TOUT LE MONDE MANGE

Participez au financement de "Tout le monde mange", le documentaire engagé qui aime les bons produits, les paysan.nes et la Nature !

Visuel du projet TOUT LE MONDE MANGE
Échoué
42
Contributions
24/04/2024
Date de fin
2 127 €
Sur 12 000 €
18 %

TOUT LE MONDE MANGE

Le documentaire engagé qui aime les bons produits, les paysan.nes et la nature "Faisons ensemble le nécessaire pour qu'un million de paysan.nes au moins s'installent dans les années à venir, dans les plaines, les vallons et les montagnes de France, ouvrant ainsi la voie à des millions d'autres. Sans une telle inversion massive de la tendance à l'œuvre, la suite de l'histoire est connue : une nourriture toujours plus artificielle à destination du grand nombre, pathogène, produite ici et plus loin au prix d'un épuisement du milieu et toujours moins d'humains pour cultiver la terre et pour élever des bêtes, dans notre pays comme ailleurs." (Reprendre la terre aux machines, par L'atelier paysan, 2021 coll. Anthropocène aux éditions du Seuil) Après les films La Dette, puis Mauvais élèves (sortis au cinéma et en DVD et co-réalisés avec Nicolas Ubelmann), je m’intéresse cette fois à l'origine de ce que l'on mange. Et donc à l'agriculture et aux paysan.nes : Avec les récentes manifestations des agriculteurs, on a pris une nouvelle fois la mesure du malaise du monde paysan et de la fracture entre le monde agricole et le reste de la société. Mais depuis les années 60, les mêmes thèmes reviennent en boucle : les normes, les charges et l’endettement, la concurrence étrangère, les revenus des paysans, l’accès à l’eau, et plus récemment «l’agribashing»… Coté consommateurs, on s’inquiète de l’inflation, de la qualité des aliments, de la destruction de l’environnement, et de façon conjoncturelle des risques de pénurie. Alors…L’agriculture peut-elle opérer une nouvelle révolution et permettre à tous de manger mieux tout en sauvant ses paysans ? Face à ces mobilisations, la réponse principale du Gouvernement - réduire les ambitions environnementales - semble inadaptée : l’un des problèmes de fond soulevé par ce mouvement, c’est le revenu des agriculteurs. Ça pousse à réfléchir à la nature des aides qu’ils reçoivent, et à la reconnaissance concrète qu’ils attendent de la société. Mais ça oblige aussi à réfléchir à l’alimentation et à l’environnement que nous voulons, pour eux, pour nous, pour nos enfants. Rappelons qu'aujourd'hui, en France, 8 millions de personnes ont moins de 3€ par jours pour se nourrir… En moyenne, chaque Français.e cotise indirectement pour la PAC - Politique agricole commune européenne, qui soutient les agriculteurs- à hauteur d’environ 200€ par an. Je me suis posée la question suivante : si je pouvais choisir de donner directement ces 200€ à un.e paysan.ne en particulier, à qui cet argent irait-il ? Ce documentaire abordera ces questions d’un point de vue assez universel : celui d’une femme qui doit jongler entre l’exigence de la meilleure alimentation possible pour sa famille… et un budget pas extensible, et même de plus en plus contraint, quand elle fait ses courses ! J 'espère qu'il contribuera à retisser un dialogue postitif et engagé de part et d'autre entre la société et le monde agricole. J'ai déjà engrangé plusieurs séquences dans le Lot et en Occitanie. Vu l’urgence de la situation et les tensions exprimées par le monde agricole, plus tôt ce film sera terminé, mieux ce sera ! Avec le printemps, la saison agricole redémarre, c’est le moment ou jamais de tourner ce film. Je vise l'automne 2024 pour les premières projections publiques au cinéma. Avec l’aide de tous ceux et de toutes celles qui voudront participer à cette production, je pense que nous pourrons y arriver ! Séquencier prévisionnel "La ferme France < dans la ferme Europe < dans la ferme Monde" : cartographie de la sécurité alimentaire Paysan.nes, agriculteur-ices, exploitant.es agricoles : même métier ? Les piliers de la PAC Aux racines du mal-être : agriculture intégrée ou agriculteurs désintégrés (la course à l'hectare - la bureaucratie est dans le pré - des revenus et des retraites en peau de chagrin - des tracteurs nommés Désir… Au loin s'en vont les pneus - phytosanitaires mon amour - la dette - ? ) Soigner les plantes et les animaux : qu'est ce que l'école peut apprendre de meilleur ? Agro-écologie versus agro-chimie : la ferme ou la firme ? Du bon usage et du partage de l'eau au temps du réchauffement climatique Prêt-à-manger, prix bas et prêt-à-penser : les coûts cachés de la malbouffe. La question des OGM. C'est quoi, "l'agribashing" ? Libre-échange : des importations souvent déloyales… des exportations pas toujours fairplays ! La faim est-elle une marchandise ? Ceux qui nourrissent, ceux qui spéculent Nourrir les autres et survivre : petite histoire des révoltes paysannes "Mangez français ", une injonction galvaudée ? Le plan stratégique National (PSN) de la France Consommateurs et producteurs, un enjeu : réconcilier les deux mondes Les AMAPS, un engagement citoyen auprès des paysans Les projets alimentaires territoriaux Vers une sécurité sociale alimentaire ? Réformes agricoles : la voix de la sagesse paysanne Extrait 1 du repérage : Anaïs et Cyril Vorobiof, ferme de l'Autre Chèvre FR3 s'intéresse au projet Plaidoyer pour les paysan.nes et l'agro-écologie : extrait de l'interview de Patrice VIDIEU, paysan et ancien secrétaire de La Confédération Paysanne "Opération poireaux" : Erwann et Elise, paysans-maraîchers solidaires offrent 800 kg de surplus aux associations de solidarité du territoire. Pourquoi un nouveau film sur l'agriculture ? Tout le monde mange. Tout le monde en tout cas voudrait pouvoir manger, suffisamment et sainement, selon son goût, "se nourrir, et pas juste se remplir ". Pour répondre à ce besoin fondamental, l'Humanité a développé, voici environ 10 000 ans, l'agriculture. Avec les progrès techniques, tout le monde devrait aujourd'hui pouvoir se nourrir correctement. Pourtant ce n'est pas du tout le cas. Sur Terre 740 millions d’êtres humains souffrent de la faim chronique, et trois milliards de personnes, soit près de 40% de la population totale n'ont pas accès à une alimentation saine. En 2020, 7 millions de personnes vivaient en situation d’insécurité alimentaire grave dans l'Union européenne. Une insécurité alimentaire qui ne cesse d'augmenter depuis la crise de 2008. La guerre en Ukraine a révélé la fragilité de notre indépendance alimentaire. Les prix de l'alimentation en Europe ont bondi de plus de 18% depuis 2022. En France, 400 000 personnes nouvelles se sont inscrites chaque année depuis 2020 auprès des partenaires des banques alimentaires. Cette hausse continue concerne de plus en plus de salariés, ce qui signifie que le travail ne met pas à l'abri de la pauvreté et de la précarité alimentaire, un comble dans le pays de la gastronomie… (https://www.senat.fr/questions/base/2023/qSEQ230305698.html) En face, ceux et celles qui produisent les aliments à la source : les agriculteurs et les agricultrices. Des travailleurs de la terre eux-mêmes confrontés à d'énormes problèmes de revenus, d'installation, de santé, d'endettement. Dans 25 ans, l'Europe comptera moins de 4 millions d'exploitations agricoles, contre 15 millions en 2003, soit presque 4 fois moins ! Y a-til un lien de cause à effet entre cette déperdition et la domination de l'agro-industrie ? Agriculture intégrée ou agriculteur-ices désintégré.es ? Très peu d’ingrédients animaux comme végétaux composent l’essentiel des aliments vendus : sur les 6000 espèces végétales cultivées à des fins alimentaires, 9 d’entre elles seulement représentent 66 % de la production agricole totale ! Ça pose question, non ? (https://theconversation.com/aliments-ultra-transformes-comment-ils-modelent-notre-agriculture-223881) Les Français adultes consomment près d’un tiers de calories ultra-transforméeschaque jour, et pour les moins de 18 ans, c'est presque la moitié de leur alimentation ! Les coûts cachés de ce système ne sont pas intégrés dans le prix de la nourriture : si l’on devait payer pour les conséquences néfastes de notre système alimentaire sur la santé (maladies liés à la malbouffe) et sur l’environnement (pollutions, émissions de gaz à effet de serre), cette alimentation issue de l'agro-industrie coûterait deux fois son prix actuel ! (https://www.fao.org/newsroom/detail/hidden-costs-of-global-agrifood-systems-worth-at-least--10-trillion/fr) L’Europe est-elle toujours une forteresse agricole ? Ebauchée après-guerre dans une Europe dévastée et affamée, la PAC, Politique Agricole Commune, a officiellement vu le jour en 1962. Les premiers objectifs de cette institution étaient alors de produire rapidement et en assez grandes quantités pour permettre à la population de l'Union européenne de se nourrir, tout en assurant un revenu digne aux agriculteurs. Dans les années 80, l'objectif de la Pac dépassait les espérances : les frigos et silos européens débordaient de lait, de beurre, de blé… La PAC est auourd'hui destinée à nourrir 447 millions d'Européens. Concrètement, elle soutient sept millions d’agriculteurs européens. C'est le plus gros poste de dépenses de l'Union : elle représente un tiers de son budget, soit près de 400 milliards d'euros pour la période en cours 2021 à 2027 . 60 ans après sa création, le bilan est plutôt catastrophique : on mange mal, et le revenu des producteurs est loin de correspondre à la valeur réelle de leur travail. Le secteur agricole européen se trouve confronté à un triple casse-tête : le revenu des agriculteurs, l'installation des jeunes, et la reprise des fermes lors du départ à la retraite des anciens. Rappelons au passage que 300 agriculteurs se sont suicidés en France en 2022. Ce modèle productiviste a donc fait son temps, il ne s'agit plus de produire toujours plus : il s'agit de produire mieux. La crise climatique et environnementale impose de revoir les systèmes culturaux, car l'agriculture est l'une des causes principales des émissions de gaz à effet de serre, de la pollution des eaux et de l'effondrement du vivant. Pourtant, la PAC continue sa course vers une compétitivité qui visiblement profite plus à l’industrie agroalimentaire et à la grande distribution qu'aux paysans producteurs et à la solidarité internationale. Face à ces défis immenses, les citoyens européens peuvent-ils reprendre la main sur leur Politique Agricole Commune ? En 2023, on estime chaque Européen participe en moyenne à hauteur à 213€/an au financement de la PAC... Si chaque Européen pouvait choisir de donner directement ces 213€ à un agriculteur en particulier, à qui les donnerait-il ? Les dernières réformes de la PAC, mises en œuvre depuis janvier 2023, seront-elles de taille à répondre au bout du compte à ces enjeux pressants ? Ses grandes orientations sont le résultat de négociations, dans lesquelles à l'heure actuelle, une poignée d'acteurs pèse d'un poids démesuré : les représentants de l'élevage agro-industriel, les grands céréaliers semenciers et les betteraviers… au passage tous gros utilisateurs de "phytosanitaires" et intrants de synthèse : malgré des initiatives publiques (plans Ecophyto), les dernières statistiques montrent un accroissement de leur usage en dix ans, alors même que la surface agricole utile diminuait (https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/sites/default/files/2019-04/datalab-essentiel-172-plan%20de%20reduction-avril2019.pdf) Ces acteurs soutiennent un modèle agro-industriel et agro-chimique dans lesquelles des techniciens tenus à des objectifs de productivité titanesques sont soumis à des calendriers drastiques affranchis des rythmes de la nature. Ces lobbies surpuissants sont majoritaires dans les instances de décisions, alors qu'ils promeuvent un modèle agricole dans lequel les agriculteurs croulent sous des dettes ahurissantes ! A l'autre bout de la table, des fermes paysannes, confrontées au problème de la disponibilité des terres et du prix du foncier pour se développer. Nombreuses sont celles qui ont fait le choix du bio, en adéquation avec une demande croissante des citoyens européens. Mais paradoxalement, ces aliments de qualité produits dans des exploitations de petites tailles ont la réputation d'être trop chers pour les consommateurs. Pourrait-on imaginer une politique agricole défendant un modèle de production qui aurait pour objectifs d'installer des jeunes, de soutenir l'emploi dans les campagnes, de diminuer les impacts de l'agriculture sur l'environnement et sur notre santé, de rééquilibrer les écganges commerciaux... en nous permettant de bien manger, tout simplement ? L'argument selon lequel ce type d'agriculture ne suffirait pas à nourrir l'Europe s'effondrerait. Face à un système très bureaucratisé, les producteurs se sentent parfois démunis, ne serait-que pour remplir les fiches de renseignement et les demandes d'aide. L'imagerie satellite, le recours aux IA pour analyser et contrôler les données et le portail informatique Télépac allègent-ils le travail des agriculteurs, ou bien ces nouvelles technologies entrainent-elles encore plus de complexité pour des agriculteurs et des agricultrices aux journées déjà très chargées ? La nouvelle PAC, votée en 2021 et entrée en vigueur en 2023, s'attaque à des défis colossaux et inédits. Dans le même temps, les négociations pour le prochain "round" de 2027 débutent déjà, car la PAC est une machine tellement gigantesque qu'il faut des années pour anticiper les prochaines réformes. Le calendrier choisi pour débuter ce film est donc propice. Tout le monde mange interpellera notamment les décideurs européens, et se rendra à la rencontre de paysan.nes, d'agro-industriel.les, de lobbyistes, de militant.es et de syndicalistes, mais aussi d'écologues, d'agronomes, de regroupements de producteurs-trices… et de simples citoyen.nes. Notre film proposera des leviers d'action pour le déploiement d'une agriculture durable et résiliente, dans l'intérêt des citoyen.nes, des agriculteurs-trices, des pays du Nord comme des pays du Sud... et de l'Environnement. « Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas » (citation attribuée au chef Sioux Sitting Bull, à Géronimo - homme-médecine et guerrier Apache Chiricahuas - , et au peuple algonquin des Cree ) Film de référence à voir : https://agriculture.gouv.fr/lagriculture-une-histoire-de-prix-80-ans-dhistoire-en-26-minutes Equipe technique Sophie Mitrani auteure-réalisatrice, monteuse Nicolas Ubelmann opérateur de prise de vue Jean-Baptiste Caux ingénieur du son Paul Dubuisson chef lumière Opérateurices de prises de vue additionnelles Jean Marc Paiph, Rozenn Delclaux, Maxime Gatineau Conseiller éditorial : Eric Belin Musique originale, mixage et montage son Martin Colmant aka Ayema, Nick Buxton Production et distribution Régie sud 1901 •Presse : "Elle réalise un film sur les paysans du territoire", La Dépêche du Midi, édition du Lot du Samedi 24 février 2024, p. 25 Reportage de france 3, édition régionale du samedi 2 mars 2024, à 5'26 Reportage de france , édition Locale Fr3 Quercy Rouergue du vendredi 1 mars 2024, en ouverture de l'édition •Quelques-unes de mes réalisations et co-réalisations en rapport avec le sujet : Les 20 ans de l'Adear du Lot : https://vimeo.com/manage/videos/462960672 Rallye ton territoire : transmettre et s'installer en Causses-Ségala-Limargues: https://www.youtube.com/watch?v=k-f-jRBljN8 Élections de la chambre régionale d'agriculture, campagne de la Confédération paysanne : https://vimeo.com/manage/videos/304111129 L'ESAT l'Abeille : https://vimeo.com/812145569/948af49b95?share=copy Asphixie : pas de forets, pas de futur / Greenpeace Toulouse : https://vimeo.com/manage/videos/430825045

À quoi servira la collecte

L'objectif de cette collecte est de 12 000€. C'est une base extrêmement modique pour réaliser un documentaire. Etant réalisatrice et technicienne audio-visuelle polyvalente, je tournerai la majeure partie des séquences avec un.e autre caméraman-woman et un.e ingénieur.e du son (indispensable), je ferai le montage et engagerai les opérations de mixage et d'étalonnage par un prestataire extérieur. Epaulée par l'association Régie sud, qui me soutient pour la logistique matériel et la communication je pourrai également assurer la diffusion du film au cinéma. Ce premier objectif permettra donc de donner concrètement et sans hésiter naissance à ce film. Puis le film pourra voler de ses propres ailes et être financièrement amorti grâce aux recettes de la billeterie lors des projections. Si cette première phase de collecte est couronnée de succès, je lancerai un deuxième palier de collecte, fixé à 15 000€. Cela me permettra d'aller tourner des séquences complémentaires toujours avec l'aide d'une second.e opérateurice de prise de vue et preneur-euse de son, de multiplier les lieux de tournage, de m'assurer le soutien d'un.e assistant.e de production et d'assurer une communication plus large pour diffuser le film. Je prévois un troisième palier à 18 000€. Avec cette somme il sera possible d'investir dans du matériel audiovisuel plus performant, et de m'assurer les services d'un truquiste pour des séquences en motion design bluffantes quand nous parlerons de la PAC notamment. Atteindre ce troisième palier permettra aussi d'embaucher un.e chef.fe monteur-euse, toujours appréciables pour un film de cette envergure. Si les trois premiers paliers sont un succès, alors nous tenterons le "super banco"avec un quatrième palierà 24 000€. Outre du matériel de prise de vue complémentaire très performant, cette somme nous permettra de rétribuer correctement une équipe plus étoffée, de louer un studio de post-production dédié au montage et à l'étalonnage et d'assurer au lancement du film le maximum de chance : embauche d'un.e attaché.e de presse, développement du site internent autour du film, enregistrement et rediffusion des débats suite aux projections, édition VOD... Faire un film, comment ça se passe ? Le repérage est une étape indispensable avant le tournage : déplacements dans les fermes, les magasins de producteurs, les chambres d'agriculture et les institutions européennes de la Pac…etc. rencontres avec les agriculteurs et les autres intervenant.es pressenti.es pour faire le meilleur "casting" possible, documentation, défraiement d'un stagiaire assistant… La production inclut deux étapes principales : le tournage et les opérations de post-production : montage, mixage, étalonnage, générique etc... Le tournage, avec son équipe de prise de vue et de son, les déplacements et hébergements, la location des appareils et la logistique. Le montage, avec la location du studio de montage et l'embauche d'un.e monteur.euse ; cette étape du montage qui ne peut pas, pour notre film avant tout destiné au cinéma, s'affranchir de finalisations techniques : le mixage et l'habillage sonore, le travail d'infographie, l'étalonnage colorimétrique des images; l'enregistrement des voix off, ou encore le choix des musiques et la création du générique. Tout cela a un coût : entre tournage, montage et finalisation, près de 60% de la collecte seront consacrés à la production du film proprement dite. Enfin, en plus des dépense de logistique pure (transport, consommables ) il y a la distribution , qui commence avec la création du DCP, le Digital Cinema Package, l'équivalent en cinéma numérique de la copie de projection argentique. On grave aussi quelques copies de ce DCP sur plusieurs disques durs. Puis il faudra communiquer avec les médias et les salles de cinéma. Il s'agira également contacter les associations susceptibles de "porter" le film devant le public lors de projection-débats. L'embauche d'un.e assistant.e de communication sera donc important à ce moment. Ces séances de rencontres-débats inclueront des déplacements et des frais d'hébergement. 19% de la collecte devraient être consacrés à la logistique et la distribution.

Contreparties

La goutte d'eau du moineau

4 €

Votre participation nous encourage, vous recevrez régulièrement des nouvelles de la production par email, et votre nom sera au générique du film !

Livraison estimée : décembre 2024

Le rayon de miel

20 €

Votre participation nous encourage, nous inscrirons votre nom au générique, vous recevrez l'affiche 40xm x 60 cm du film avec une dédicace personnalisée, et bien sur des nouvelles régulières de l'avancée de la production par email.

Livraison estimée : décembre 2024

La galette

60 €

Nous inscrirons votre nom au générique, vous recevrez deux invitations pour une projection du film lors d'une séance près de chez vous… et le T-shirt du film à votre taille, en coton bio et équitable

Livraison estimée : décembre 2024

La moisson

200 €

Nous inscrirons votre nom au générique, vous recevrez 4 invitations au cinéma pour la projection la plus proche de chez vous, le T-shirt du film, à votre taille, en coton bio et équitable… et l'affiche 40 X 60 cm du film avec une dédicace personnalisée à votre demande.

Livraison estimée : décembre 2024

Les vendanges

500 €

Nous inscrirons votre nom ou celui de votre structure au générique, vous recevrez une affiche 40 x 60 cm du film avec dédicace personnalisée et nous organiserons spécialement une séance de cinéma publique proche de chez vous.

Livraison estimée : décembre 2024

L'abondance

1 000 €

Nous inscrirons votre nom ou celui de votre structure au générique, vous recevrez une affiche 40 x 60 cm du film avec dédicace personnalisée, et nous organiserons spécialement une séance de cinéma proche de chez vous en présence de l'équipe de réalisation.

Livraison estimée : décembre 2024

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