5 août 2016
Derrière les fronts, résistance et résilience en Palestine
Participez à la création du documentaire DERRIÈRE LES FRONTS, sur les conséquences psychologiques de l'occupation israélienne
Réussi
180
Contributions
09/02/2016
Date de fin
10 875 €
Sur 10 000 €
108 %
Derrière les fronts, résistance et résilience en Palestine
<p>
<em><strong> Derrière les fronts : résistance et résilience en Palestine </strong></em><i>(titre provisoire)</i></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<u><strong>Genèse :</strong></u></p>
<p>
</p>
<p>
J’ai découvert les chroniques de Samah Jabr en 2007. Je travaillais alors sur mon dernier long métrage documentaire <a href="https://www.youtube.com/watch?v=TUbzzz-sC0w" target="_blank">Moudjahidate</a>. Film relatant les engagements de femmes dans la lutte pour l'Indépendance de l'Algérie. J’avais à l’époque ce que l’on peut appeler une "position de principe" anticolonialiste quant à la Palestine. Les chroniques du Dr Samah Jabr m’ont permis de visualiser et concrétiser la situation. En proposant une approche inédite, dans l’héritage de Frantz Fanon - celle de politiser le psychologique, pour décoloniser les esprits - ses chroniques m’ont donné une porte d’entrée sur une réalité complexe, et m’ont conduite jusqu’à elle. </p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Capture_d_e_cran_2014-03-28_a__03.37.24-1449524386" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258283/Capture_d_e_cran_2014-03-28_a__03.37.24-1449524386.png"></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Cisjordanie-1449507819" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258244/Cisjordanie-1449507819.png"></p>
<p>
crédit : A. Dols</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<u><strong>Présentation du film :</strong></u></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<i> « L’occupation ne s’arrête pas avec un cessez-le-feu. »</i></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
La dernière offensive militaire israélienne de l’été 2014 a fait plus de 2 100 victimes palestiniennes dont plus de 500 mineurs. Ce massacre était une phase aiguë d’une occupation commencée il y a maintenant plusieurs décennies.</p>
<p>
</p>
<p>
Au quotidien, la colonisation n’est pas seulement celle des terres, des logements, du ciel ou de l’eau. Elle ne cherche pas simplement à s’imposer par les armes, mais elle travaille aussi les esprits, <em>derrière les fronts</em>.</p>
<p>
</p>
<p>
Ce documentaire s’intéresse à ses formes invisibles, c'est à dire: l’occupation intime, celle de l’espace mental. Espace où l’équilibre, l’estime de soi, le moral et l’âme deviennent des lieux et des enjeux de lutte.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<i><u>Samah Jabr</u></i></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Samah_1-1449490963" height="253" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258138/Samah_1-1449490963.jpg" width="408"></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<em>« Je ne pense pas qu’une libération nationale puisse être réalisée par des personnes qui ne sont pas personnellement libérées […]. Les personnes alliées parlent toujours de libérer les terres palestiniennes, mais pour moi il est important de libérer l’esprit palestinien, le peuple palestinien, l’identité palestinienne. » </em><em>Samah Jabr</em></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Née à Jérusalem-Est, elle vit à Shufat en banlieue de Jérusalem et travaille en Cisjordanie. Issue de la première promotion en médecine de l'université palestinienne d'Al Quds (Jérusalem), elle est l'une des vingt psychiatres à pratiquer actuellement en Cisjordanie.</p>
<p>
</p>
<p>
Directrice du Centre médico-psychiatrique de Ramallah, elle est également professeure dans des universités et forme des professionnels de la santé mentale (aussi bien palestiniens, israéliens ou internationaux). Elle intervient en prison et participe, en collaboration avec le PCATI, Comité public contre la torture en Israël, à collecter des témoignages de personnes ayant été torturées.</p>
<p>
Parallèlement à ces activités, elle écrit régulièrement des chroniques depuis la fin des années 1990 publiées au sein de revues internationales.</p>
<p>
</p>
<p>
En s’appropriant un savoir académique acquis durant ses études en Europe et à l’Institut israélien de psychothérapie psychanalytique, Samah Jabr construit un diagnostic psycho-politique sur sa société tout en soulignant les liens entre la résilience du peuple Palestinien et la résistance à l’occupation.</p>
<p>
</p>
<p>
Le terme de résilience vient à la base de la physique pour traduire la capacité d'un matériau à revenir à sa forme initiale après avoir subi un choc. En psychologie, La résilience désigne le processus par lequel une personne se développe malgré un traumatisme ou un environnement qui aurait dû être délabrant et destructeur.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Sans_titre_11-1449498639" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258185/Sans_titre_11-1449498639.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<i>Derrière les fronts, </i>invite à un double cheminement : à la fois dans nos esprits et sur les routes de Palestine.</p>
<p>
</p>
<p>
Des extraits de chroniques misent en scène, seront les pavés de cette route, tandis que la chronique de Samah Jabr " <a href="http://www.ism-france.org/temoignages/En-dansant-sur-des-musiques-differentes-mais-en-dansant-quand-meme-article-7027" target="_blank">En dansant sur des rythmes différents mais en dansant quand même</a> " orientera la trajectoire du film.</p>
<p>
</p>
<p>
Choisie entre autres parce qu’elle traverse des lieux d’affrontements physiques et psychiques : du Centre Médico Psychiatrique de Ramallah, en passant par le check point de Qalandia, pour aller vers Jérusalem.</p>
<p>
</p>
<p>
Ces chroniques questionnent l’aliénation, l’impact psychologique d’une oppression au quotidien, et m'ont donner envie d'aller à la rencontre des personnes et lieux évoqués, pour aller au-delà des textes.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong><u>Une pluralité de personnages dans une Palestine fragmentée …</u></strong></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Carte-1449498392" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258175/carte-1449498392.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Alors que la Palestine est une, les réalités palestiniennes sont multiples : les Gazaouis font face à d’autres conditions d’occupation que les « Palestiniens de 48 » et que celles et ceux qui vivent en Cisjordanie. Il nous est actuellement très difficile de tourner dans la bande de Gaza, mais je n’oublie pas que leur sort est lié.</p>
<p>
Alors que continuer de vivre en Palestine est déjà aux yeux de beaucoup une forme de résistance, mes interlocuteurs-trices de Jérusalem, de Naplouse, de Ramallah ou encore d’Haïfa s’inscrivent dans des tentatives de déjouer le système et de contrer les tentatives de division et d'attaques psychologiques et idéologiques.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Deema Zalloum</strong>, mère de Moussa Zalloum, habite à Shufat quartier de Jérusalem-Est. En juillet 2014, elle réussit à empêcher trois israéliens de kidnapper son fils. Le lendemain, ces mêmes israéliens ont kidnappé et assassiné le jeune Muhammad Abu Khdeir en le brûlant vif.</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Sans_titre_8-1449498425" height="232" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258176/Sans_titre_8-1449498425.jpg" width="411"></p>
<p>
crédit : A.Dols</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Mgr Theodosios de Sebastia (né Atallah Hanna) </strong>est l’archevêque du Patriarcat de l’église grecque orthodoxe de Jérusalem depuis 2005. Il propose une approche déconfessionnalisée du conflit et lutte contre les tentatives de divisions entre chrétiens et musulmans palestiniens.</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Evque-1449498460" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258180/evque-1449498460.jpg"></p>
<p>
crédit : A.Dols</p>
<p>
</p>
<p>
<em>« De façon générale, les sionistes empêchent l’accès à toute la ville de Jérusalem : les Palestiniens de Cisjordanie ne peuvent pas y accéder excepté avec une autorisation donnée par l’occupant sioniste. [...] Cette interdiction n’empêche pas seulement les musulmans d’accéder à Al Aqsa et les chrétiens à l’église du Saint-Sépulcre, elle empêche les Palestiniens de manière générale d’avoir accès au marché et d’aller travailler » </em>Mgr Theodosios de Sebastia</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Ghadir Shafie</strong> co directrice d’Aswat, (« voix » en arabe), groupe de Palestiniennes féministes et queer nous livrera son opinion et son expérience. Aswat est « un groupe féministe queer engagée à relier le féminisme, l’homosexualité et la résistance à toutes les formes d'oppression - en tant que Palestiniennes, femmes et queer - les réunir en une seule lutte monumentale ". Elle est également engagée dans le mouvement international « Boycott, désinvestissement et des sanctions pour Israël » (BDS).</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Sans_titre_7-1449498490" height="229" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258181/Sans_titre_7-1449498490.jpg" width="410"></p>
<p>
crédit A.Dols</p>
<p>
</p>
<p>
<em>« Je ne veux pas que la communauté internationale me “sauve” en tant que queer. Je veux en priorité que l’occupation cesse. [...] La Palestine doit d’abord être libre pour être jugée en tant que société. »</em></p>
<p>
Ghadir Shafie</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Dr El-Sakka Abaher, </strong>originaire de Gaza, est sociologue et directeur du département de sciences sociales et comportementales de l’université de Birzeit dans lequel il enseigne. Sa recherche se concentre sur les expressions artistiques, la mémoire, l’identité, la protestation et les mouvements sociaux.<i> </i></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Sans_titre_9-1449498525" height="217" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258182/Sans_titre_9-1449498525.jpg" width="388"></p>
<p>
crédit A.Dols</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Khader Adnan</strong></p>
<p>
A été prisonnier politique. Arrêté dix fois en détention administrative - <strong>procédure qui permet à l’armée israélienne de détenir une personne pour une période de six mois maximum, renouvelable de manière indéfinie, sans inculpation ni procès. </strong></p>
<p>
Il a finalement été libéré en juillet 2015, après avoir mené une grève de la faim de 55 jours. Nous l’avons rencontré à l’hôpital quelques jours après sa sortie.</p>
<p>
</p>
<p>
<em>Depuis 1967, 40% de la population masculine a été arrêtée par les forces israéliennes, pratiquement chaque famille palestinienne a au moins un de ses membres en détention. (source : Palestinian Central Bureau of Statistics)</em></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Sans_titre_10-1449498564" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258184/Sans_titre_10-1449498564.jpg"></p>
<p>
crédit A.Dols</p>
<p>
</p>
<p>
Extrait de <i>«</i> <a href="https://www.info-palestine.net/spip.php?article15518" target="_blank">L’homme ne vivra pas que de pain </a>» Samah Jabr, juillet 2015</p>
<p>
</p>
<p>
<em>«<a href="http://www.info-palestine.eu/spip.php?article15518" target="_blank">Notre président nous a déclaré que “s’il nous faut choisir entre le pain et la démocratie, nous choisissons le pain”. Pourtant, le boulanger Khader Adnan pense et se comporte autrement, illustrant le principe que “l’homme ne vivra pas que de pain”. Adnan a mené deux longues et périlleuses grèves de la faim en détention depuis 2013. La torture et des sévices humiliants ont été les déclencheurs de la première ; ses interrogateurs lançaient des insinuations sexuelles à propos de son épouse, se moquaient de sa foi et de son physique, arrachaient sa barbe et souillaient sa moustache des saletés de leurs chaussures. Adnan a remporté ses deux grèves de la faim, ce qui a entraîné sa libération et attiré l’attention du monde sur la situation désespérée des prisonniers politiques palestiniens mis en détention administrative, c’est-à-dire détenus sans motif d’inculpation ni procès, pour des périodes de six mois, renouvelables indéfiniment.</a>»</em></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Dome_du_rocher-1449491174" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258139/Dome_du_Rocher-1449491174.JPG"></p>
<p>
crédit A.Dols</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
En général, les images des palestinien-nes dans les médias français sont souvent spectaculaires : foule en deuil, femmes sous le choc de la mort de leurs proches, regroupées autour d’un blessé ou d’un mort, ou bien encore combattants armés, incarnant le « danger terroriste ». Ces images ne laissent pas indifférent. Elles peuvent susciter un élan humanitaire ponctuel ou créer de la peur. Mais permettent-elles une réelle compréhension de la situation ?</p>
<p>
</p>
<p>
L’idée est donc de sortir du spectaculaire pour entrer dans le quotidien d’un conflit qui n’est pas fait que d’armes et de morts. Prendre de la distance, explorer d’autres temporalités et laisser nos esprits cheminer sur les routes de Palestine, pour mieux comprendre les racines et les ressorts de ce qui s’y passe aujourd'hui.</p>
<p>
</p>
<p>
Gageons que leurs témoignages pourront inspirer bien au-delà de leur réalité.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong><u>État des lieux</u></strong></p>
<p>
</p>
<p>
Trois tournages en Palestine ont déjà eu lieu.</p>
<p>
</p>
<p>
Pour l’instant le projet a été développé en autoproduction au sein d'Hybrid Pulse, avec le soutien de partenaires du mouvement de solidarité avec la Palestine. </p>
<p>
</p>
<p>
Nous sollicitons aujourd'hui votre participation pour nous aider à collecter les fonds nécessaires pour les dernières étapes de post-production (monter, mixer, étalonner, sous titrer).</p>
<p>
</p>
<p>
Pour mener à terme et à bien, <em>Derrière les fronts</em> !</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Présentation de l'équipe : TEAM RR</strong></p>
<p>
</p>
<p>
<u>La réalisatrice : Alexandra Dols</u></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Alexandra_dols-1449065341" height="279" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256872/alexandra_dols-1449065341.jpg" width="497"></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Diplômée d’un Master II en Création et Réalisation audiovisuelle à Paris VIII Vincennes et d’un Master I en Écriture de scénario de fiction à Paris I Panthéon-Sorbonne, Alexandra Dols est auteur-réalisatrice spécialisée dans le documentaire et intervient en parallèle dans les milieux scolaires afin de transmettre des outils d'éducation à l'image.</p>
<p>
</p>
<p>
Son précédent long métrage documentaire, <a href="https://www.youtube.com/watch?v=TUbzzz-sC0w" target="_blank">Moudjahidate</a>, évoque l'engagement des femmes dans la lutte pour l’Indépendance de l’Algérie au sein du FLN-ALN. Sorti en 2008, il proposait déjà des jalons d'une réflexion anticolonialiste.</p>
<p>
</p>
<p>
<em>"<em>L</em></em><em>a lutte contre l’occupation là-bas nous renvoie à la décolonisation des esprits et des institutions qu’il reste à faire ici, en France. Par rapport à son histoire, son passé, mais aussi à son présent."</em></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<u>L’ingénieure du son</u></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Charlotte-1449065317" height="235" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256871/charlotte-1449065317.jpg" width="248"></p>
<p>
</p>
<p>
Charlotte, assistante plateau, elle réalise des reportages radiophoniques depuis plus de dix ans et anime entre autres l’émission « <a href="http://www.radiogalere.org/programme/1-heure-en-palestine">Une heure en Palestine</a> » sur radio Galère, 88.4 (Marseille).</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<u>L' interprète-script </u></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Unnamed-1449066037" height="220" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256876/unnamed-1449066037.jpg" width="220"></p>
<p>
</p>
<p>
Boutros, écrivain, a été script et interprète de l'arabe au français lors des interviews.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>La maison de Production : Hybrid Pulse</strong></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Hb_b-1449065289" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/256870/hb_b-1449065289.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
Hybrid Pulse est une association créée en 2007 ayant pour but d’accompagner des femmes dans l’écriture, la réalisation, la diffusion de créations audiovisuelles et dans la mise en œuvre d’ateliers d’éducation à l’image.</p>
<p>
</p>
<p>
Les questions de luttes d’émancipation, de libération sous-tendent et traversent nos productions.</p>
<p>
</p>
<p>
Nous avons produit et distribué le long-métrage documentaire d'Alexandra Dols, <a href="http://www.moudjahidate.com/le-film.html" target="_blank">Moudjahidate</a>, disponible en <a href="http://www.moudjahidate.com/dvd-et-telechargement.html" target="_blank">DVD </a>et <a href="http://telechargement.moudjahidate.com/" target="_blank">VOD</a>.</p>
<p>
Il a été diffusé sur trois continents (Europe, Afrique et États-Unis) et au sein d'établissements scolaires.</p>
<p>
</p>
À quoi servira la collecte
<p>
</p>
<p>
<strong>Pourquoi sollicitons nous votre aide ?</strong></p>
<p>
</p>
<p>
Cette collecte nous servira à terminer les dernières étapes de post-production du film, des opérations techniques, complexes, à effectuer chez et avec des professionnels expérimentés.</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Nous demandons aux kiss kiss bankers de nous soutenir à hauteur de 10 000€.</strong></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Vos contributions participeront aux frais de : </strong></p>
<p>
</p>
<p>
-<strong> </strong>pour le montage de l’image – somme qui comprend la location d’une station de montage virtuel et des logiciels nécessaires ainsi que le salaire du monteur ou de la monteuse</p>
<p>
</p>
<p>
- pour l’étalonnage avec technicien-ne spécialisé, afin d’harmoniser en couleur et en densité les différents plans montés et les différentes caméras utilisées.</p>
<p>
</p>
<p>
- pour le mixage avec un ingénieur du son, le temps de finaliser la bande son du film.</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Que ferons nous de votre argent si la collecte dépasse 10 000€ ?</strong></p>
<p>
</p>
<p>
Si nous ne récoltons pas l'intégralité des 10 000 €, rien ne nous sera reversé (en accord avec la politique de Kisskissbankbank).</p>
<p>
</p>
<p>
A l'inverse si votre aide dépasse nos espérances, nous pourrons enclencher rapidement le sous-titrage du film, particulièrement important, à la fois parce que les itw sont en plusieurs langues (arabe, anglais, français) et parce qu'il est nécessaire de disposer pour la diffusion internationale du film de plusieurs versions.</p>
<p>
</p>
<p>
<em>Vous pouvez aussi nous soutenir en diffusant généreusement cet appel de fonds !</em></p>
<p>
</p>
<p>
<em><strong>Shoukran djezilan ! Merci beaucoup !</strong></em></p>
<p>
</p>
<p>
<u>Nos partenaires</u></p>
<p>
</p>
<p>
AFPS Section de Nîmes, La Roche-sur-Yon, Nanterre, Angers, Isère.</p>
<p>
Radio Galère, Info Palestine</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Capture_d_e_cran_2013-11-05_a__16.29.31-1449523874" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/258281/Capture_d_e_cran_2013-11-05_a__16.29.31-1449523874.png"></p>
<p>
crédit : A.Dols</p>
Contreparties
5 €
- 8 contributions
Un grand merci à vous !
10 €
- 15 contributions
Votre nom au générique et un GRAND merci !!
20 €
- 28 contributions
Une carte postale tirée du film, votre nom au générique… et un GRAND merci !!
Livraison estimée : mars 2016
30 €
- 24 contributions
Une photo tirée du film, l’affiche A3, le tee-shirt du film (dans la limite du stock et des tailles disponibles), la version dématérialisée du précédent film d’Alexandra Dols, Moudjahidate,
Et un grand merci !
Livraison estimée : mars 2016
50 €
- 54 contributions
Tout ça, le DVD du film "Derrière les fronts" et une entrée gratuite lors d’une projection du film près de chez vous !
Et un grand merci !
Livraison estimée : juin 2016
70 €
- 5 contributions
Tout ça, et deux entrées lors d’une projection du film près de chez vous !
Et un grand merci !
100 €
- 11 contributions
Tout ça et une invitation pour deux personnes à l'avant-première !
Livraison estimée : juin 2016
500 €
- 1 contribution
Tout ça (sans la lithographie) et une rencontre avec la réalisatrice pour échanger autour de son projet + une projection dans la ville de votre choix ! (prendre en compte les frais de déplacement)
Livraison estimée : juin 2016
1 000 €
- 1 contribution
Tout ça (sans la lithographie) et venez assister à une journée travail lors de la post-production !
Livraison estimée : juin 2016
Faire un don
Je donne ce que je veux
Épuisé
Épuisé
350 €
- 5 contributions
Lithographie de calligraphie arabe de Everitte Barbee (dans la limite des stocks disponibles)
"Nous ne jetons pas ces roches avec haine.
On jette ces roches avec amour,
Amour d'un frère assassiné,
Amour d'une grand-mère malade sans médicament,
Amour pour une famille, que nous ne pouvons pas visiter,
Amour pour un monde que nous ne partirons jamais,
Amour pour une liberté que nous ne connaîtront jamais,
L'amour pour un peuple ancien.
On jette ces roches avec amour pour la Palestine."
Livraison estimée : juin 2016