Environmental migrants: the last illusion

Population déplacée, réfugiés, migrants environnementaux. Ils n’ont pas vraiment d’appellation, ni même de statut selon le droit international. Ils semblent invisibles et pourtant atteindront le nombre de 200 millions en 2050. Poursuivant l’espoir d’un futur plus radieux en ville, ils se retrouvent bien souvent face à leur “ultime illusion”. Je les ai rencontré au Bengladesh et en Mongolie. Je souhaiterais désormais le faire au Kenya.

Visuel du projet Environmental migrants: the last illusion
Réussi
134
Contributions
11/03/2013
Date de fin
6 212 €
Sur 6 000 €
104 %

Soutenu par

Europe Créative soutient le projet Environmental migrants: the last illusionActuphoto soutient le projet Environmental migrants: the last illusionClik clk soutient le projet Environmental migrants: the last illusion

Environmental migrants: the last illusion

<p>  </p> <p> <strong>“Je souhaiterais leur donner une voix. J’espère que tu le souhaites également en soutenant ce projet”</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> 302 désastres naturels répertoriés seulement pour 2011.</p> <p> 12 millions d’hectares de terre fertile perdus chaque année dans le monde à cause de la désertification.</p> <p> 30 cm de rehaussement du niveau de la mer redouté pour les 100 prochaines années.</p> <p>  </p> <p> Derrière les prédictions statistiques et les prévisions se cache le désespoir des personnes contraintes d’abandonner leur propre terre rendue invivable suite aux changements climatiques. Ils se nomment déplacés environnementaux et ne trouve ni définition ni existence juridique selon le droit international.</p> <p>  </p> <p> <strong>Depuis deux ans je suis ces « fantômes », leurs déplacements et cherche à raconter leurs vies à travers la photo, la vidéo et les interviews.</strong> Je me suis rendu en Mongolie et au Bangladesh. Cette partie du travail a suscité l’intérêt des médias et a été publié entre autre,  sur le <a href="http://www.alessandrograssani.com/album/published?p=1#17" target="_blank">Sunday Times</a>, <a href="http://www.foreignpolicy.com/articles/2011/06/09/paradise_lost" target="_blank">Foreign Policy</a>, <a href="http://www.alessandrograssani.com/album/published?p=1#11" target="_blank">Sette le Corriere della Sera</a>, <a href="http://www.alessandrograssani.com/album/published?p=1#3" target="_blank">Days Japan</a>, <a href="http://www.alessandrograssani.com/album/published?p=1#5" target="_blank">Alternatives Internationales</a>, <a href="http://environmentalmigrants.wordpress.com/2012/12/10/zoom-magazine-international/550556_10152183291190702_622315177_n/" target="_blank">ZOOM Magazine</a>. Ce projet a également reçu de prestigieuses reconnaissances internationales à parmi lesquelles <a href="http://www.worldphoto.org/news-and-events/sony-world-photography-awards-2012-liris-dor-and-winners-announced" target="_blank">Sony World Photography Awards</a>, le <a href="http://www.px3.fr/winners/zoom2.php?eid=1-27984-12&amp;uid=3237554&amp;cat=Press" target="_blank">PX3 Prix de la photographie Paris</a> et les <a href="http://daysinternational.net/en/category/award/award_2012/" target="_blank">Days Japan International Awards.</a></p> <p>  </p> <p> Les financements « traditionnels » pour les photojournalistes ont quasiment disparu. J’ai besoin de ton aide pour me rendre au Kenya et finaliser le projet.</p> <p>  </p> <p> <strong>Le changement climatique est en train de devenir une</strong> <strong>menace globale : </strong>dans un futur non lointain toute la planète devra supporter le poids économique et social de ses conséquences. J’ai choisi d’en étudier, peut-être la plus complexe <strong>et devastante de toutes : la migration rurale/urbaine.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>J’ai choisi le Bangladesh, la Mongolie et le Kenya pour offrir un panorama transversal de trois différentes typologies de changement climatique.</strong> J’ai dormi dans une tente à -50° en compagnie de bergers mongols et de leurs moutons les plus faibles. J’ai été hébergé dans les maisons inondées des citoyens du Bangladesh qui ont partagé avec moi le peu de nourriture qu’ils avaient. J’ai vu des vies brisées à Ulan Bator et à Dhaka. Au Kenya, le cercle se referme, je pourrais raconter la sécheresse, la lutte quotidienne des pasteurs nomades, les affrontements fratricides pour l’eau et les pâturages, les bidonvilles de Nairobi.</p> <p>  </p> <p> <strong>Ce sont des déplacés environnementaux et avant tout des personnes. Ils sont en train de perdre leur terre, leurs traditions. Les agendas politiques internationaux n’en parlent pas. Je voudrais leur donner une voix. J’espère que tu le veux également en soutenant ce projet.</strong></p> <p>  </p> <p> Tu pourras suivre tout ce qui se passe au sujet de « <em>Environmental migrants: the last illusion » sur la page </em><a href="https://www.facebook.com/environmentalmigrants?fref=ts" target="_blank">facebook</a><em>, sur le </em><a href="http://environmentalmigrants.wordpress.com" target="_blank">blog</a><em> et sur mon </em><a href="http://www.alessandrograssani.com" target="_blank">site web.</a></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Merci du fond du cœur pour ta contribution.</p> <p>  </p> <p> Alessandro</p> <p>  </p> <p> <img alt="08" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/5147/08.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="07" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/5107/07.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>QUI SUIS-JE?</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="01_ritratto_bn" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/5140/01_ritratto_bn.jpg"></p> <p>  </p> <p> Je suis né à Pavia (Italie) en 1977. J’ai décidé de devenir photographe pour raconter des histoires et montrer a ceux qui n’ont pas l’occasion ou l’opportunité de voir et de connaître. J’aime les projets long termes et je choisis d’enquêter sur des faits de société sur lesquels se porte rarement l’attention des grands medias.</p> <p>  </p> <p> J’ai collaboré avec de grands journaux nationaux et internationaux tels que le <strong>New York Times, le Sunday Times, Le Corriere della Sera et Vanity Fair. </strong></p> <p>  </p> <p> Mes travaux ont été présentés lors d’expositions personnelles et collectives en Italie, à Londres, Madrid, Tokyo, New York, Paris et aux rencontres d’Arles. Ils ont été primés par les <strong>Sony World Photography Awards, Days Japan International Awards, PX3 International Awards, Premio Lucchetta-Miran Hrovatin, IPA International Photography Award.</strong></p> <p>  </p> <p> Je suis actuellement représenté par l’Agence LUZphoto.</p> <p>  </p> <p> <a href="http://www.luzphoto.com/">www.luzphoto.com</a></p> <p> <a href="http://www.alessandrograssani.com/">www.alessandrograssani.com</a></p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> Bien que les projecteurs de la politique internationale et des medias soient braqués ailleurs, la migration environnementale se poursuit. Dans moins de trente ans, ce phénomène deviendra une urgence planétaire. Etant photo-documentaliste j’ai choisi de pointer et de dénoncer le problème avant que les conséquences n’en deviennent irréparables.</p> <p>  </p> <p> Le Kenya représente la troisième et dernière étape de mon projet : l’apport minimum dont j’ai besoin pour pouvoir le compléter est de <strong>6 milles euros</strong>.</p> <p>  </p> <p> Je vous fais part du détail des frais qui devront être effectués :</p> <p> -      Vol Aller / retour Milan – Nairobi : 800 euros</p> <p> -      Rétribution de l’interprète indispensable pour les 40 jours de travail : 1200 euros</p> <p> -      Logement pour l’interprète durant les 20 jours de travail hors de Nairobi dans les zones les plus affectées per les changements climatiques : 600 euros</p> <p>  </p> <p> Il y a beaucoup de kilomètres à parcourir et tellement d’histoires qui mériteraient d’être racontées. Si l’apport total dépassait les 6 milles euros, je pourrais rester un peu plus longtemps pour pouvoir le réaliser.</p> <p>  </p> <p> <strong>L’apport supplémentaire de 2700 euros me permettrait de payer :</strong></p> <p>  </p> <p> -      Les frais pour un logement « bon marché » : 1200 euros</p> <p> -      La « post production » photo, la vidéo et le montage : 1500 euros</p> <p>  </p> <p> <strong>Ton aide est nécessaire, aussi minime soit elle !</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="09" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/5149/09.JPG"></p> <p>  </p> <p> <img alt="018" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/5172/018.JPG"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

  • 9 contributions
Un grand merci.

10 €

  • 39 contributions
Invitation par email à toute future inauguration à des expositions et rencontre avec le photographe durant l’une d’entres-elles pour un remerciement à titre personnel.

25 €

  • 26 contributions
Carte postale "Environmental Migrants” avec dédicace personnalisée + récompense précédente.

50 €

  • 31 contributions
Impression Fine Arts dédicacée d’une image choisie sur mon site web format 13x18 cm + ton nom inclus sur la page des remerciements.

75 €

  • 1 contribution
Calendrier “Environmental Migrants” (2013 ou 2014 au choix), photo du projet imprimée sur page unique format A3 dédicacée + ton nom inclus sur la page des remerciements.

100 €

  • 13 contributions
Impression Fine Arts dédicacée d’une image choisie sur mon site internet, format 18x24 cm + ton nom inclus sur la page des remerciements.

200 €

  • 2 contributions
Impression Fine Arts dédicacée d’une image choisie sur mon site internet, format 20x30 cm édition tirage limité à 15 exemplaires + ton nom inclus sur la page des remerciements.

450 €

  • 1 contribution
Impression Fine Arts dédicacée d’une image choisie sur mon site internet, format 35x50 cm édition tirage limité à 15 exemplaires + ton nom inclus sur la page des remerciements + carte postale avec dédicace personnalisée.

500 €

  • 1 contribution
Workshop privé de 5 jours durant la réalisation d’un reportage à Milan, en Italie ou à l’étranger. Le donateur se verra continuellement mis à jour de mes déplacements et décidera où me suivre (frais non inclus) + carte postale avec dédicace personnalisée + ton nom inclus sur la page des remerciements.

900 €

    Impression Fine Arts de collection dédicacée d’une image choisie sur mon site internet, format 100x70 cm, édition tirage limitée à 15 exemplaires + ton nom inclus sur la page des remerciements + carte postale avec dédicace personnalisée .

    1 000 €

    Le logo de ta compagnie, association ou ONG apparaitra dans toutes les expositions, évènements publics, livres et site internet, etc… comme principal sponsor du projet.

    1 250 €

      Voyager avec moi au Kenya (Septembre/Octobre 2013), durant la réalisation du troisième chapitre du projet « Environmental migrants: the last illusion” pour apprendre sur le terrain comment réaliser un reportage ou simplement partager une aventure (frais exclus, entretien préalable nécessaire, pour toute information écrire à info@alessandrograssani.com).

      3 000 €

      Le logo de ta compagnie, association ou ONG apparaitra dans toutes les expositions, évènements et rencontres publiques, livres et site internet, etc.. comme principal sponsor du projet + la location de l’exposition “Environmental Migrants: the last illusion” (36 tirages Fine Art 80x50 cm) ma présence incluse lors de l’inauguration (frais de transport de l’exposition, encadrement, billet d’avion et logement à couvrir).

      Faire un don

      Je donne ce que je veux