20 novembre 2014
Des Vérités Désagréables
Participez à la création du nouveau film documentaire des cinéastes Marcel Ophuls et Eyal Sivan : "Des vérités désagréables"
Réussi
603
Contributions
22/01/2015
Date de fin
55 556 €
Sur 50 000 €
111 %
Des Vérités Désagréables
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<img alt="Titres_kisskiss-01-1416250125" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138882/titres_KISSKISS-01-1416250125.jpg"></p>
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<strong>A l’origine…</strong></p>
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Jean-Luc Godard avait un jour proposé à Marcel Ophuls de réaliser un film avec lui sur le conflit israélo-palestinien. Marcel avait refusé. A l’occasion de l’attaque Israélienne sur Gaza de l’été 2014, Marcel enjoint Jean-Luc de l’accompagner sur place pour faire ce fameux film. Cette fois, c’est Jean-Luc qui refuse. C’est alors qu’intervient Eyal Sivan, à qui Marcel propose une coréalisation. Mais les temps ont changé, et les conflits aussi…</p>
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En Israël, certains invoquent “la préférence nationale”, d’autres, plus jeunes, choisissent de s’exiler… à Berlin. En France, le Front national défend “les juifs” et des intellectuels se répandent en propos islamophobes. Le monde marche-t-il sur la tête ?</p>
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Interviews chocs, rencontres, confrontations, de Tel-Aviv à Paris en passant par la Cisjordanie, ce film-parcours dresse par touches imparables un état des lieux idéologiques. L’occasion de découvrir sur l’antisémitisme, sur l’islamophobie et sur l’importation, réelle ou supposée, du conflit, quelques vérités désagréables…</p>
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C’est aussi un documentaire sur ce que c’est de faire un documentaire. Un passage de témoin entre un cinéaste cosmopolite rebelle, né dans le crépuscule de la vieille Europe, et un cinéaste cosmopolite rebelle né dans l’Israël de la fin des années 1960. Entre ces deux personnalités explosives, il pourrait bien y avoir – et c’est tant mieux – quelques étincelles… Car est-ce un témoin qu’on se passe ou un bâton de dynamite ? </p>
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<img alt="1.eyal_camera_1_7-1416251029" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138885/1.Eyal_Camera_1_7-1416251029.png"></p>
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<img alt="Recufiscaux-1417192523" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/142168/recufiscaux-1417192523.jpg"></p>
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<img alt="Titres_kisskiss-02-1416251071" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138886/titres_KISSKISS-02-1416251071.jpg"></p>
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<strong><em> Des vérités désagréables </em></strong><strong> (titre provisoire)</strong></p>
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<strong> Un film de Marcel Ophuls et Eyal Sivan</strong></p>
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<strong>1969</strong></p>
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De Gaulle : <em>“Mais qu’y a-t-il dans ce documentaire, </em>Le Chagrin et la Pitié <em>?”</em></p>
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Le directeur de l’ORTF : “<em>Des vérités désagréables, mon général.”</em></p>
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De Gaulle : <em>“Les Français n’ont pas besoin de vérités, ils ont besoin d’espoir.”</em></p>
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<img alt="2.capture_d__cran_2014-11-13___17.07.30-1416251292" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138888/2.Capture_d__cran_2014-11-13___17.07.30-1416251292.png"></p>
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Considérons d’une part Marcel Ophuls, l’un des plus grands interviewers de l’histoire du cinéma français (“<em>le</em> plus grand”, corrigerait-il peut-être) et regardons-le : subtil et pince-sans-rire, intrépide et cabot, aguerri et juvénile. Considérons d’autre part Eyal Sivan, certainement l’un des documentaristes israéliens les plus insolents qu’on ait jamais connus (il dirait, à coup sûr, <em>le</em> plus insolent, ou, à défaut, il s’acharnerait à le devenir).</p>
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Et imaginons maintenant que ces deux-là s’associent pour partager une réflexion cinématographique sur ce qui se passe aujourd’hui, ici en France, là-bas en Israël. Un film où se coordonnent et se croisent deux regards et deux styles, l’un héritier du cinéma européen d’avant-guerre, l’autre, biberonné – entre autres – aux films du premier… </p>
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Car ces deux-là partagent plus qu’une admiration mutuelle. Aussi grandes que soient les différences de leur âge, de leur nationalité, de leur éducation, leurs œuvres sont traversées par une même volonté : aider les citoyens à être au fait de leur propre histoire, plutôt que d’adhérer à un “roman national consensuel” qui fédèrerait la société. De cette ambition sont nés des films qui, on s’en douterait, en ont fâché certains. Mais faut-il fermer les yeux ou les ouvrir ? Autrement dit : faut-il tourner <em>Le Chagrin et la Pitié</em> ou laisser croire que tous ont résisté et que Pétain a sauvé des Juifs ? Faut-il regarder <em>Route 181</em> d’Eyal Sivan et Michel Khleifi, ou laisser penser que la Palestine était un désert inoccupé jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers du mouvement sioniste ? </p>
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<img alt="2.capture_d__cran_2014-11-13___17.06.55-1416251190" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138887/2.Capture_d__cran_2014-11-13___17.06.55-1416251190.png"></p>
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Les deux cinéastes ont, chacun à leur façon, bouleversé la compréhension de l’histoire de leur propre pays. Aujourd’hui, caméra au poing, ils veulent affronter le présent et ses réalités complexes. Car comment ne pas se demander…</p>
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… Pourquoi aujourd’hui en France des membres éminents du Front national défendent Israël et “les juifs” ?</p>
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Pourquoi des intellectuels Juifs français viennent alimenter le corpus idéologique du Front national, comptent les Noirs dans l’équipe de France de football, quand ils ne travaillent pas à réhabiliter le maréchal Pétain ?</p>
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Comment comprendre qu’un ancien président travailliste du parlement israélien, religieux de surcroît, prône désormais la création d’un Etat commun aux deux peuples ? Pratique-t-on en Israël la “préférence nationale”? La politique du gouvernement israélien favorise t-elle l’antisémitisme dans le monde ? Le nouvel antisémitisme serait-il en fait l’islamophobie ? Est-on pris par les souvenirs mauvais d’un passé trop proche ?</p>
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Nageons-nous dans la plus totale confusion ? </p>
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<img alt="Marcel_1-1416254704" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138914/marcel_1-1416254704.jpg"></p>
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Ces interrogations sont liées les unes aux autres, elles renvoient à la politique coloniale française, à la politique d’Israël, aux conflits passés et présents qui agitent les deux sociétés. Elles seront posées tout au long du film par deux cinéastes héritiers de la tradition juive cosmopolite, donnant ici toute la mesure de sa singularité et de son charme. Car il est comme une langue encore vivante, où se côtoient l’humour et l’affliction, l’ironie et la gravité, le fatalisme et l’espoir.</p>
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Soutenir leur film, c’est encourager une démarche audacieuse et un projet de cinéma ambitieux.</p>
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<img alt="4.eyal_marcel_hotel_1_2-1416251545" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138893/4.Eyal_Marcel_Hotel_1_2-1416251545.png"></p>
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<img alt="Titres_kisskiss-04-1416251567" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138894/titres_KISSKISS-04-1416251567.jpg"></p>
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<img alt="9.capture_d__cran_2014-11-13___16.57.58-1416252029" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138898/9.Capture_d__cran_2014-11-13___16.57.58-1416252029.png"></p>
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<strong>Marcel Ophuls : </strong></p>
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Né le 1er Novembre 1927 à Francfort en Allemagne, Marcel Ophuls est de nationalité Franco-Américaine. Fils de Max Ophuls et de Hilde Wall, il va suivre leur exil dans un premier temps en France en 1933 puis aux Etats-Unis en 1941.</p>
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Il revient en France en 1950 et c’est à ce moment qu’il se lance dans la réalisation de ses premiers longs-métrages, (« <em>Peau de banane », « Faites vos jeux mesdames », « Munich ou la paix pour 100 ans »</em>), après avoir assisté de grands noms dans le cinéma Français, notamment son père. C’est en 1969 qu’il vit un vrai tournant dans sa carrière de cinéaste avec la réalisation du film <em>« Le chagrin et la pitié »</em> cité à l’Oscar du meilleur film documentaire. Le film va être censuré pendant plus de 10 ans par l’ORTF et il ne sera diffusé à la télévision française qu’après l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981.<em> "Le chagrin et la pitié"</em> dresse la chronique de la vie d’une ville de province (Clermont-Ferrand) entre 1940 et 1944. Le documentaire est une investigation à travers le dialogue de plusieurs protagonistes (militaires, hommes d'État, témoins-clés), sur l’occupation Allemande et le régime de Vichy, et notamment la question de la collaboration Française pendant cette période. Suivront de nombreux films et reportages dont<em> « Memory of justice », « Hotel terminus »</em> vainqueur de l’oscar du meilleur film documentaire en 1989, <em>« November days », « Veillée d’armes », « Un Voyageur »</em>.</p>
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Symbole d’un dialogue avec l’histoire, Marcel Ophuls s’est distingué en abordant les sujets les plus tragiques avec humour et gravité. Interpellant les grands de ce monde, ses films sont toujours dédiés aux victimes, les plus faibles. </p>
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<img alt="Eyal_sivan.preview-1416251644" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138895/EYAL_SIVAN.preview-1416251644.jpg"></p>
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<strong>Eyal Sivan : </strong></p>
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Eyal Sivan est un cinéaste documentariste et essayiste. Né en 1964 à Haïfa en Israël, il a grandi à Jérusalem. Actuellement, Eyal Sivan co-dirige le MA program in Film, video and new media à School of Arts and digital Industry, a University of East London (UEL) a Londres. Il enseigne a la NFTA a Amsterdam (Pays-Bas) et à l' Academic College Sapir (Israel).</p>
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Après avoir été photographe professionnel à Tel-Aviv, il quitte Israël et s'installe à Paris en 1985. Depuis, il partage son temps entre l'Europe et Israël. Eyal Sivan a réalisé plus de dix long-métrages, documentaires politiques qui ont été primés dans le monde, et en a produit de nombreux autres. Ses travaux cinématographiques ont été largement montrés dans de prestigieux festivals du monde entier, où il a reçu plusieurs prix. Le travail d' Eyal Sivan est également régulièrement montré dans le cadre de grandes expositions artistiques internationales. Sivan écrit et donne régulièrement des conférences à propos du conflit israélo-palestinien, du cinéma documentaire, de l'éthique de la représentation, du crime politique et de sa représentation, de l'utilisation politique de la mémoire, du génocide et de sa représentation, etc. Eyal Sivan est le fondateur et le directeur artistique de la société de production Momento! et de l'agence de distribution de films Momento Films - Scalpel. Il a créé et été rédacteur en chef de la revue Cahiers du Cinéma Sud, revue de critique cinéma et politique, publiée par l'Institut Universitaire Sapir, en Israël, où Sivan donne régulièrement des cours et séminaires. Il est également membre du comité éditorial de La Fabrique Editions à Paris.</p>
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<img alt="Titres_kisskiss-05-1416252409" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138899/titres_KISSKISS-05-1416252409.jpg"></p>
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<img alt="Boubkar_benzabat-1416252751" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138901/Boubkar_Benzabat-1416252751.jpg"></p>
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<strong>Boubkar Benzabat à l'image </strong></p>
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<img alt="Pierre_australie-1416252783" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138902/pierre_australie-1416252783.jpg"></p>
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<strong>Pierre Carrasco au son </strong></p>
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<img alt="Eulalie_korenfeld-1416252796" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138903/EULALIE_KORENFELD-1416252796.jpg"></p>
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<strong>Eulalie Korenfeld : assistante monteuse </strong></p>
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<img alt="Unnamed-1416265007" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138980/unnamed-1416265007.jpg"></p>
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<strong>Audrey Maurion : montage </strong></p>
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<img alt="Titres_kisskiss-06-1416252862" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138904/titres_KISSKISS-06-1416252862.jpg"></p>
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- <strong>Production déléguée et distribution : </strong> Zeugma Films / Michel David - Edwige Moreau</p>
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<strong>ZEUGMA FILMS</strong> produit depuis 1996 des documentaires pour le cinéma et la télévision avec la même exigence : offrir de l'inattendu, de l'exceptionnel, de l'ambitieux.</p>
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Des films dont le spectateur sent que ça a été vital pour l'auteur-réalisateur de le mener à bien, que c'est une aventure où son âme même est mise en jeu. Des films qui laissent le spectateur libre de penser par lui-même. Ce ne sont pas les sujets qui déterminent notre politique de production puisque seule la manière de les traiter nous importe; ce sont des rencontres uniques entre une matière, un auteur, une équipe et nous.</p>
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ZEUGMA FILMS depuis 2011 distribue également des documentaires – <em>Comme Etat Commun – Conversation potentielle (1)</em> d’Eyal Sivan – sorti en octobre 2013. Le projet de ce nouvel engagement est de défendre d’un cinéma d’auteur, où la/le politique est au plus profond, où nous regardons le monde contemporain les yeux grand ouverts. Parfois émerveillés, souvent étonnés, surpris, dérangés, toujours incertains. </p>
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<a href="http://www.zeugmafilms.fr/" target="_blank">http://www.zeugmafilms.fr/</a></p>
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- <strong>Production exécutive:</strong> Confluences et Momento production / Ariel Cypel - Hortense Quitard</p>
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<a href="http://www.momento-films.com/" target="_blank">http://www.momento-films.com/</a></p>
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<a href="http://www.confluences.net/" target="_blank">http://www.confluences.net/</a></p>
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À quoi servira la collecte
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<img alt="Titres_kisskiss-03-1416253003" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138905/titres_KISSKISS-03-1416253003.jpg"></p>
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<strong>Pourquoi nous avons besoin de 50 000 € ?</strong></p>
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<img alt="6.eyal_marcel_salon_1_1-1416253117" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138906/6.Eyal_Marcel_Salon_1_1-1416253117.png"></p>
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Ce projet a été décidé avec une très grande rapidité, et nous espérons que le film soit prêt pour le Festival de Cannes 2015.</p>
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Du fait de la rapidité de sa fabrication, et de la participation d'une équipe réduite mais avec une énergie formidable, cette production est faisable à petit budget. Nous l'avons évalué à 500 000 euros environ. </p>
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Nous ne pouvons cependant compter sur les financements traditionnels du cinéma, trop longs à mettre en place. Pourtant, aujourd'hui nous avons l'assurance de partenaires nécessaires et décisifs pour la distribution en salles France et nous sommes en négociation pour les pré-ventes à l'international, en Allemagne, Suisse, Israël, Canada...</p>
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L'enthousiasme de ces premiers partenaires nous permet d'être assurés que le tournage peut se faire au plus vite, mais trop d'incertitudes et <strong>la volonté de garder la main (le final cut comme dirait Marcel!) sur ce projet cinématographique et politique exigeant, nous incitent à la prudence. </strong></p>
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<img alt="7.marcel_portrait_1_2-1416253202" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138907/7.marcel_Portrait_1_2-1416253202.png"></p>
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C'est pourquoi, nous avons impérativement besoin de vous pour assurer <strong>les opérations de post-production et de finition du film</strong>, qui sont des opérations techniques, complexes, à effectuer chez et avec des prestataires spécialisés disposant d’un savoir-faire. </p>
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<strong>La postproduction englobe l’ensemble des techniques de finalisation du film après tournage, c’est-à-dire à partir des rushes. Il nous faut pour les étapes suivantes :</strong></p>
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- <u><strong>16 000 €</strong></u> pour le montage de l’image et le montage son – somme qui comprend la location d’une station de montage virtuel et des logiciels nécessaires pendant 12 à 15 semaines et le salaire de la monteuse.</p>
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- <u><strong>8 000 € </strong></u>pour l’étalonnage de l'image, soit 4 jours d’une station d'étalonnage avec technicien spécialisé, afin d’harmoniser en couleur et en densité les différents plans montés et les différentes caméras utilisées.</p>
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- <u><strong>6 000 €</strong></u> pour le sous-titrage, particulièrement important pour ce film, à la fois parce que plusieurs langues (hébreu, arabe, anglais, français au minimum) seront parlées – et parce qu'il est nécessaire de disposer pour la diffusion internationale du film de plusieurs versions : le français, l’anglais et ce qu’il est convenu d'appeler “la version internationale” (celle sur laquelle chaque pays pourra imprimer sa langue).</p>
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- <u><strong>12 000 €</strong></u> pour le mixage, soit un auditorium de mixage avec un ingénieur du son pendant 6 jours, le temps de finaliser la bande son du film.</p>
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- <u><strong>8 000 € </strong></u>pour la mastérisation, l’encodage et la fabrication des copies définitives du film : le DCP est devenu le standard numérique pour permettre l’exploitation du film dans les salles du monde entier. D’autres supports (moins onéreux) tels que les blu-ray ou des HDcam seront aussi fabriqués afin de satisfaire chacun de nos partenaires (distributeur et diffuseur).</p>
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<img alt="8.capture_d__cran_2014-11-13___17.01.36-1416253408" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138909/8.Capture_d__cran_2014-11-13___17.01.36-1416253408.png"></p>
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<strong>Il arrive que des collectes dépassent l'objectif espéré. Si nous récoltons plus de 50 000€, votre argent contribuera quantitativement et qualitativement à optimiser cette production. Certains postes pourraient s'avérer insuffisamment budgétisés en particulier :</strong></p>
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<strong>- Achat des archives.</strong> En effet, l’utilisation d’images d’archives est une démarche constitutive du cinéma de Marcel Ophuls. Cependant leur coût est élevé car il doit se négocier pour des temps longs (minimum 15 ans) à l’échelle mondiale.</p>
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<strong>- Utilisation de musiques existantes et/ou originales </strong>pour lesquelles il faudra libérer les droits dans les mêmes conditions.</p>
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<u><img alt="Kisskiss_mediapart-07-1416253513" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/138910/KISSKISS_mediapart-07-1416253513.jpg"></u></p>
Contreparties
10 €
- 29 contributions
Un grand merci sur nos réseaux sociaux
15 €
- 15 contributions
Un grand merci sur nos réseaux sociaux + une photo du tournage dédicacée par mail
30 €
- 236 contributions
Un grand merci sur nos réseaux sociaux + le DVD du film avant tout le monde
50 €
- 146 contributions
Un grand merci sur nos réseaux sociaux + le DVD du film dédicacé avant tout le monde + une affiche du film (A4) dédicacée
80 €
- 14 contributions
Un grand merci sur nos réseaux sociaux + une grande affiche du film dédicacée par les deux réalisateurs (format : 40x60)
100 €
- 80 contributions
Invitation pour deux personnes à l'avant première du film + un t-shirt Médiapart (dans la limite du stock et des tailles disponibles) + nom dans le générique
300 €
- 5 contributions
Projection privée du film "Route 181" de Eyal Sivan à Confluences. Déjeuner collectif, suivi d'un débat et d'une masterclass du réalisateur : "le cinéma de Marcel Ophuls"
500 €
- 5 contributions
Dîner avec un journaliste spécialiste de la société Israélienne : Sylvain Cypel, auteur de "Les emmurés", à Paris.
(Par groupe de 5 personnes)
1 000 €
- 5 contributions
Dîner avec les deux réalisateurs. (Par groupe de 5 personnes)
2 000 €
- 1 contribution
Assister à un jour de montage.
5 000 €
projection privée du film terminé chez vous ou dans votre entreprise, suivi d’un entretien / débat avec les réalisateurs.
10 000 €
Pour les particuliers :
Voyage offert : 1 semaine en Palestine, sur les lieux du tournage :
• 1 jour : visite de la frontière Israël – Gaza avec un ancien militaire devenu cinéaste
• 2 jours : visite guidée des territoires occupés de Cisjordanie avec un militant Palestinien
• 1 jour : rencontre avec un représentant des associations du Prisonnier Palestinien
• 1 jour : rencontre avec le militant anti colonialiste Michel Warschawski et rencontre avec l’avocate des détenus politique Palestiniens Léa Tsemel
• 1 jour : Déjeuner avec la réalisatrice Israélienne Anat Even. Entretien privé sur la situation des documentaristes Israéliens. Hébergement chez l’habitant. (3 places maximum) //
Pour les entreprises :
Soirée privée pour les membres de l’entreprise, considéré comme sponsor officiel du film (logo apparaissant sur tous les supports de communication du film et sur le générique)