Alexis Muratti - 1er EP ✨

Jeune artiste plein de rêves cherche généreux contributeurs. Voilà, on y est. La campagne pour produire mon premier EP est lancée. Mais avant toute chose, permettez-moi de vous raconter cette drôle d'aventure musicale. Au début être chanteur, c'était pas vraiment le programme. Mon rêve c'était d'écrire des chansons pour d'autres, être au service des artistes. J'avais parié avec un pote que j'écrirais une chanson qui passerait en radio. J'étais à mille lieues de penser que non seulement je gagnerais ce pari, mais qu'en plus j'allais me retrouver chanteur de cette chanson. ______________________________________________________________________________ En 2020, un miracle se produit : je signe avec le label Twin Music. D'abord en tant que parolier, puis après avoir envoyé la démo d'un titre aux producteurs d'une artiste prometteuse (cc Lana 🫶) en tant qu'artiste ! À ma grande surprise, ils ont décidé de garder ma voix sur la track, c'était dingue. Ensemble, on a sorti le titre « 45 Tours » : cette petite chanson écrite dans mon appart Montmartrois s'est retrouvée diffusée chez Intermarché, Etam, dans les Uber et de nombreuses radios nationales (Europe 2, RTL2, France Bleu...) Mais voilà qu'un mec qui a eu la merveilleuse idée de se nourrir de Pangolin à l'autre bout du monde a tout fait foirer. Alors comme un amour de vacances, mon contrat avec le label s’est terminé sans qu'on ait eu le temps de sortir quoi que ce soit. Ciao Muratti, c'était sympa. Je me suis longtemps dit que c'était la faute du Covid, mais en réalité je n’étais juste pas prêt à ce moment-là. Ni artistiquement, ni vocalement. J'en profite pour remercier sincèrement toute l'équipe de Twin Music sans qui cette aventure n'aurait probablement jamais démarré (Roberto, Eric, Marc, si vous lisez 🫶) Je me suis retrouvé en indépendant, au tout début d'un long chemin artistique. Depuis 2021, j’ai pas arrêté de bosser. J’ai écrit, raturé, réécrit, beaucoup jeté, et parfois, j’ai laissé reposer, comme un bon vin qui prend son temps. J’ai entrainé ma voix pour qu’elle vous raconte ces histoires que je peaufine depuis ce qui me semble une éternité. En 2022 et 2023, j’ai sorti quatre singles : « Docteur », « Boulevard Rhapsody », « Il fut une nuit je vis le jour », et « Magnifique ». Vos retours, vos mots, vos écoutes, tout ça m’a porté, m’a encouragé à aller plus loin. Mais il y a eu un hic. Sans promo, sans scène, et sans équipe pour porter le projet, ces titres se sont aussi vite essoufflés qu'un lièvre asthmatique. Comment ça pourrait marcher pour les prochains titres ? Aujourd’hui, chaque semaine, des centaines de milliers de chansons débarquent sur les plateformes de streaming. Alors, pour se faire remarquer, il ne suffit plus d’avoir un bon titre – il faut le faire entrer dans les bonnes playlists des plateformes de streaming, celles qui changent la donne et multiplient les écoutes. Et là, c’est un peu le cercle fermé : les curateurs adorent les artistes déjà signés (soit en label, soit en distribution, soit les deux). Quand on est indé comme moi, on a seulement trois lignes pour pitcher notre projet avant de le sortir. C’est comme essayer d'attraper la lune avec une épuisette. Et pour être signé ? Ce n’est plus qu’une question de qualité, c’est aussi une question de “bruit”. Beaucoup de bruit. A quelques magnifiques exceptions, les labels se fient désormais aux chiffres : likes, streams, abonnés. Un pilote de Formule 1 avec 500 000 followers aura plus de chances de signer qu’un artiste virtuose avec 50 likes de ses copains. Étrange, mais c’est la réalité de l’industrie musicale (heureusement, d'irréductibles labels résistent encore et toujours à ce phénomène grandissant). L'image, le contenu instagram, les medias, les scènes, les streams, ça compte énormément. Et pour fabriquer tout ça, il faut un certain investissement financier, et une belle communauté. Moi qui attend que l'industrie musicale m'ouvre la porte Et c’est là que j'ai besoin de vous. Après trois ans de travail acharné, je suis enfin fier des chansons que j’ai créées. Elles sont là, prêtes à éclore. Je n'ai qu'une hâte : vous les faire découvrir et les défendre sur scène. Il ne leur manque que trois ingrédients. Pour qu'on ait une chance de faire l'Olympia ensemble (et pourquoi pas ???) et éviter l'effet "pétard mouillé" ... Je mise sur trois éléments essentiels : (voir partie "A quoi servira la collecte" pour plus de détails) La qualité sonore : Je pourrais vous proposer des chansons enregistrées dans ma chambre avec des instrus faites sur ordi, mais quand même, je veux chouchouter vos oreilles. Pour ce projet j'aimerais de l'acoustique, des vrais musiciens, des sessions studios qui se finissent à pas d'heure, un super ingénieur du son, un mixage de qualité, du mastering, des échanges, du temps de création, des tests...tout ça fera une belle différence. La promo : Même Mylène Farmer ne lance rien sans promo. Un attaché de presse / ou agence, des partenariats, des campagnes Ads… ce sont les clés pour donner toutes les chances à un projet de trouver son public. L’image : Je ne vais pas devenir un influenceur, mais l’image compte. Vous l'avez lu, il faut faire du bruit, il faut aller chercher les gens. Pour aller les chercher il ne faut pas que du bon son ou de la bonne musique, il faut du contenu : des mini-clips, des sessions live. Tout ça est devenu indispensable pour donner vie à l’univers musical derrière un projet. ____________ J’ai déjà investi 1 500 euros dans ce projet, parce que j’y crois, de toutes mes forces (le premier single est déjà presque prêt, la réalisation en studio de deux autres titres a déjà démarré !) En revanche il manque encore au grand minimum 3500 euros pour lui donner vie. Avec ce premier palier de 3500 euros on pourra enregistrer, mixer, masteriser ces chansons, faire quelques vidéos, les distribuer sur toutes les plateformes et donner un petit coup de com au projet (voir partie "à quoi servira la collecte ?") Si on atteint un second palier de 5000 euros, c'est l'assurance d'avoir 6 chansons dans l'EP, on pourra ensuite donner naissance à des images pour illustrer les tracks, faire appel à des musiciens (violoniste, guitariste...). Si on atteint un troisième palier de 7000 euros, ça devient extrêmement serieux. Dans ce cas on pourra atteindre une grande agence de promotion - Music Media Consulting - dont le devis atteint 2500 euros pour une grande campagne grande presse, grande radio, placements... (Et là on arrive dans la cour des grands). Ce serait absolument dingue. Si on rêve un peu plus loin on pourrait faire un album de 18 titres, un clip de 10 minutes, un feat avec Mylène Farmer, remplir le Stadium de Toulouse, faire le Stade de France... Juste ça. En gros, voilà le programme. Ça vous tente ? Ah oui. Et j'oubliais.. Cet EP s’appellera « Bonjour mon amour ». Un EP de chansons françaises, teintées de mélancolie heureuse. Au programme : de la ballade, de la pop, du rock, du mainstream, du moins mainstream, mais surtout toujours les mots au coeur du réacteur. Il sera composé d'un featuring avec une chanteuse avec qui j'ai toujours rêvé de chanter, de chansons d'amour, de chansons d'humeur, de quelques traits d'humour. Il y aura des chansons pour danser, des chansons pour pleurer... mais surtout pour chanter (c'est un pléonasme ça non ?) Chers vous, vous qui êtes encore là à me lire, si vous souhaitez me rejoindre dans cette folle aventure, je vous propose en l'échange d'un don une ou plusieurs contreparties. Ce n'est qu'une simple cagnotte, c'est une cagnotte qui encourage la réalisation d'un projet et qui en plus vous donne un cadeau. Si vous participez, mettez un commentaire en me disant "Bonjour", ça me donnera une force infinie pour la suite. Je serais le plus heureux, vraiment. Voilà, n'hésitez pas à m'envoyer un message si vous avez des questions ou si vous voulez juste papoter. Un immense immense immense merci pour votre générosité. Maintenant Go go go ! On sait jamais, sur un malentendu on fait la tournée des Zéniths À très très très vite, Alexis

L'équipe-type du projet • Stephane Lozac'h – Le maestro. Un véritable passionné de sons . Ensemble, on travaille les arrangements, on cherche la meilleure interprétation, celle qui capte toute la nuance de chaque chanson. Son expertise technique et son oreille affûtée font toute la différence. Stéphane est ceinture noire de Mix / Mastering. • Le studio de Montmartre Moins C Plus – Composé de deux frères qui sont des génies de la musique : Hadrien et Gabriel Mabillat (MAB). Je travaille actuellement sur deux titres de l'EP avec eux, ils sont très très très forts. Multi-instrumentistes, grâce à eux des maquettes qui dorment depuis trop longtemps prennent enfin vie. Ceintures noires de musique tout simplement. • Toon Réunis – Le videaste. L’œil qui capture l’âme du projet. À travers ses vidéos, il met en lumière l’univers de cet EP, pour que chaque chanson ait un impact visuel aussi fort que musical. C'est lui qui a tourné la vidéo de présentation de la cagnotte. Ceinture noire de real. • Eugénie Martinez – La photographe. Avec un œil sensible et une créativité toujours en éveil, elle apporte un regard unique aux visuels de l’EP. Elle sait capter l’essentiel et donner une identité forte à chaque image. C'est d'ailleurs elle qui a pris toutes les photos du projet ! (Un grand merci à toi) Ceinture noire de photographie. • Vous – Les mécènes. Vous aussi, en contribuant à cette cagnotte, vous devenez une partie intégrante de l’équipe. Ce projet est autant le vôtre que le mien. C'est ensemble qu'on donnera vie à cet EP. Vous êtes ceintures noires de soutien.