Swissway to heaven
<p><strong>Projet : A travers 26 minutes d’images, le film mettra en valeur un pays et des sites naturels hors du commun. Le public découvrira l’histoire, les valeurs et l'évolution de l'escalade en grande voie en Suisse.</strong></p>
<p>Au fil du temps, grâce aux avancées technologiques, les méthodes d’équipement évoluent à grand pas. L’escalade libre prend vie et une course aux lignes les plus belles, impressionnantes et difficiles commence.</p>
<p>En 2019, Cédric Lachat et ses compagnons de cordée envisagent de gravir et de filmer les ascensions les plus difficiles de Suisse.</p>
<p>Grâce à des images historiques et aux interviews d’anciens ouvreurs tels que Beat Kammerlander, Claude Remy, Michel Piola et bien d’autres, le projet présentera l'évolution de l'escalade moderne et le récit d'une belle aventure humaine et sportive. Vous découvrirez également l'énorme potentiel de la grimpe en Suisse.</p>
<p>Cédric Lachat et ses amis veulent relever le défi de grimper en une année, 5 des grandes voies les plus difficiles au monde. En réaliser une seule est déjà un énorme challenge. C'est un défi sportif colossal et une performance hors du commun.</p>
<p>La Suisse est un petit paradis pour les grimpeurs : elle regorge de parois exceptionnelles. Pourquoi parcourir le monde alors que son pays natal regorge de lignes magnifiques ? En tant que Suisse, Cédric veut faire connaitre au grand public ces lieux et l’aventure humaine qu’ils représentent à travers un film. Il a fait appel aux meilleurs grimpeurs européens pour l’accompagner dans ce projet.</p>
<p>Les trois pilliers de ce travail :</p>
<p>Partir de l’histoire de la montagne et de l’alpinisme pour comprendre l’essence de l’escalade libre. Faire le récit en images de cette évolution passionnante pour expliquer à quel point la difficulté de ces lignes dépasse l’imaginaire des premiers ouvreurs</p>
<p>Réaliser une prouesse physique et sportive en réalisant toutes ces voies dans la même année</p>
<p>Montrer que la Suisse est un paradis pour les grimpeurs débutants et les plus expérimentés. Peu de gens savent que les grandes parois suisses regorgent de voies accessibles à tous.</p>
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<p><strong>Carte des massifs</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593316/carte_des_massif_4-1557483026.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>Eiger </strong></p>
<p>Ascension avec Tobias Suster et Roger Schäli de la voie « Odyssee (ligne blanche) », 1400m, 8a+</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593337/eiger_odyssee-1557484808.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>De la première ascension à la voie Odyssée</strong></p>
<p>En 1858 les guides suisses Christian Almer et Peter Bohren réalisèrent la première ascension de l’Eiger en compagnie de l'Irlandais Charles Barrington. À cette époque, seul le sommet comptait : les alpinistes choisissaient l’itinéraire le plus facile pour gravir les montagnes. Plus tard, les alpinistes commencèrent à être attirés par d’autres itinéraires plus difficiles, plus dangereux et plus spectaculaires. L'élégance de leur tracé justifiait les difficultés et les risques supplémentaires. C’était le début d’une autre dimension dans l’alpinisme qui demeure souvent incomprise par le grand public. Pourquoi donc risquer sa vie à gravir une montagne par un itinéraire spécifique alors qu’il existe déjà une voie plus facile sur l’autre versant ? Grâce aux avancées technologiques et à l’apparition des pitons, plaquettes et des tamponnoirs, l’accès aux faces les plus raides devint possible. Ainsi, un nouvel éventail de voies à gravir s’ouvrait pour les conquérants de l’inutile. La première ascension de la face nord de l’Eiger a été réalisée du 21 juillet au 24 juillet 1938 par une cordée austro-allemande avec Heinrich Harrer, Anderl Heckmair, Fritz Kasparek et Ludwig Vörg. A partir de 1983, l’alpiniste suisse Michel Piola, équipa de nombreuses voies dans la face Nord. Entre 2009 et 2013, le trio transalpin, composé de l'Allemand Robert Jasper, du Suisse Roger Schäli et de l'Italien Simon Gietl ouvrirent « Odyssee » sur la Face Nord de l'Eiger (Suisse), la ligne la plus dure de la face. La première ascension de la face nord de l’Eiger a été réalisée du <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/21_juillet">21 juillet</a> au <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/24_juillet">24</a> <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Juillet_1938">juillet</a> <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/1938">1938</a> par une cordée austro-allemande avec <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_Harrer">Heinrich Harrer</a>, <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Anderl_Heckmair">Anderl Heckmair</a>, <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Fritz_Kasparek">Fritz Kasparek</a> et <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_V%C3%B6rg">Ludwig Vörg</a>. </p>
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<p><strong>Lauterbrunnental </strong></p>
<p>Ascension avec Tobias Suter de la voie « the Fly », 550m, 8c</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593344/IMG_0435-1557485593.JPG" width="100%" /></p>
<p>La vallée de Lauterbrunnen est connue et réputée pour la Staldeflue, une face calcaire de 550 mètres. En plus d’attirer les grimpeurs du monde entier, cette face est aussi très connue dans le monde du Base-Jump. Entre 2006 et 2009, Roger Schäli, Michel Pitelka, Markus Iff, Bernd Rathmayr, Mäx Grossman, Stephan Eder équipèrent la voie la plus dure de la face qu’ils baptisèrent « The fly » en l’honneur des base-jumpeurs. Du 4 au 8 juin 2014, le grimpeur allemand Alexander Megos a fait équipe avec Roger Schäli, Frank Kretschmann et David Hefti pour réaliser la première ascension en libre de la voie.</p>
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<p><strong>Gastlosen </strong></p>
<p>Ascension avec Melissa le Nevé de la voie « Yeah Man », 330m, 8b+</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593345/gastolsen-1557485661.jpg" width="100%" /></p>
<p>François Studemann et Guy Scherrer équipèrent Yeah Man, 8c, en 1998. C’est la voie la plus dure de la Face du Nord du Grand Pfadflue (Suisse). Le 1er Août 2010 Giovanni Quirici réalisa la première ascension en libre de cette voie. C’était un bon ami de Cédric, victime d’une mort tragique en été 2012, dans la voie « Le chant du cygne», dans la face nord de l’Eiger. Répéter cette voie sera une manière pour Cédric de rendre hommage à son ami Giovanni.</p>
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<p><strong>Les Wendenstöcke </strong></p>
<p>Ascension avec Fabien Dugit de la voie « Zahir », 300m, 8c</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593346/wenden-1557485697.jpg" width="100%" /></p>
<p>La paroi sud des Wendenstöke est une face de grande ampleur qui se dresse entre les montagnes du Tällistock et du Titlis. A partir de 1959, les alpinistes commencent à ouvrir des voies sur le Tilis et le Tallisock qui sont des montagnes plus faciles à gravir que les Wendenstöke. Il faut attendre les années 70 pour que les ouvreurs osent s’attaquer aux parois vertigineuses du Wendenstöke. Les ouvertures sont rares et se font surtout en escalade de type artificiel. Dans les années 80, l’escalade libre connait un important essort. Les premières voies avec des plaquettes sont équipées. Dès ce moment, des lignes toujours plus difficiles à réaliser en libre font leur apparition. En 1992, le légendaire ouvreur Beat Kammerlander, très actif dans le Rätikon vient dans les Wendenstöke et réalise les premières voies en libre dans le 8ème degré. Les limites de la difficulté sont repoussées toujours plus loin. Entre 1996-2004 la voie « Zahir » est équipée par Günther Habersatter. Elle reste aujourd’hui la ligne la plus difficile du massif.</p>
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<p><strong>Rätikon </strong></p>
<p>Ascension avec Fabian Bühl de la voie « déjà vu », 250m 8c+ (non réalisé)</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593350/Ratikon-1557485793.jpg" width="100%" /></p>
<p>Depuis les années 80 le Rätikon est connu mondialement pour ses voies d'escalade "modernes". Les parois des Kirchlispitzen, Drusenfluh, Sulzfluh, Schijenfluh, proposent maintenant un grand nombre de voies de tous niveaux. Le Rätikon a été le terrain de jeu favori de Beat Kammerlander. Il y a ouvert et réalisé des voies comme «New Age», «Die unendliche Geschichte», «Silbergeier» ou «Wögu». Elles sont devenues des lignes légendaires dans l’histoire de l’escalade. Ces itinéraires témoignent d’une grande liberté d’esprit et d’une conception de l’escalade libre où le rocher reste un terrain de jeu qui permet de se confronter à soi-même avec franchise et fair-play.</p>
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<p><strong>Les grimpeurs</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/594800/les_personnagesdu_film-1557923975.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>Cédric Lachat</strong></p>
<p>Cédric taquine la verticalité depuis l'âge de 10 ans. Un jour, Il suit son grand frère et il accroche à l'escalade : bloc, couenne ou grande voie. Sa spécialité est tout simplement la polyvalence dans tous les styles de grimpe. En compétition au plus haut niveau, de 2002 à 2011, Cédric se retrouve sur le podium quasiment à chaque participation et souvent à la première place des championnats et coupes du monde de voies et de bloc. Il a appris une chose pendant toutes ces années : il devait grimper avec le cœur et la volonté d’aller en haut. Il cherche en permanence à être différent, à innover. La découverte au jour le jour est sa principale source d'inspiration. Sa passion l'amène à mélanger plaisir et difficulté. Il se tourne aujourd’hui vers des grandes faces à libérer en montagne où l'accès est long, difficile et engagé. Il aime partager ce qu’il vit avec des films inédits qui lui permettent de transmettre sa passion et son amour de l’escalade.</p>
<p><strong>Tobias Stuter</strong></p>
<p>Tobias découvre l’escalade à 9 ans et devient vite passionné : il en fait son mode de vie, rejoint l’équipe nationale et participe aux compétitions internationales en escalade et en cascade de glace. Plus tard, l’appel de la nature et de la montagne le pousse à changer de direction. Il met alors un terme à sa carrière de compétiteur et se consacre aux plus grandes parois du monde comme le célèbre mur du Cerro Torre en Patagonie. Une profonde envie de transmettre sa passion le gagne, il devient alors guide de haute montagne et entraineur d’escalade. Maintenant, il entraine les meilleurs athlètes d’escalade en Suisse tout en continuant ses expéditions.</p>
<p><strong>Fabien Dugit</strong></p>
<p>Agé de 34 ans est originaire de Savoie, Fabien a toujours pratiqué les sports de montagne. Son père étant guide, Il a grandi avec cette culture du sport, du ski et de l'alpinisme. A son adolescence, il s’est essentiellement consacré à l'escalade de compétition et a été champion de France de blocs en 2007 et de difficulté en 2008. Mais l’appel de la montagne et de l'aventure revenu, il reprend l'alpinisme et passe le diplôme de guide. Il garde de ses années de compétition de belles amitiées tissées au tour de la passion de l’escalade, notamment avec Cédric. Depuis, ils ont partagé bien des aventures, notamment « El capitan » au Yosemite et la libération de « Balade au clair de lune » à l'Aiguille du Fou. C’est sans doute la voie la plus engagée que Fabien a eu à parcourir. Depuis maintenant 5 ans il travaille au sein du peloton de gendarmerie de haute montagne de Chamonix et s’épanouit en travaillant au service des alpinistes en détresse.</p>
<p><strong>Melissa le Nevé</strong></p>
<p>Mélissa Le Nevé aborde l'escalade comme un langage et un moyen d'expression. Au travers de la compétition, elle nourrit sa combativité et termine sur les plus hautes marches des podiums internationaux. Elle aime aussi s’exprimer en milieu naturel et est inspirée par la beauté des lignes d’autant plus si le challenge est présent. 8B+ bloc, 8c+ voie, 8B+ grande voie : polyvalence au rendez-vous. Mélissa aime partager son expérience de l'escalade avec des gens entiers, ceux avec qui elle peut construire une relation profonde et sincère comme avec Cédric.</p>
<p><strong>Fabian Bühl</strong></p>
<p>Fabian a grandi dans les montagnes de l'Allgäu, En 2006, il laisse le ski alpin de côté et se met à fond dans l’escalade et la montagne. Pour lui, l'escalade est devenue une énorme partie de sa vie. Après quelques années de bloc au plus haut niveau, il découvre les grandes voies et ouvre notamment Ganesha 8c+ à Löfen en Autriche et la libère en solo auto-assuré.</p>
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<p><strong>L’équipe vidéo</strong></p>
<p><strong>Julien Nadiras</strong>, cadreur spécialisé / opérateur</p>
<p>Originaire de la région parisienne, Julien découvre très jeune l'escalade sur les blocs de grès de la forêt de Fontainebleau. Pendant plusieurs années, il grimpe à travers le monde et poursuit en parallèle des études d'audiovisuel et se spécialise dans la prise de vue de sports outdoor. Basé depuis peu à Grenoble, Il rencontre en 2008 Vladimir Cellier et ils créent Baraka Flims. Il continue aussi de travailler en tant que cameraman pour différents clients : Petzl, Arcteryx, Universal, Casio, Flying Frenchies, Redbull, Salomon, Illustroscope, etc...</p>
<p><strong>Guillaume Broust</strong>, réalisateur</p>
<p>Guillaume Broust est un réalisateur de films plusieurs fois primés à de nombreux festivals. Il a 20 ans d'expérience dans les films outdoor, l'événementiel ou les documentaires, dans les endroits les plus reculés et extrêmes de la planête. Avec plus de 200 films réalisés dans le monde de l'escalade, du parapente, de l'alpinisme et du ski, Guillaume a créé son propre style et son univers, que l'on peut rapidement identifier, comme "le style Guillaume Broust". Guillaume a créé la plupart des films pour les parapentes Ozone, pour le Red Bull Vertigo et a travaillé pendant 16 ans chez Petzl, en tant que Responsable Audiovisuel. Il a produit ou réalisé la plupart des films de la marque, et notamment les célèbres films des "Petzl RocTrip". Guillaume est désormais réalisateur de films indépendants, et produit des films à son compte.</p>
<p>http://www.guillaumebroust.com</p>
<p><strong>Jan Novak</strong>, photographe du projet</p>
<p>Depuis son enfance, Jan est passionné par tous les sports d’aventure. Il a quitté la République Tchèque pour venir s’installer et travailler en France. La photographie en escalade étant sa plus grande passion, il en a fait son métier depuis 4 ans. Pour lui, la photo est un moyen d’immortaliser des instants forts en émotions chez les grimpeurs. En plus d’être un excellent photographe, Jan est un artiste rempli d’humour et de bonne humeur. Ayant une formation de cordiste, il accède aux milieux les plus compliqués et travaille avec toutes les principales marques d’escalade. Il réalise des reportages photos pour les magazines de sports extrêmes les plus renommés.</p>
<p><strong>Les équipeurs de l’époque figurant dans le projet</strong></p>
<p><strong>Beat Kammerlander</strong></p>
<p>Légende vivante de l’alpinisme et de l’escalade, Beat Kammerlander a commencé à faire parler de lui dès le début des années 80 avec l’ascension de la face nord de l’Eiger hivernale. C’est ensuite sur le rocher du Rätikon qu’il s’est illustré avec des voies très dures comme la légendaire Silbergeier. En 1997, Beat équipa la voie la plus difficile du Rätikon « Wögu ».</p>
<p><strong>Michel Piola</strong></p>
<p>Michel Piola, né en 1958, est un grimpeur et alpiniste suisse. Il est l'un des ouvreurs de voies le plus respecté et prolifique.Il a ouvert plus de 1500 voies dans le monde et plus d'une centaine dans le massif du Mont-Blanc. Il obtient le Piolet d'or en 1993 pour l'ouverture de «Dans l'œil du cyclone» dans le Massif del Paine. En 1983 il ouvre la Directissime Ghilini/Piola dans la face nord de l’Eiger.</p>
<p><strong>Gérald Buchs</strong></p>
<p>Gérald Buchs, né en 1958, est un grimpeur et alpiniste suisse. Durant son enfance à Jaun, il a passé 10 étés dans l’alpage au pied des Gastlosen. Il a commencé à grimper à 20 ans sur les divers sites de l’Ile Britannique. De retour en Suisse il a ouvert une quarantaine de grandes voies et d’innombrables couennes au Gastlosen. Il a également fait des premières dans le Hoggar et en Grèce.</p>
<p><strong>Roger Schäli</strong></p>
<p>Roger Schäli, alpiniste professionnel a 40 ans. Il connaît la Face Nord de l’Eiger presque mieux que son appartement. Il l’a parcourue plus de 35 fois, dans différentes voies. En 2013 il a fait partie de l’équipe qui a ouvert la voie la plus dure de la face, la voie «Odysee». Sa motivation pour la grimpe et impressionnante et on trouve Roger toujours au pied d’une voie dure.</p>
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<p><strong>Sortie du film</strong></p>
<p>Le tournage aura lieu de mars 2019 à octobre 2019. Le montage du film sera terminé pour novembre 2020. Si les conditions météo ne nous permettent pas de tourner toutes les séances d’images nécessaires, la date de sortie du film pourra être repoussée.</p>
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<p><strong>Les films précédents avec Cédric Lachat</strong></p>
<p>«Silbergeier», 26min, réalisateurs Vladimir Celier et Julien Nadiras, année 2012</p>
<p>«Rock in Cuba», 26 min, réalisateurs Vladimir Celier et Julien Nadiras, année 2013</p>
<p>«Exploration à la grotte FJS», 27 min, réalisateurs Halsundbeinbruch et Diego defila, année 2013</p>
<p>«Orbayu», 26 min, réalisateurs Mathieu Rivoire et Julien Nadiras, année 2014</p>
<p>«Wara Kalap», 26 min, réalisateurs Mathieu Rivoire et Cédric Lachat, année 2014</p>
<p>«Le rocher Crespin», 15 min, réalisateurs Mathieu Rivoire et Julien Nadiras, année 2017</p>
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<p><strong> Les topos des projets</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593357/topo_odyssee-1557486511.jpg" /></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593343/topo_Fly-1557485513.jpg" /></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593358/topo_Zahir-1557486572.jpg" /></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593359/Yeah_man-1557486589.jpg" /></p>