"Protest" : une fiction musicale / a musical fiction

<p> <img alt="Header1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/622/Header1.jpg"></p> <p>  </p> <p> Il aura fallu peu de temps à <strong>Chapelier Fou, alias Louis Warynski</strong>, pour imposer son <strong>mélange d’électro et d’instrumentations plus classiques</strong>, créant ainsi l’un des hybrides les plus curieux et les plus fascinant de ces dernières années. Révélation du Printemps de Bourges 2008, cet artiste lorrain inclassable aux mélodies raffinées et accrocheuses <strong>entre hip-hop, électro et avant-garde</strong>, s’est rapidement imposé sur la scène française et internationale avec ses trois EP et son premier album "613".</p> <p>  </p> <p> <img alt="Avatarkkbb2" height="325" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/493/AvatarKKBB2.jpg" width="539"></p> <p> <em>(photo : Alexandre Tourret)</em></p> <p>  </p> <p> Louis Warynski a fait l’apprentissage du violon classique au conservatoire dès l’âge de six ans, puis du clavecin. Mais très vite, il a été happé par la musique électronique de Kraftwerk à To Rococo Rot et a préféré s’exercer avec des formations musicales moins conformistes pour enrichir sa palette musicale. Il explore les possibilités infinies offertes par l’informatique tout en laissant libre cours à sa spontanéité, notamment par l’utilisation du violon et de la guitare mais aussi de synthétiseurs vintage.</p> <p> Il y a dans le travail de Louis Warynski un curieux croisement de Pierre Henry et de Matthew Herbert, une synthèse inattendue de Kraftwerk et Michael Nyman. Impossible de ne pas succomber au charme de ce musicien atypique qui se revendique de Steve Reich et de Moondog, et dont<strong> les compositions au minimalisme élégant font jaillir des émotions troublantes</strong>.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Sur scène, l’homme-orchestre étonne, déconcerte même avec son violon et ses machines envahissantes, mais il finit toujours par conquérir<strong> un public de plus en plus nombreux</strong>, en France comme aux quatres coins de l'Europe, de l'Australie et la Nouvelle-Zélande au Canada, de la Chine au Mexique comme en Turquie... Chapelier Fou présente désormais un live où la création lumière et vidéo accentue l’intensité de ses oeuvres, créant <strong>un univers onirique formidablement représentatif de la singularité de l’artiste</strong>, régalant l’auditoire de son délicat univers.</p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="http://player.vimeo.com/video/50552607?title=1&amp;byline=1&amp;portrait=1" width="500"></iframe></p> <p> <em>(réalisation : What Comes Around Goes Around)</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Header2" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/623/Header2.jpg"></p> <p>  </p> <p> Avec son dernier album <strong>« Invisible » </strong>(avril 2012 / Ici d’ailleurs) aux 9 pochettes doublées de leur miroir, Chapelier Fou découvre autant de nouvelles pièces...</p> <p>  </p> <p> <img alt="Invisible_all_high" height="538" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/525/Invisible_all_high.gif" width="538"></p> <p> <em>(artwork : Grégory Wagenheim)</em></p> <p>  </p> <p> ... et <strong>la presse est unanime</strong> :</p> <p>  </p> <p> <em>"Il faut absolument (re)découvrir Chapelier Fou, ce lorrain féérique et inventif" (Les Inrockuptibles)</em></p> <p> <em>"Le style Chapelier Fou, aussi non-conventionnel et audacieux soit-il, compte parmi ce qui se fait de plus précieux dans l'hexagone" (Longueur d'Ondes)</em></p> <p> <em>"Alchimiste du sentiment sonore" (Trax)</em></p> <p> <em>"Un deuxième superbe album aux pointes de mélancolie accentuées" (Elegy)</em></p> <p> <em>"Un album très lumineux, hors mode, hors frontière" (Abus Dangereux)</em></p> <p> <em>"On peut faire des boucles sans tourner en rond. C'est ce que prouve Chapelier Fou" (Tsugi)</em></p> <p> <em>"Louis Warynski affiche une confiance et une assurance qui font plaisir à entendre" (Magic)</em></p> <p> <em>"Invisible, mélange surprenant d'electro et de classique" (Direct Matin)</em></p> <p> <em>"Un univers électronique onirique et enivrant" (La Croix)</em></p> <p> <em>"Toujours aussi singulier, son art sur 'Invisible' atteint des sommets" (L'Etudiant)</em></p> <p> <em>"Brillant et original" (Modzik)</em></p> <p>  </p> <p> Derrières ses mélodies raffinées et accrocheuses se cache toujours <strong>une étonnante complexité et un travail d’écriture rare </strong>que peu d’artistes peuvent aujourd’hui se targuer d’accomplir. La prise de risque est bel et bien présente, et pas une fois Chapelier Fou ne se repose sur ses acquis. Le résultat en est parfois presque déconcertant... En effet, avec "Invisible", <strong>on sent Louis Warynski émancipé de toutes contraintes créatives</strong>, les barrières n’existent plus, seulement l’envie d’aller de l’avant, d’évoluer, de se transformer encore et encore et ce sans la moindre prétention.</p> <p> <strong>La musique de Chapelier Fou n’en devient que plus personnelle...</strong></p> <p>  </p> <p> Si deux interventions vocales (Matt Elliott sur « Moth, Flame », Gérald Kurdian alias "This is the Hello Monster" sur « Vessel Arches ») enrichissent ce disque, ce sont toujours <strong>les magnifiques pièces instrumentales qui découvrent l'art de Chapelier Fou </strong>: établir une véritable atmosphère, dévoiler une ambiance particulière, identifiable et surtout intemporelle...</p> <p>  </p> <p> <strong>« Shunde's Bronx »</strong> est ses samples enregistrés en Chine,<strong> « Fritz Lang » </strong>et ses pizzicati sautillants ou <strong>« Cyclope &amp; Othello » </strong>en voyage pyschédélique de 9 minutes...</p> <p> <strong>"L'eau qui dort" </strong>et sa sublime ligne de violon ont déjà été mis en image par le collectif Theremin de Brighton, pour <strong>un premier clip sorti au printemps dernier</strong> :</p> <p>  </p> <p>  <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" src="http://player.vimeo.com/video/39576657?title=1&amp;byline=1&amp;portrait=1" width="500"></iframe></p> <p> <em>(réalisation : Theremin Collective)</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Header3" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/624/Header3.jpg"></p> <p>  </p> <p> Aujourd'hui, c'est le titre <strong>« </strong><strong>Protest</strong> <strong>» </strong>que nous souhaitons mettre en avant, par <strong>un ambitieux projet de fiction musicale.</strong> Voici ce morceau :</p> <p>  </p> <p> <iframe frameborder="no" height="166" src="http://w.soundcloud.com/player/?url=http%3A%2F%2Fapi.soundcloud.com%2Ftracks%2F62755416&amp;show_artwork=true&amp;maxwidth=900" width="500"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Le projet de Guillaume Maidatchevsky et Elie Duponchel proposé pour </strong><strong>« </strong><strong>Protest</strong> <strong>» </strong><strong> est "une fiction musicale". En effet, ce que vous verrez à l'écran sera beaucoup plus proche d'un court métrage de fiction que d'un clip.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Voici une illustration donnant un aperçu de l'esprit visuel :</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Kkbbillust1" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/526/KKBBillust1.jpg"></p> <p> <em>(illustration : Floriane Grivillers </em><em>/// aperçu visuel de la future fiction avec comédiens en décors réels)</em></p> <p>  </p> <p> <strong>Le synopsis de Protest</strong> :</p> <p>  </p> <p> <em>"Ancien résistant, Ben est au crépuscule de sa vie. Alors qu’il se recueille devant la tombe d’Ania, il se retrouve projeté 60 ans en arrière dans la forêt où il a mené bataille au côté de cette femme. Réalité ou imagination ? Toujours est-il que Ben va revivre un moment dont le dénouement a dicté le reste de sa vie. Comment va-t-il réagir ? Choisir de ne rien faire ou changer le cours de l’histoire, son histoire ?"</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Header4" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/625/Header4.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="Protest_illu2_def" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/495/Protest_Illu2_Def.jpg"></p> <p> <em>(illustration : Floriane Grivillers /// aperçu visuel de la future fiction avec comédiens en décors réels)</em></p> <p>  </p> <p> <em><strong>"Pour ne rien vous cacher, tant dans l'aspect visuel et que pour le scénario, ce projet est réellement ambitieux et va nécessiter des moyens importants. Mais il est enthousiasmant à tous points de vue, et je me sens totalement en confiance avec les gens qui le portent.</strong></em></p> <p> <em><strong>Peu d'artistes indépendants peuvent se permettre de réunir aujourd'hui les fonds pour un tel projet, et c'est pourquoi votre soutien est indispensable pour que nous puissions permettre son aboutissement !</strong></em>"</p> <p>  </p> <p> Guillaume et Élie travaillent comme réalisateurs ou scénaristes pour des documentaires, des émissions TV, des long-métrages ainsi que de nombreux clips. Leur binôme forme une équipe très polyvalente qui j'en suis persuadé, mènera notre projet à bon port.</p> <p> Ils ont pu réunir autour d'eux une équipe de professionnels expérimentés désirant relever de nouveaux défis comme le chef opérateur Jacques Ballard ou l'équipe des effets spéciaux numériques ayant bossé sur les clips de WoodKid, Drake, Lana Del Rey ou Joey Starr.</p> <p>  </p> <p> Ce projet constitue pour ces deux réalisateurs un prolongement naturel d’une série de collaborations menées dans l’univers de la danse et de la musique, avec le court métrage<strong> « Origin » </strong>puis leur participation au documentaire <strong>« Les Adieux » </strong>mettant en scène les danseurs étoiles Clairemarie Osta et Nicolas Le Riche. « Protest » sera leur sixième réalisation commune. Leur prochain projet <strong>« My First Film »</strong> (Capisco Productions) a reçu le soutien officiel de l’ONU pour sa contribution au développement de la créativité et à l’éducation par l’image.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>INFO DU 24/10 : Serge Merlin a confirmé son intérêt pour "Protest" !</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Sergemerlin" height="382" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/1427/SergeMerlin.jpg" width="356"></p> <p> Serge MERLIN 78 ans, « fauve du théâtre français »</p> <p>  </p> <p> Il a connu Camus et Casarès. Il a joué le roi Lear et les grands textes de Thomas Bernhard. Ilreprend en ce moment «Fin de partie» de Beckett, à Paris. Acteur possédé par la violence du verbe, il débute au cinéma avec Andrzej Wajda en 1961, joue pour Alejandro Jodorowsky, puis Matthias Langhoff et Patrice Chéreau lui donnent de grands rôles. Le grand public le découvre dans deux films de Jean-Pierre Jeunet : « La Cité des Enfants Perdus » en 1993 puis « Amélie Poulain » en 2001.</p> <p>  </p> <p> Serge Merlin jouera le rôle du personnage principal au début de la fiction.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Sergemerlinamelie" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/1428/SergeMerlinAmelie.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>INFO DU 9/11 : Josua Hoffalt et Laura Zauner rejoignent le casting de "Protest" !</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Josua_hoffalt" height="332" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/2471/Josua_Hoffalt.jpg" width="247"></p> <p>  </p> <p> JOSUA HOFFALT</p> <p> 28 ans, danseur étoile de l'Opéra de Paris</p> <p>  </p> <p> Originaire de PACA, Josua Hoffalt débute la danse à l'âge de huit ans. Il prend des cours privés avec Colette Armand, alors directrice du Ballet National de Marseille, avant d'intégrer en 1998 l'école de danse de l'Opéra de Paris à Nanterre. Il décroche deux médailles au Concours International de ballet de Varna.</p> <p>  </p> <p> Il est engagé dans le Ballet de l'Opéra national de Paris en 2002 où il danse aux côtés d'Aurélie Dupont. Il est nommé Danseur Etoile le 7 mars 2012.</p> <p>  </p> <p> Josua Hoffalt jouera le rôle principal à la fin de la fiction.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Laurazauner" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/2472/LauraZauner.jpg"></p> <p>  </p> <p> LAURA ZAUNER</p> <p> 27 ans, jeune actrice espagnole</p> <p>  </p> <p> Née à Barcelone, Laura (prononcez Laora) suit des cours de théâtre, danse et musique depuis son plus jeune âge. Diplômée de l'Université de Barcelone en Communication Audiovisuelle (cinéma, télévision, radio), elle travaille dans la production avant de s'installer à Paris en 2008 pour intégrer l'Ecole Internationale de Théâtre Jacques Lecoq. Diplômée en 2010, elle co-fond la compagnie 38 CIT. Elle travaille depuis dans différents projets de théâtre ainsi que pour le cinéma, dans des clips et courts métrages, et la télévision française et espagnole. Elle a notamment été remarquée dans le projet Fulgurances au Musée du Louvre en 2010.</p> <p>  </p> <p> Laura Zauner jouera le rôle principal féminin de la fiction.</p> <p>  </p>