Qui ?

Nous sommes un collectif de plusieurs artistes (musiciens, poètes, graphiste, photographe, cinéastes, chorégraphe) regroupés sous l’identité “Bleu Tonnerre”, dont Sébastien José Dos-Santos est le gourou multifonctions.

Après avoir officié dans de nombreux groupes (dont The Firecrackers et Jose & the Wastemen) et participé à de nombreux projets musicaux (dont les labels Un dimanche et April77records), il s’est lancé un nouveau défi, s’émancipant des formats traditionnels. Son premier projet, “1916” un ciné-concert mêlant histoire familiale, littérature, et poésie, a remporté un beau succès public et critique.

(tournage du clip de "Rodéo")

“L’amour sans venin” prolonge cette volonté de mêler musique et vidéo, mais aussi danse et poésie.
Aux commandes pour la composition, la majeure partie des instruments utilisés, le script et le montage des vidéos, nous sommes heureux et fiers de l’accompagner :

“Jull” (Julien Brotel, Nuage Fou, Lomostatic, Rien ...) en charge des textes de l’album, à la voix principale sur trois titres.

Davide Orsi, assistance au mixage audio et certains instruments, aux claviers sur scène.

Daniel Gwizdek, en charge des tournages des vidéos, aux machines et claviers sur scène.

Nadj, qui a prêté sa voix sur trois titres.

Antoine Rizzo, Directeur artistique.

Daryl Rose, danseur

Liesbeth Kiebooms, danseuse

Julie Faganello (Junadea), créatrice du bijou "Pégase"

Robin Simonklein, assistant tournage
Alexandre de Meyer, en charge du logo "Pégase".
Redouane Gadami, chorégraphe & danseur, en charge de la chorégraphie du clip "Rodéo"
Stéphane Lacoste, responsable administration et levées de fonds.

Quoi ?

“L’amour sans venin” est un album de 8 titres très variés : balade minimaliste au piano, électro inquiétante ou musclée, pièces montées psychédéliques, digressions “ambient”, puzzles harmoniques flirtant avec l’avant-garde expérimentale. Nourri indirectement d'influences telles que The Doors, Léo Ferré, Gary Numan, Radiohead, Tangerine Dream, King Crimson, The Cure, Voivod…

Il y est question d’amour, de fantômes, de fougères, de rivière, d’étoiles, de tonnerre et de foudre, de mirages et d’avatars.

Les 8 vidéos qui l'accompagneront forment elles aussi un tout, relié par de multiples fils rouges et appels/rappels qui remplacent une narration classique, pour laisser place aux interprétations et à la force des images et des ambiances.

Le disque audio sortira sous la forme d’un vinyle luxueux (accompagné d’un coupon digital) : un “gatefold” (pochette ouvrante) qui inclura un livret 12 pages et une sous-pochette imprimée.
Les vidéos sortiront sur Youtube et Vimeo, en plus de certaines représentations dans des salles noires triées sur le volet.

Comment ?

Le concept du projet est né en avril 2018, au cours d’une retraite forcée en clinique de Sébastien José Dos-Santos. Equipé d’un minuscule clavier Yamaha, d‘un micro et d’une carte son, il a donné vie à la tourmente des sentiments qui l’agitaient, et posé toutes les bases de ce qui allait devenir “L’amour sans venin”. Certaines prises présentes sur l’album ont été conservées telles qu’enregistrées sur place.

Les textes ont été délégués à Jull (Julien Brotel) à partir de quelques thématiques et mots clefs fournis. Après une semaine d’écriture intensive, les textes étaient définitifs.
Après son retour à la vie normale, les enregistrements additionnels ont été réalisés en grande partie par ses soins (batterie, basses, claviers, synthétiseurs, samplers, boite à rythme, et un léger soupçon de guitares), suivi du mixage pour lequel il s’est fait assister par Davide Orsi. Lequel a apporté aussi quelques parties de clavier et de flûte traversière. Jull est au chant sur trois des titres, et Nadj a prêté sa voix additionnelle sur trois titres également.
Les tournages ont commencé à la fin de l’été 2018 et se poursuivront jusqu’à la fin de l’hiver, avec Daniel Gwizdek derrière la caméra.

Où ?

Dans une clinique et dans un local de répétition grenoblois pour les enregistrements. A Grenoble et dans le Vercors pour les tournages de clips (La Bastille, Gorges du Bruyant, vestiges de l’IGA, etc.)... Dans une volonté de sublimer notre beau terroir, et de laisser l’histoire originelle là où elle est ancrée.

Pourquoi ?

Parce que “L’amour sans venin” est une nécessité pour son auteur.
Quant au titre, il vient d’un panneau de signalisation taggé et poétiquement détourné : originellement le panneau indiquant “La Tour sans venin”, aux alentours de Grenoble.Un panneau non loin de la fameuse clinique, forcément.

Quand ?

Avril à août 2018 : composition, écriture, enregistrements de base.
Septembre/octobre : enregistrements complémentaires, mixage.
Novembre : mastering.
Décembre/janvier : pressage des vinyles
4 mars 2019 : expéditions des contreparties aux souscripteurs.
12 avril : sortie officielle de l'album en numérique et disque vinyle.

Un spectacle sera organisé au printemps dans l'agglomération grenobloise. Tous les souscripteurs et participants seront conviés gratuitement afin de tous se rencontrer et fêter ensemble la sortie officielle de l'album.
La date précise et le lieu seront communiqués ultérieurement.

Des courts métrages sont également en cours de tournage et seront publiés chaque mois entre novembre et juin 2019 :
>>> Clip#1 : 14 décembre
>>> Clip#2 : 22 décembre
>>> Clip#3: 04 janvier
>>> Clip#4 : 08 février
>>> Clip#5 : 01 mars
>>> Clip#6 : 05 avril
>>> Clip#7 : 03 mai
>>> Clip#8 : 07 juin

"L'amour sans venin" par BLEU TONNERRE