Comme nous l'avions annoncé 13 projets ont été sélectionnés pour être réalisés en Juin 2017.

Tous les élèves partent dans les pays le week end du 27 Mai. Depuis deux semaines les élèves de production de la CinéFabrique sont à New York, à Ouagadougou, à Addis Abeba et à Cotonou pour repérer et préparer les lieux de tournages.

Merci aux 146 KissKissBankers pour leur participation ! Il nous reste 4 jours et 6500€ à collecter !

On vous propose de découvrir la programmation 2017 ci dessous !

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BURKINA FASO

Hip Waga Hop : Gautier Aubry (Cinéfabrique)

«Hip Waga Pop» dressera un portrait de la vie à Ouagadougou à travers la journée, les yeux, le flow et les mots d’un rappeur issu du mouvement hip-hop burkinabé. Cette idée de documentaire signée Gautier Aubry de la Ciné Fabrique fait partie du cru 2017 de Ciné Nomad School.

Lost Dreams : Leul Shoaferew (Ethiopie)

Alain, un enfant de 10 ans né à Ouagadougou attend. Contrairement à la majorité des gens, il sait très bien ce qu’il attend. Le pasteur local lui reproche bien des malédictions : il attend d’être expié de ses démons et si cela échoue c’est la purge qui l’attendra.

FRANCE

Les racines dans la neige : Cesaire Kafando (ISIS)

Après s’être refait une vie en Europe, monsieur Ali pour différentes raison décide de couper tout lien avec son continent et ses parents.

Monsieur Ali s’installe en Europe, y refait sa vie et oublie même d’où il vient. Il parle ni de ses parents ni de son pays d’origine. Pourquoi cette situation et est-ce que monsieur Ali compte t-il remédier à cette situation ?

Ma Flamme : Ange Roch Hounga (ISMA)

Dans la ville de Lyon, un petit garçon immigré, HOPE, se bat avec ses parents pour atteindre son rêve, de devenir footballeur professionnel.

HOPE un jeune immigré sans papiers vit chez un couple sans enfant. Il observe tous les jours, à travers sa fenêtre, des enfants jouer au football. Il se rend seul au centre de football, mais est rejeté par quelques enfants. Le coach du centre le soulage. HOPE et ses parents parlent de la faisabilité de ses papiers. Le coach les aides dans cette démarche, afin qu’il joue dans son équipe.

Bykes, Flowers, Wrinkles : Mariah Hernandez (Suny Purchase)

Halim, la soixante bien entamé, est à la recherche d’un compagnon. C’est quelque chose qu’il n’a pas voulu s’avouer : il se sent seul depuis qu’il a ouvert son magasin de tandem.

ÉTHIOPIE

Descente aux enfers : Izia Wallerich (Cinéfabrique)

Ce film raconte l’histoire de la destruction d’un couple d’expatriés béninois à Addis-Abeba

C’est à la suite de la visite de la mère de Senami, grande prêtresse vaudou, venue rencontrer sa petite fille, que la vie tranquille de ce couple d’expatriés va être bouleversée. Le comportement de Senami va petit à petit changer, laissant Sourou totalement désemparé face à sa femme. C’est une véritable descente aux enfers que va subir ce couple d’apparence tranquille.

Rastafarisme Ethiopien : Giovanna Atodjinou et Fidele Epou (ISMA)

Ben et kesh, un couple rastafari nous conduit dans la vraie vie des rastas.

Des réalités moins connues que celles les plus clichées. Ce documentaire est un voyage dans le monde des adeptes du grand Dieu «Jah». Un monde culturel, religieux et de choix de mode de vie basé sur des principes de la sainte bible des chrétiens. Nous ne manquerons pas de faire une brève historique des rastafaris en Éthiopie.

NYC

A Day in the Life of an Homeless Kid : Daouda Zalle (ISIS)

Portrait d’un enfant dans la rue à New York est un documentaire sur un enfant de 15 ans qui s’est retrouvé dans les rues de NYC pour diverses raisons.

Un enfant de 15 ans vivant dans les rues de New York, se bat , malgré le regard social, pour être accepté socialement. Le film nous fait découvrir l’univers précaire des enfants vivant dans les rues et interpelle la société , les autorités à plus d’actes et d’initiatives sociales envers ces enfants. Le film révèle également le caractère très universel de ce phénomène qui est fort présent aussi bien dans les pays pauvres que dans les pays riches.

Outdoor Bin : Olivier Medjigbodo (ISMA) et Ines Orelie Sorgho (ISIS)

La ville de New-York est une poubelle en plein air sans les éboueurs.

La ville de New-York est sous le poids d’un danger environnemental qui ne dit pas son nom. Mais grâce aux éboueurs et certaines sociétés de recyclages d’ordures, la ville pourra être à l’abri des dégâts que pourraient causés le nombre de déchets en tonnes jetés dans la nature par jour par les New-yorkais.

Game over : Kismath Baguiri (ISMA)

Eva perd son bébé à cause de la négligence de son fiancé Dave accro aux jeux vidéo.

Eva jeune fille de 18 ans vit avec son fiancé Dave et leur bébé de quelque mois. Elle s’occupe de subvenir à leur besoin. Dave au chômage, passe toutes ses heures devant son ordinateur à jouer aux jeux vidéo. Un jour alors que le bébé est malade, Dave insouciant et maladroit néglige celui-ci alors victime alors d’une conséquence grave.

BÉNIN

Pétrole : Augustin Bonnet (CinéFabrique)

Pour sauver sa mère, Kisma décide de franchir la frontière entre le Benin et le Nigéria, sur une moto chargée de bidons d’essence frelatée.

Kisma vend de l’essence à des passants sur le bord de la route, avec sa mère et ses soeurs. Les bidons viennent du Nigéria, acheminés, chaque jour par des livreurs. Un matin, elle décide de voler une de leurs moto pour aller chercher elle même l’essence à la frontière.

The Very holy Church : Aidan Macaluso (Suny Purchase)

Un documentaire qui voudrait explorer les tensions religieuses provoquées au Bénin par la Très Sainte Eglise de Banamè.

Ce film explore les tensions religieuses causées par Tchranvoukini, un jeune dieu auto-proclamé de 25 ans et le culte qu’il a mis en place : la Très Sainte Eglise de Banamè. Cette mission rejette la religion principale du Bénin, le vaudou, en le qualifiant de sorcellerie. La tension s’est accrue entre les deux paroisses d’autant plus que la Très Sainte Eglise a gagné en popularité. Nous allons explorer ces tensions avec une famille qui a un point de vue complètement opposé sur la religion.

Livin’in the rain : Chad Hylton (SunyPurchase)

Vivre Sous la Pluie est un drame sur trois générations de femmes béninoises qui sont ensemble dans la même maison pendant une inondation subite.

Vivre Sous la Pluie est un drame sur trois générations de femmes béninoises (une grand-mère, une mère et une fille) qui vivent dans la même maison et se retrouvent ensemble pendant une innondation subite. L’histoire se déroule sur une journée, les femmes essayent de se tenir occupées pendant l’incident mais isolées les unes des autres. Les trois trajectoires convergent lorsque la fille apporte à sa mère un bateau qu’elle a fait avec du carton. Le film se termine alors qu’elles jouent dans le bateau en réalisant qu’elles ne peuvent rien faire contre la tempête et qu’elles feraient mieux de passer du temps ensemble.

Cine Nomad School

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