9 avril 2019
Mbudha, la source des chimpanzés - le film
Soutenez le documentaire Mbudha, la source des chimpanzés et donnez une chance à cette forêt d'être protégée !
Réussi
194
Contributions
15/07/2018
Date de fin
15 115 €
Sur 12 000 €
126 %
Mbudha, la source des chimpanzés - le film
<p>Dans ce film documentaire, nous allons vous raconter l'incroyable expédition d'Anne Laudisoit, scientifique et aventurière belge et de son équipe de scientifiques congolais partis étudier une forêt primaire oubliée et non protégée au nord-est de la République démocratique du Congo dans laquelle vit une communauté de chimpanzés jamais documentée.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/522257/DSC06102_Caroline_Thirion_Congo_2017-2-1527862026.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>POURQUOI CE FILM ?</strong></p>
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<p>- <strong>Éveiller les consciences sur la préservation des refuges de vie sauvage </strong>en général et dans une zone oubliée et non protégée au nord-est de la République démocratique du Congo</p>
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<p>- <strong>Faire découvrir cette incroyable région des Monts Bleus</strong> bordant le Lac Albert, où <strong>une population inédite de chimpanzés à poils longs</strong>, a été découverte par hasard en 2015 par la biologiste Anne Laudisoit et son équipe</p>
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<p>- Par cette sensibilisation, contribuer à essayer de <strong>faire classer par les grandes instances environnementales comme « site naturel en danger » cet incroyable écrin de vie oublié du Congo</strong> et toute la biodiversité qu’il recèle</p>
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<p>- Mobiliser ce faisant la communauté internationale sur le statut de cette zone encore injustement classée « rouge » (non pacifiée) depuis la fin du conflit ethnique en 2002, contribuant ainsi à y <strong>encourager le travail scientifique ainsi qu’à terme un développement éco-touristique profitable pour ces populations extrêmement démunies</strong></p>
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<p>- <strong>Faire connaître le travail de terrain des scientifiques (biologistes, naturalistes) </strong>et <strong>montrer comment celui-ci se nourrit aussi des connaissances des populations locales,</strong> indispensables à la réussite de telles missions d’inventaire de la biodiversité.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/518939/bandeaufaune-1527089209.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>L’ORIGINE DU PROJET</strong></p>
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<p><strong>L’aventure de ce film commence en octobre 2015. </strong>Anne Laudisoit, biologiste et exploratrice moderne effectue des recherches dans la province de l’Ituri, au Nord-Est du Congo, perchée à 2 000 mètres sur les contreforts du Rift Albertin.</p>
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<p>Alors qu’elle entame la descente d’une pente abrupte avec son guide Oti, elle s’arrête abasourdie.<strong> </strong>Le lit de la rivière Koda a creusé <strong>une vallée profonde où subsiste un fragment de forêt qui semble préservée et majestueuse, malgré les années de déforestation intense.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/520685/Area_situation-1527519709.png" width="100%" /></p>
<p><em>(Carte : Pierre Huyghe, Université d'Anvers)</em></p>
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<p><strong>A sa grande surprise, Oti lui révèle que des chimpanzés y sont encore présents.</strong> Soudain des cris retentissent dans la forêt « Hou, hou, hou haaaaaaa ! ». Ils sont bel et bien là ! Anne et Oti s’assoient en silence, le sourire aux coins des yeux, pour les écouter. Elle se promet de revenir explorer <strong>Mbudha, le refuge des chimpanzés.</strong></p>
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<p>Avec l'aide du <strong>CIFOR</strong> (<strong>Center for International Forestry Research</strong>),<strong> l'Université d'Anvers </strong>(<strong>UA</strong>)<strong> </strong>et<strong> l'Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique, Bruxelles </strong>(<strong>IRSNB</strong>)<strong> </strong>qui lui procurent les premiers pièges photographiques, Anne se sent soutenue. En <strong>2017, </strong>elle réussit enfin à monter une expédition filmée, en itinérance, avec une équipe de chercheurs congolais recrutée à<strong> l’Université de Kisangani (UNIKIS) et du Centre de Surveillance de la Biodiversité (CSB) </strong>emmenée par des guides locaux.</p>
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<p>Leur but : tracer un transect qui permettra de traverser le cœur du massif et d’inventorier la richesse environnementale de la zone. <strong>Une véritable investigation sur la trace des chimpanzés et d’autres formes de vie réfugiées dans ces contreforts encaissés !</strong></p>
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<p>Elle est également accompagnée d’amis de longue date et professionnels de l’audiovisuel. Car Anne a l’idée de <strong>faire un film de cette aventure afin de mobiliser la communauté internationale</strong> sur la protection de cette zone d’une incroyable richesse biologique et environnementale et pourtant menacée par les coupes anarchiques et leur conversion en terres agricoles. </p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/518942/bandeauscience-1527089458.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>RESUME DU FILM</strong><strong> </strong></p>
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<p><strong><em>Mbudha, sur la trace des chimpanzés</em></strong> raconte cette incroyable expédition scientifique au cœur d’une forêt très difficile d’accès du Nord-Est de la RDC, classée zone rouge depuis la guerre et dans laquelle aucun étranger n’avait pénétré depuis 1999. </p>
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<p>L’objectif :<strong> inventorier la faune et la flore, prouver la présence de cette communauté de chimpanzés jamais documentée et permettre ainsi de préserver la biodiversité </strong>insoupçonnée de ces reliques de forêts primaires cachées au cœur de l’Afrique Centrale</p>
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<p>Au cours de leur aventure, au gré d'indices glanés auprès des villageois et d’images capturées par des pièges photos, l’équipe scientifique parviendra à trouver la communauté de chimpanzés dont seuls les villageois connaissaient l’existence et fera des découvertes intrigantes. Les témoignages suggèrent en effet que<strong> localement, les chimpanzés auraient des rites funéraires et chasseraient activement de petits mammifères</strong> selon une culture locale différente d’autres groupes documentés.</p>
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<p>A leur retour, Anne expose ses observations à la primatologue du <strong>Muséum d’histoire naturelle de Paris, Sabrina Krief </strong>et à d’autres primatologues de renom dont Annette Lanjouw (<strong>Fondation ARCUS, New York</strong>), Nikki Tagg (<strong>Centre for research and Conservation, Zoo d'Anvers, Belgique</strong>) et John Mitani <strong>(Université du Michigan)</strong>.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/518945/DSC06162_Caroline_Thirion_Anne_Laudisoit_2017-1527089642.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>INTENTIONS</strong><strong> </strong></p>
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<p>En suivant Anne Laudisoit et son équipe scientifique, notre film documentaire propose aux spectateurs de <strong>découvrir un espace de biodiversité riche et rare</strong>, n’ayant pour l’instant aucun statut lui permettant d’être classé comme « forêt protégée à gestion communautaire ».</p>
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<p>Afin de s’adresser au plus grand nombre, nous souhaitons réaliser un documentaire qui certes s’appuie sur un discours scientifique rigoureux, mais qui <strong>fait également appel aux émotions</strong>, proposant aux spectateurs de <strong>partager les moments de tension et d’allégresse de l’équipe</strong> durant cette aventure dans laquelle ils placent de hauts espoirs. </p>
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<p>Les marches de reconnaissance vont se succéder au cœur de vallées aux flancs abrupts dans un environnement fragile et sauvage, les camps s’installer au fil des indices rapportés dans les interviews et groupes de discussions avec les communautés villageoises locales. Puis, la piste mènera l’équipe vers un ruisseau appelé Mbudha (« l’eau des chimpanzés » en langue Kibale) la source protégée où viennent s’abreuver un groupe de plus de 10 chimpanzés. Jusqu’à <strong>cette première rencontre inespérée, magique en « live » à la toute fin de l’expédition avec le « Boudha de Mbudha », le mâle dominant</strong>, et toute sa petite famille qui vont se laisser observer, pendant 3 heures perchés sur un arbre mort de l’autre côté de la falaise.</p>
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<p>A travers ce film, nous souhaitons révéler le quotidien d’une exploratrice scientifique moderne qui porte avec passion et dévouement son combat pour la préservation des richesses tant naturelles qu’humaines de cette région du Congo.</p>
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<p>En s’appuyant sur les connaissances <strong>des guides,</strong> <strong>des chercheurs et des villageois rencontrés</strong>, des <strong>découvertes et preuves photographiques</strong> de terrain et <strong>en partageant</strong> <strong>le quotidien et les émotions de l’équipe</strong>, notre documentaire mettra en lumière une forêt relique fragmentée du Rift Albertin et les dangers et menaces qui pèsent sur celle-ci.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/522268/bandeauequipe-1527862779.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>LES PERSONNAGES DU FILM</strong></p>
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<p><strong><em>Anne Laudisoit, exploratrice nomade et biologiste</em></strong></p>
<p>Anne est une baroudeuse, grimpeuse et biologiste non conventionnelle qui mène une vie de scientifique bohême à la recherche d’animaux porteurs de bactéries et de virus émergents. Ecologue de formation, zoologiste par passion, Anne s’est peu à peu intéressée à l’éco-épidémiologie des zoonoses, ces maladies transmises des animaux aux hommes, telles que la peste, la variole du singe, etc.</p>
<p>Préférant les sentiers aux chemins balisés, elle a développé un intérêt particulier pour les brousses reculées de la République démocratique du Congo, pays qu’elle découvre lors d’une mission en 2004.</p>
<p>En 2010, elle participe aussi à une expédition scientifique dans le Massif du Makay à Madagascar dont <strong>Gedeon programmes</strong> produira un film documentaire pour Canal +.</p>
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<p><strong><em>Oti Kpanyogo, </em></strong><strong>guide et traducteur, celui par qui tout a débuté</strong></p>
<p>Guide-traducteur Oti est aussi logisticien-boussolier-chauffeur-mécanicien-cuisinier à ses heures perdues, il sait tout faire et avec le sourire ! Sans lui, Anne n’aurait peut-être jamais eu connaissance de cette <em>Terra incognita</em> peuplée de chimpanzés.</p>
<p>Il est – avec Pasteur Jérôme - le maillon indispensable à la réussite de cette mission par sa connaissance du milieu et de ses habitants.</p>
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<p><strong><em>Pasteur Master Jérôme Dz’na, guide et chaineur du transect</em></strong></p>
<p>Pasteur représente la sagesse de l’équipe, le modérateur du groupe. Il est celui qui fait le lien avec les anciens car ses ancêtres sont les chefs des villages traversés pendant l’expédition.</p>
<p>Il a réalisé les interviews qui ont permis de récolter de nombreuses connaissances indigènes et croyances locales. Il a une force incroyable malgré ses 54 ans et accompagne toutes les marches. Il bénit les marches et les repas et prie pour que tout se déroule comme prévu. Il termine par ailleurs un Master à l’<strong>Institut Supérieur Pédagogique et Technique de Rethy (ISPT).</strong></p>
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<p><em><strong>L’équipe de scientifiques de l’Université de Kisangani et du Centre de Surveillance de la Biodiversité (CSB)</strong> </em>qu’Anne a formés et qui l’accompagnent pendant cette folle expédition, pour démarrer l’inventaire de cette zone secrète de biodiversité.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/518949/DSCN1147_Caroline_Thirion_Congo_2017-1527089857.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>L’EQUIPE DU FILM ET LA PRODUCTION</strong><strong><em> </em></strong></p>
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<p><strong><em>Caroline Thirion, réalisatrice</em></strong></p>
<p>En 2002, elle tombe amoureuse du Congo à l’occasion d’un concours photo lui permettant de se rendre dans n’importe quel pays du monde. Elle y a, depuis, réalisé de nombreux sujets, publiés dans la presse belge et européenne : <strong>Le Point, Jeune Afrique, Paris Match.be, Le Soir, La Libre Belgique, Le Vif l’Express, Knack magazine, NRC Handelsblad, Métro, la Dernière Heure, Imagine…</strong></p>
<p>Outre sa passion pour la photo, Caroline aime aussi raconter des histoires via d’autres médias. Que ce soit en vidéo (trois films documentaires à son actif), en rédaction (auteure d’articles de presse et des guides de voyage <strong>« <em>Le Petit Futé </em>»</strong> consacrés à la RD Congo) ou transmédia (co-réalisatrice du webdocumentaire « <em>En son âme et conscience »</em> primé au Festival International du Film d’Environnement de Paris)<em>.</em></p>
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<p><strong><em>Samuel Vandenberg, chef opérateur </em></strong></p>
<p>Né d’un père photographe, Samuel grandit entre les caisses de pellicules et l’odeur caractéristique du labo de développement. Dès son premier voyage en Afrique à l’âge de 12 ans, il passe son temps à grimper sur le toit de la Jeep de son oncle afin de ramener des clichés d’animaux à l’aide de son tout premier boîtier numérique.</p>
<p>Vidéaste, photographe et baroudeur dans l’âme, Samuel fait ses gammes en journalisme à Bruxelles. Puis il réalise des vidéos promotionnelles pour des agences de voyages un peu partout à travers le monde. Après avoir parcouru la Turquie caméra à l’épaule, il est mandaté par l’agence de voyage de luxe <em>Continents Insolites</em> pour promouvoir leurs formules au Costa Rica. Après le tournage du film il s’est lancé dans un périple d’un an en van du Canada au sud du Mexique.</p>
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<p><strong><em>Jean-Michel Hertsens, régisseur-grimpeur et logisticien</em></strong></p>
<p>Agronome et forestier de formation, Jean-Mi pour les intimes, partage avec Anne sa passion pour l’escalade, qu’il a d’ailleurs commuée un temps en métier (élagueur-grimpeur). Extrêmement polyvalent, débrouillard et touche-à-tout, il a déjà participé à plusieurs tournages de films aventureux en Afrique et au Congo en tant que régisseur et logisticien. Il est le support logistique et technique indispensable à la réussite du tournage et de l’expédition. En plus d’assurer lui-même les prises de vue en hauteur dans les nids de chimpanzés. Il joue aussi son propre rôle dans le film, en initiant aux techniques d’escalade l’équipe scientifique congolaise afin de placer des filets et pièges photos en hauteur, sous les yeux ébahis des porteurs et villageois. Il gère aujourd’hui en parallèle un parc safari animalier de 140 has en périphérie de Kinshasa et éveille les enfants des villes à l’environnement et la protection des animaux.</p>
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<p><em><strong>GEDEON Programmes</strong></em></p>
<p>GEDEON Programmes a acquis sa notoriété avec les grands documentaires sur les missions en Arctique et en Antarctique de Jean-Louis Etienne, et les missions archéologiques et paléontologiques comme le phare d’Alexandrie, Zeugma ou Toumaï…Films grâce auxquels le grand public a découvert des chercheurs et des explorateurs passionnés encore inconnus, comme l’archéologue Jean-Yves Empereur ou le paléontologue Michel Brunet.</p>
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<p>Fidèle à sa vocation première de passeur des connaissances scientifiques, historiques culturelles, artistiques, GEDEON Programmes a toujours produit des documentaires de création dont la production s’étale parfois sur plusieurs années.</p>
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<p>La genèse en est souvent une découverte, une énigme, une commémoration, une exposition, une opération spéciale… qui permettent d’ancrer dans l’actualité, des sujets au contenu parfois dense, et de faciliter leur mise en lumière.</p>
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<p>Ces évènements déclencheurs sont l’occasion de vulgariser le sujet, au meilleur sens du terme, grâce aux films.</p>
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<p><strong>L’une des vocations de GEDEON Programmes est de continuer à accompagner les chercheurs et les découvreurs de tous horizons pour faire connaître leurs travaux et faire vibrer le public avec eux.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/522266/DSC06721_Caroline_Thirion_Congo_2017-1527862507.jpg" width="100%" /></p>
À quoi servira la collecte
<p><strong>Le tournage du film a été auto-financé par le membres du projet et avec l'aide logistique des différentes institutions publiques mentionnées plus haut</strong>. Caroline et Samuel ont utilisé leur propre matériel de tournage. GEDEON programmes a financé les billets d’avion de l’équipe de tournage et mis à disposition une partie du matériel de tournage. </p>
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<p><strong>Ce projet représente un important investissement </strong>pour Anne à côté de ses recherches et également pour Caroline qui le mène à côté des reportages qu'elle réalise. </p>
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<p><strong>Nous avons décidé de faire appel à vous car ce film nous tient vraiment à coeur </strong>mais malgré nos efforts, et un intérêt de la part des chaines de télévisions à qui nous l'avons présenté, nous n'avons pas réussi à le financer avec les circuits classiques de diffusion. </p>
<p> </p>
<p><strong>Grâce à vos contributions nous pourrions financer le montage, </strong> <strong>l'étalonnage, le mixage, et le master du film </strong>afin qu’il puisse être diffusé à la télévision et à l’occasion de grands festivals de films documentaires natures et scientifiques.</p>
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<p><strong>La collecte permettra de financer : </strong></p>
<p>- 3 semaines de montage ( salle + salaires + charges) : 7 000 €</p>
<p>- l'enregistrement du commentaire et le mixage du film ( auditorium, salaires et charges) : 3 000 €</p>
<p>- l'étalonnage ( station d'étalonnage + salaire + charges) : 1 700 €</p>
<p>- le master HD : 300 €</p>
<p><strong>SOUS TOTAL : 12 000 €</strong></p>
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<p><strong>Si nous dépassons notre objectif nous pourrions financer : </strong></p>
<p>- 2 semaines de montage supplémentaire : 4 000 €</p>
<p>- le graphisme (générique et cartes) : 1 200 €</p>
<p>- la traduction en anglais et la fabrication de sous-titres pour une diffusion à l’international : 1 500 €</p>
<p>- la musique originale du film : 3 000 €</p>
<p>- les copies HD du film : 300 €</p>
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<p><strong>TOTAL : 22 000 €</strong></p>
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<p><strong>La société de production GEDEON Programmes collectera les fonds qui seront entièrement reversés à la fabrication du film.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/522270/calendrierVF-1527862918.png" width="100%" /></p>
<p> </p>
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