçu avant Noël pour les contributeurs et contributrices du KissKissBankBank) Publication semestrielle (français) 128 pages <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/690649/59d4e7a0-7558-4d15-bc8e-30eaeef01635.jpg" width="100%" />

À quoi servira la collecte

<ul> <li>À rester libre et indépendant</li> </ul> AKKI se veut libre et indépendant des annonceurs ou des institutions. Si ces derniers pourront être amenés à nous soutenir, nous souhaitons croiser nos sources de revenus et ainsi faire de nos lecteurs et lectrices nos principaux financeurs. Cette condition nous semble primordiale pour pouvoir continuer de traiter librement des sujets qui nous tiennent à c&oelig;ur, en toute indépendance. <ul> <li>À travailler en circuit court</li> </ul> De l'impression à la direction artistique, en passant par la confection des contreparties (merchandising, t-shirts, tote-bags...), l'ensemble de la chaîne de production d'AKKI est locale. Le projet implique différents acteurs et actrices qui sont toutes et tous basé.e.s dans la région. Cela nous semble essentiel au regard de notre parti pris éditorial. Cette ambition a néanmoins un coût (plus élevé que si nous avions délocalisé l'impression ailleurs en Europe par exemple), et c'est pour cela que votre soutien est déterminant. <ul> <li>À pérenniser le projet </li> </ul> Au-delà de ce premier numéro fondateur, nous espérons pouvoir, à travers cette campagne de financement, d'ores et déjà travailler à la conception du deuxième numéro ! Cela sera possible si nous atteignons (voire dépassons) sans difficulté la somme demandée lors de cette campagne. Merci d'avoir pris le temps de lire jusqu'ici et surtout merci d'avance pour votre soutien et vos précieuses contributions.

Contreparties

Contrepartie star

On dit merci AKKI

30 €

87 contributions

Un grand merci + revue livrée avant Noël (frais de port inclus pour la France métropolitaine) + ton nom inscrit dans les remerciements dans la revue aux côtés des autres contributeurs et contributrices + invitation à la soirée de lancement + totebag AKKI