30 avril 2020
Soutenez Envie de lire, la plus ancienne librairie coopérative de l'hexagone !
Vos libraires ont et auront besoin de vous pendant et après le confinement !
Réussi
Librairie coopérative Envie de lireIvry-sur-Seine
526
Contributions
06/06/2020
Date de fin
30 208 €
Sur 4 500 €
671 %
Nos engagements
Stronger Together
Ce projet participe à la lutte contre le Covid-19 ou a été impacté par celui-ci. Let's be stronger together ! KissKissBankBank soutient ces campagnes en réduisant sa commission 💜.
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<h4><strong>Pas d'appel aux dons, mais un appel à souscription !</strong></h4>
<p>Pour maintenir le cap dans la tempête qui s'annonce, nous faisons appel à la solidarité, au soutien, à l'amitié et à l'affection que vous témoignez à votre librairie coopérative et à son projet. Ce qui est en jeu en ce moment, c'est bel et bien la <strong>pérennité</strong> même de la librairie.</p>
<p>Nous restons des passeurs, <strong>notre cœur de métier c'est le livre, voilà pourquoi nous vous proposons des ouvrages du catalogue Otium en contreparties</strong> ! Rien ne vous interdit cependant de faire un don via la dernière option "je donne ce que je veux". </p>
<p>Cette souscription vous permet de pré-commander la dernière parution des éditions OTIUM : <strong>la bande-dessinée "Mille vies de plus" de Pepe Galvez et Alfonso Lopez </strong>et d'y ajouter, si vous le souhaitez, un autre titre du catalogue de la maison d'édition (voir contreparties présentées ci-contre et descriptif détaillé des livres ci-dessous). </p>
<p><strong>Pourquoi les éditions OTIUM ?</strong><br />
La maison d'édition est <strong>l'expression éditoriale de l'aventure Envie de lire</strong>, de par son lien avec la librairie. D'un point de vue financier, les bénéfices pour la librairie sont maximisés, aucune autre maison d’édition ne nous accorderait une remise aussi importante. </p>
<p><strong>Acheter des livres du catalogue OTIUM, c'est soutenir PLEINEMENT la librairie ! </strong></p>
<p><strong>Par cette démarche, nous cherchons à couvrir les frais fixes de deux mois de fermeture (de mi-mars à mi-mai), puis à constituer une trésorerie qui nous permettrait d'affronter la reprise dans de meilleures conditions à la mi-mai, si tout se passe comme prévu. </strong></p>
<p>Grâce à vous tou.te.s, nous avons atteint notre <strong>troisième palier</strong> de <strong>15 000 euros </strong>qui vont nous permettre en partie, comme on vous l'avait dit, d'envisager l’avenir de la librairie plus sereinement.Nous sommes profondément touchés par votre solidarité et vous remercions toutes et tous du fond du coeur pour votre réactivité.</p>
<p><strong>Cependant, malgré toute la joie et l’énergie que nous procurent votre soutien et vos messages d’amitiés pour la librairie et son équipe, il importe que vous preniez la mesure de la gravité de la situation</strong>. C’est pourquoi vous trouverez dans la rubrique "Actualités" quelques quelques éléments chiffrés propres à vous éclairer sur ce à quoi nous serons confrontés dans les 8 prochains mois. </p>
<p><strong>La bonne diffusion de cet appel à soutien nous assurerait une visibilité plus claire sur l'avenir.</strong> L'opération ne peut pas compter uniquement sur nos propres outils de diffusions, il nous faut des personnes-relais pour faire que cette information navigue entre Ivry, Marseille, Metz, Brest et Lille !</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/659997/lib_kiss_kiss2-1587300935.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>Pourquoi un tel appel? </strong></p>
<p>Cela fait maintenant plus d'un mois que les commerces qui ne sont pas de première nécessité sont fermés. La librairie Envie de lire a donc baissé son rideau, comme toutes les librairies de France.</p>
<p>Une fois passée la stupeur, l'idée de la vente par correspondance et de distribution-livraison des commandes, nous a effleurés. Elle fut vite écartée lorsque nous avons pris conscience des risques que pouvaient encourir toutes les personnes dont les métiers sont des maillons importants de la chaîne du livre, notamment les préparateurs de commandes et les chauffeurs-livreurs, en première ligne. De plus, une telle reprise d’activité ne nous permettrait pas de bénéficier des mesures de chômage partiel accordées aux trois salariés-coopérateurs que nous sommes.</p>
<p>La stupeur a ensuite fait place à l'urgence et à l'organisation : appeler les fournisseurs afin de repousser les échéances des factures dues. Le mois de mars est pour la librairie une période charnière, puisque c'est à ce moment-là que les achats du mois de décembre sont réglés. Pour mémoire, le mois de décembre représente l'engagement des dépenses les plus importantes pour Envie de lire. En raison des fêtes de fin d'années, mais également de notre participation au Salon de la presse et de la littérature jeunesse de Montreuil, avec lequel nous entretenons un compagnonnage depuis plus d'une quinzaine d'années.</p>
<p>Notre trésorerie, nerf de la guerre en librairie, ne permet pas de couvrir dans les conditions actuelles les engagements réalisés.<strong> La perte de notre chiffre d’affaires sur la période du confinement, et donc de la fermeture de la librairie,</strong> <strong>représente 15% du chiffre d’affaires de l’année.</strong><br />
L’équilibre de la librairie repose sur trois axes :<br />
- la vente directe à la librairie,<br />
- la participation à de très nombreuses manifestations hors les murs,<br />
- les commandes destinées aux collectivités.<br />
Au vu du contexte de pandémie et de ses répercussions sur l’ensemble de la société, cet équilibre est remis en question d’ici la fin de l’année 2020. <strong>Nous anticipons ainsi une nouvelle perte, cette fois-ci de 25% du chiffre d'affaires global annuel.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/659999/lib_kiss_kiss_4-1587302678.jpg" width="100%" /></p>
<p>Vous pourrez souscrire via cette cagnotte jusqu'à <strong>la fin du mois de juin,</strong> date à laquelle doit sortir des presses la nouvelle bande-dessinée des éditions OTIUM, "Mille vies de plus". </p>
<p>Les livres pré-commandés seront <strong>à retirer en librairie</strong> (nous vous préciserons une date de remise), mais nous pourrons également vous les <strong>expédier par voie postale</strong> (frais de port à rajouter). </p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/660000/lib_kiss_kiss_6-1587302780.jpg" width="100%" /></p>
<p>Un grand merci à tou.tes, on a hâte de vous retrouver en VRAI ! </p>
<p>Fraternellement,</p>
<p><strong>L'équipe de la librairie SCOP Envie de lire</strong></p>
<p><strong>Samiha, Hugues, Lola coopératrices et coopérateur salarié.e.s</strong></p>
<p><strong>Raùl, Philippe coopérateurs anciennement salariés</strong></p>
À quoi servira la collecte
<p><strong>Avec 4500 euros, nous pourrions couvrir les frais fixes pour un mois de confinement. </strong></p>
<p><strong>Avec 9000 euros, nous pourrions couvrir les frais fixes pour les deux mois de confinement (notre librairie est fermée depuis le 14 mars). </strong></p>
<p><strong>En atteignant 15 000 et plus, nous pourrions redémarrer l’activité dans de meilleures conditions à la sortie du confinement.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/659543/lib_kiss_kiss-1587053354.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>Deux mots sur les ouvrages du catalogue OTIUM proposés en contreparties: </strong></p>
<p><br />
<strong>“Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez.</strong></p>
<p>Miguel Nuñez fut comme des milliers d’autres un résistant au franquisme, comme des milliers d’autres il paya de longues années de détention son engagement. 15 ans en plusieurs séquences, dans son cas. La torture et près d’un demi-siècle de clandestinité. Mais il a su, comme peu de survivants, témoigner et raconter cette vie. Le scénariste Pepe Galvez -lui aussi rescapé des geôles franquistes - et le dessinateur Alfonso Lopez (le superbe «Terrain vague» chez Hachette Comics et «Une vie de saint» chez Fluide glacial pour les francophones) ont initialement conçu cette œuvre comme un présent à leur ami Miguel Nuñez alors qu’il vivait ses derniers jours. L’enthousiasme qu’il manifesta, les a conduit à en publier une version alternant texte et 60 planches aux éditions du Ponent (les éditeursdu fameux «L’art de voler» de Kim et Antonio Altarriba). Contre toute attente, cette version obtiendra le prix national de la culture en Catalogne en 2011. La version que nous publions comprend les 60 planches de l’édition originale et 38 planches inédites. Elle en conserve les qualités tout en les décuplant. Elle s’offre au public francophone dans un format qui rend justice au talent d’Alfonso Lopez. Avec un appareil critique modeste mais propre, croyons-nous, à en faciliter l’accès à un public peu rompu à l’histoire du combat antifasciste dans l’Espagne du XXème siècle. Découvrir le chemin de vie de Miguel Nuñez c’est mieux apprécier que ce combat ne fut pas portée par des héros descendus d’une quelconque Olympe, mais par des humains, en proie à la peur comme au doute tantôt sublimes d’abnégation, tantôt pathétiques de désespérance. Mais par des humains le plus souvent, pareils à Miguel Nuñez, épris de leurs semblables, riant d’eux mêmes mais pas de tout, et surtout conscients que, comme l’écrivait Miguel Nuñez « ...l’humanité, à défaut de transformer radicalement le système qui la gouverne, court inéluctablement vers son autodestruction. » Voilà une histoire en images, une bédé donc plus que jamais utile à vivre et à rêver.</p>
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<p><strong>“La Commune des Lumières : Portugal, 1918" de Jean Lemaître : </strong></p>
<p>Une utopie libertaire” de Jean Lemaître :Le Portugal, toujours. Cette fois-ci, Jean Lemaître nous mène « au delà du Tage » dans le sud du pays. La grande guerre gronde, le pays est dans la misère, les paysans sont des semi-esclaves. C'est pourtant dans cette région que sera fondée la Commune des lumières. Alors qu'il n'existe que de rares archives, l'auteur se rend sur les traces de l'utopie, oscillant comme toujours entre le journalisme, la rigueur d'une recherche historique et la plume d'un romancier.</p>
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<p><strong>"Grândola Vila Morena” de Jean Lemaître et Mercedes Guerreiro: </strong></p>
<p>00h20, jeudi 25 avril 1974 à Lisbonne. La chanson "Grândola vila morena" est diffusée sur les ondes, malgré la censure et les dangers d'une telle initiative. Signal de départ de l'insurrection militaire qui renversera la dictature fasciste de Marcelo Caetano.</p>
<p> </p>
<p><strong>“El Djazaïr” d'Omar, Luis Garcia, F.H. Cava, Adolfo Usero : </strong></p>
<p>L'histoire de la colonisation de l'Algérie, de la barbarie vécue par le peuple algérien et de la lutte pour se défaire du joug de la France.</p>
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<p><strong>“Palestine” de Rogerio Ferrarri : </strong></p>
<p>Photographies de Palestiniens réalisées en 2002 et en 2008 en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et dans les camps de réfugiés en Jordanie et au Liban. Premier titre d'une collection dédiée aux peuples en lutte pour leurs terres.</p>
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<p><strong>“Sahraouis” de Rogerio Ferrarri : </strong></p>
<p>Des portraits et des scènes de vie de Sahraouis et des paysages du Sahara occidental photographiés en 2008, témoignent de la vie quotidienne dans cette région et de la lutte pour l'indépendance et la reconnaissance de la République Sahraouie.</p>
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<p><strong>“Paul Robeson” de Gerald Horne.</strong></p>
<p>Paul Robeson, homme aux multiples facettes, fut une star du cinéma américain, un sportif, un chanteur polyglotte, un comédien... Complétement oublié des livres d'histoire, il reste dans la mémoire collective comme l'interprète d'Ol' man river. Engagé aux États-Unis contre le ségrégationnisme puis en Europe, dès les premières heures, contre le fascisme. Il multipliera les engagements à travers le monde, de l'URSS à l'Espagne, et se positionnera particulièrement en soutien aux luttes anticoloniales sur le continent Africain. Inventant de nouveaux outils de lutte, il ouvrira la voie au mouvement des droits civiques des années 1960 sur le sol américain.</p>
<p><strong>"Peintures de guerre" d'Angel de la Calle :</strong></p>
<p>Jean Seberg, le 11 septembre 73 à Santiago, Debord et les Tupamaros, qui d’autre qu’Angel de la Calle, l’auteur d’un « Tina Modotti » célébré sous toutes les latitudes pouvait nous conter ce qu’ils eurent de commun ou auraient pu avoir... A la façon du Cortazar, de "Rayuela" ("Marelle"), il nous offre un roman graphique déconcertant, sa "mémoire des vaincus" de la "Guerre froide" culturelle que l'Empire étasunien mena aux avant-gardes sud-américaines dans les "seventies".</p>
<p><strong>“Même si c’est la nuit” de Kamel Khélif.</strong></p>
<p>Kamel Khélif est né à Alger en 1959. En décembre 1964, sa famille s’installe à Marseille. Marseille est sa ville. Il y vit et y travaille, et, s’il l’a parfois quittée, elle l’accompagne où qu’il soit. C’est dans la confidentialité d’Oviri, petite revue marseillaise, qu’apparaissent, en 1991, ses premières publications. Depuis, il dessine et partage-comme il aime à le dire- sa vie entre ombre et lumière. Cela fait désormais bientôt trois décennies qu’il multiplie les expériences graphiques. Kamel Khélif est un homme de rencontres et de fidélités tenaces. Des rencontres, celles qui l’on conduit à produire avec un photographe tel que Jim Goldberg, avec une comédienne telle que Mia Kirshner ou avec des dessinateurs tels que Jana Traboulsi et Edmond Baudoin. Et bien d’autres – qu’ils nous pardonnent de ne pas tous les citer ici. Des fidélités, aux siens, aux parfums de son enfance, à l’humanité des sans-grades et sans-dents d’ici et d’ailleurs. Si nous avons eu tant à cœur d’éditer "Même si c’est la nuit", c’est que nous étions – cela va mieux en le disant – mu d’abord par une vanité, la vanité étant d’assumer la responsabilité qu’engage l’édition d’une œuvre de Kamel Khélif. Ensuite par un vœu corollaire à pareille vanité : celui, faisant d’un mal un bien, de pouvoir contribuer à élargir le cercle de ceux que son art nourrit. La place croissante de ses œuvres dans des collections publiques et privées atteste que l’art de Kamel Khélif va son chemin.</p>
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<p><strong>“Ulysses” de Leïla Bousnina.</strong></p>
<p>« Ulysses » de Leïla Bousnina est un livre de photographie mais surtout le livre d’une photographe. Un travail au long cours, près d’un quart de siècle que Leïla Bousnina arpente hôtels meublés et foyers, restitue le quotidien et les visages de ces migrants retraités qui les peuplent, et recueille leurs paroles. L’histoire de France pour périple, leur force de travail pour seul viatique, ces « Ulysses » avec lesquels Leïla Bousnina nous convie à un dialogue sont nos pairs et davantage encore ceux des migrants d’aujourd’hui qui ne cessent de quitter les mêmes Ithaques meurtris par l’impérialisme, désormais au péril de leurs vies.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/660003/otium-1587303668.png" width="100%" /></p>
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Contreparties
Contrepartie star
la nouvelle BD des éditions Otium + “La Commune des Lumières"
33 €
- 127 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez et “La Commune des Lumières : Portugal, 1918 : une utopie libertaire” de Jean Lemaître. + frais de port si nécessaire !
Livraison estimée : juillet 2020
La nouvelle bande-dessinée des éditions OTIUM !
15 €
- 119 contributions
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La nouvelle BD des éditions OTIUM + “Grândola Vila Morena” (OTIUM)
30 €
- 71 contributions
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La nouvelle BD des éditions OTIUM +“El Djazaïr” d'Omar, Luis Garcia, Cava, Usero
30 €
- 35 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez + “El Djazaïr” d'Omar, Luis Garcia, Cava, Usero + frais de port si nécessaire !
Livraison estimée : juillet 2020
la nouvelle BD des éditions Otium + "Palestine"(livre photo)
33 €
- 36 contributions
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Livraison estimée : juillet 2020
la nouvelle BD des éditions Otium + “Sahraouis”(livre photo)
35 €
- 9 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez et “Sahraouis” de Rogerio Ferrarri. + frais de port si nécessaire !
Livraison estimée : juillet 2020
La nouvelle BD des éditions Otium + "Paul Robeson" de Gerald Horne
40 €
- 67 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez et “Paul Robeson” de Gerald Horne. + frais de port si nécessaire !
Livraison estimée : juillet 2020
La nouvelle BD des éditions OTIUM + "Peintures de guerre" d'Angel de la Calle
42 €
- 24 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez et “Peintures de guerre” d'Angel de la Calle. + frais de port si nécessaire !
Livraison estimée : juillet 2020
La nouvelle BD des éditions OTIUM + “Même si c’est la nuit” de Kamel Khélif
51 €
- 27 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez et “Même si c’est la nuit” de Kamel Khélif. Si envoi, prévoir frais de port !
Livraison estimée : juillet 2020
La nouvelle BD des éditions OTIUM + “Ulysses” de Leïla Bousnina
64 €
- 23 contributions
un grand merci de vos libraires coopérateurs-salariés, la nouvelle bande-dessinée des éditions Otium “Mille vies de plus” de Pepe Galvez et Alfonso Lopez, d’après la vie de Miguel Núñez et “Ulysses” de Leïla Bousnina. + frais de port si nécessaire !
Livraison estimée : juillet 2020