L'Effet Bahamas

<p><strong>Nous y sommes !! Enchantés et encore fébriles de voir le petit macaron rouge qui dit « collecte réussie », accolé à cette aventure de plusieurs semaines</strong>.</p> <p> </p> <p><img alt="Capture_d_e_cran_2018-07-18_a__11.17.01-1531905451" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/532535/Capture_d_e_cran_2018-07-18_a__11.17.01-1531905451.png"></p> <p> </p> <p><strong>Mais plus qu’un macaron, cette issue nous raconte une victoire collective marquée par la solidarité, vos encouragements et votre enthousiasme.</strong></p> <p>En lançant cette campagne de financement participatif, nous ne voulions plus attendre, forgés par la nécessité d’amorcer quelque chose et de partager l’actualité d’une méchante réforme. Il nous fallait alerter. Ça a été au moins l’une des deux motivations qui nous a guidées, l’autre étant bien sûr de disposer de moyens pour poursuivre notre effort de décryptage et travailler un récit dans une forme cinématographique accessible à tous.</p> <p>Tout au long de cette campagne, nous nous sommes efforcés d’éclairer succinctement quelques aspects de l’Assurance chômage : l’enjeu de sa dette, du contrôle des chômeurs, de son langage incompréhensible, du détournement de ses missions (de moins en moins de chômeurs indemnisés…) grâce à des personnes - Didier Démazière, Denis Gravouil, Mathieu Grégoire et Claire Vivès, Cécile Hautefeuille - qui ont accepté de témoigner dans des vidéos ou grâce à d’autres qui ont proposé notre pack Évasion à la banque d’investissement Natixis – Ève Bitoun, Melchior Escoffier, Arthur Frainet – (sans succès !...) ou encore grâce à Sébastien Cuisenier, notre correspondant du Sud. Et puis, nous avons trouvé un soutien et relais admirable dans les personnes de Pascal Franchet, d’Anouk Renaud, de Robin Derobel, de Marie-Claude Carrel du CADTM.</p> <p>Et puis vous ! <strong>Vous qui avez participé à financer l’<em>Effet Bahamas</em>. Franchement, vous pouvez être fiers, de vous être intéressés à ce projet de film qui documente un sujet si aride et pourtant si proche de nous.</strong></p> <p><strong>Ne l’oublions pas, l'Assurance chômage est à nous et il ne tient qu’à nous, d’en déterminer la vocation et l’usage.</strong></p> <p>Il y a des tonnes d’initiatives pour reprendre la main. Certains co-voitent, se fournissent dans des amaps, mangent vegan, accueille des migrants chez eux, construisent des ZAD et si cela marque une véritable révolution des actes et des esprits, reste à reprendre la main là où nous ne sommes plus attendus, au-delà de notre territoire immédiat.</p> <p>Aucun expert mieux que nous-mêmes ne peut dire comment nous voulons mutualiser les fruits de notre travail et en dicter la valeur.</p> <p>Vous avez été 255 personnes à contribuer, selon vos moyens.</p> <p>Vous attendez sûrement quelque chose de plus que de simples contreparties : un film. 90 minutes environ. Chaque minute pèse. Dans les films, on parle plutôt de plan. Chaque plan doit trouver sa place, comme chaque être humain devrait trouver la sienne.</p> <p>Dans les prochains mois, malgré la trouille terrible devant le boulot à abattre, nous allons poser des jalons : affiner l’écriture du film, réaliser des temps de tournage et des essais de montage, attachés que nous sommes à un processus de fabrication ouvert à l’actualité d’une époque et l’atemporalité des enjeux de mutualisation.</p> <p>Faire de ce film une arme sensible et politique, y puiser de la force, tel est ce que nous souhaitons vous offrir.</p> <p><strong>Un grand merci à toutes et à tous pour vos contributions, elles nourrissent notre flamme.</strong></p> <p>À bientôt,</p> <p>Louise et l’équipe de l’Effet Bahamas</p>

<p><strong>La collecte vient d’atteindre 80% ! Encore merci du fond du coeur pour votre confiance !</strong></p> <p> </p> <p>Toute l’équipe travaille d’arrache-pied pour réussir la collecte, néanmoins il se peut que nous n’y arrivions pas. Auquel cas, nous ne toucherions pas un seul centime. Ce serait un échec troublant et, à notre sens, injuste tant votre implication et vos retours si chaleureux nous montrent qu’une belle victoire a déjà été remportée. </p> <p> </p> <p>À cet effet, nous avons demandé à des proches de nous prêter de quoi terminer la collecte. C'est grâce à eux que nous avons pu grimper jusqu'à 80% et que nous pouvons aujourd'hui imaginer atteindre 100% avec votre aide !</p> <p> </p> <p>Nous souhaitons être transparents vis-à-vis de vous tant nous combattons dans notre projet les affubulations en cascade qui nous conduisent aujourd’hui à la perte de nos acquis historiques.</p> <p>N’entendez pas qu’il s’agisse d’un abandon de notre part, bien au contraire, votre mobilisation à toutes et tous nous donne des ailes pour faire ce film !</p> <p> </p> <p>Alors, continuez à partager et à en parler autour de vous. Il reste 3 jours, on peut encore faire des miracles !</p> <p>Nous ça nous fait faire des trucs de dingue !</p> <p> </p> <p><iframe allowfullscreen="true" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FZ9gl7j8xpPI%3Fstart%3D3%26wmode%3Dopaque%26feature%3Doembed%26start%3D3&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DZ9gl7j8xpPI&amp;image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FZ9gl7j8xpPI%2Fhqdefault.jpg&amp;key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe></p> <p> </p> <p>et puis on a écrit<a href="https://blogs.mediapart.fr/leffet-bahamas/blog/100718/l-effet-bahamas-ou-l-assurance-chomage-devenue-une-machine-cash-pour-les-marches" target="_blank"> quelques mots sur Mediapart.</a></p> <p> </p> <p>Louise</p>

<p><strong>Ça y est, c'est la dernière ligne droite. Il nous reste 8 jours pour atteindre l'objectif de 30 000€, sans quoi nous ne toucherons rien. </strong></p> <p> </p> <p>C'est beaucoup, on en a conscience et on ira jusqu'au bout ! Grâce à vous on a déjà atteint plus de 10 000€. C'est le gage d'une grande confiance dans ce projet de film. </p> <p>Beaucoup se démènent pour faire parler de L'Effet Bahamas et de la destruction en cours de notre protection sociale. C'était un des paris de cet appel à financement et il est réussi !</p> <p>Ce projet de film, est né il y a deux ans, de la rencontre et du travail avec des personnes incroyables qui s'échinent à faire de notre société un monde solidaire où chacun.e puisse vivre dignement. On pense particulièrement aux protagonistes de ce film Rose, Pascal, Samuel, Denis, Lisa, Elizabeth.</p> <p>On ne lâche rien ! Continuez d'en parler, d'en débattre, d'invectiver et de vous indigner.</p> <p> </p> <p><img alt="Contributeurs_eb-01-1531153081" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/531291/Contributeurs_EB-01-1531153081.png"></p> <p> </p> <p>À bientôt,</p> <p><strong>L'équipe de l'Effet Bahamas</strong></p> <p>PS : Dans cette dernière ligne droite, nous soulignons l'indéfectible soutien du CADTM et vous invitons à prendre connaissance de ses travaux.</p>

<p><strong>Un grand merci à toutes et tous de nous avoir accordé votre confiance. Presque 20% de la collecte est déjà atteint !</strong></p><p>Plus que jamais, on a besoin de soutien pour permettre à L'Effet Bahamas d'exister ! Parce que c'est une arme d'émancipation politique nécessaire par les temps qui courts. </p><p> </p><p><strong>On a réalisé une nouvelle vidéo pour vous parler un peu plus de nous et du combat que représente ce film :</strong></p><p><iframe src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FNk87os8V6OI%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DNk87os8V6OI&amp;image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FNk87os8V6OI%2Fhqdefault.jpg&amp;key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540" height="304" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p><strong>Continuez de nous soutenir, d'en parler autour de vous et de faire circuler ce message.</strong> Faisons encore plus de bruit pour faire entrer dans le débat public le détricotage du commun, la financiarisation de notre protection sociale et la précarisation des plus faibles. </p>