CARABANCHEL ~ Les ombres du franquisme
Carabanchel, une prison, un cri, un symbole aujourd'hui disparu du franquisme. Six années nécessaires pour finaliser cette œuvre, ce livre.
Bonjour ; Je vous remercie d’avoir porté durant soixante jours mon travail en lui donnant la chance de se concrétiser dans une belle édition. Jean -Yves Gargadennec
Les félicitations à Mr Gargadennec, pour ce projet qui va voir le jour. Les encouragements pour le mener à bien. Et le souhait de réussite
Bonne chance!!
Amitiés et bonne chance
Tous mes souhaits de grande réussite et c'est bien parti. Bien cordialement
je voulais faire franchir le seuil de réussite bravo -a bientôt -très cordialement René V
bravo pour ce projet
je souhaite la réussite de ce projet, qui me semble très important pour la mémoire collective.
Une bien modeste contribution pour aider ce projet d'être porté jusqu'à son terme. Tous les rêves devraient trouver des ailes pour les porter. Ce travail est magnifique et l'auteur un passeur de mémoires qu'il faut saluer pour avoir su extirper la beauté de ce lieu maudit.
Je suis les pas de Jean-Yves depuis Métamorphose. J'aime son écriture, radicale, sans concession à la mode. Il y a toujours dans ses photos de lieux et de paysages sans homme la présence des hommes qui les ont habités, fréquentés, souvent, il faut bien le dire qui y ont souffert, quand ils n'y sont pas morts. La vie y est ténue, mais puissante. Carabanchel voisinera avec Ici au loin de Pentti Sammallahti, autre livre que j'ouvre comme on ouvre grand le matin la fenêtre en respirant profondément.
Bravo Jean Yves ! Je suis admirative de votre photographie. Vous vous êtes impliqué durant 6 ans pour réaliser ce travail de mémoire, alors que vous n’avez aucune ascendance espagnole. Bonne chance.
Bonjour, Je vous souhaite mes meilleurs vœux pour 2014. Carabanchel prend forme, nous avons finalisé la maquette du livre, la chromie des photographies et les traductions pendant le mois de décembre. Il nous reste l’impression et le façonnage du livre pour le mois de janvier... A très bientôt, Jean-Yves Gargadennec