Gaze, la revue qui célèbre les regards féminins

Chers toutes et tous, Ca y est ! Le premier numéro de Gaze est en train d'être façonné avec amour chez notre imprimeur. Nous le recevrons dans une poignée de jours, et l'enverrons à celles et ceux qui l'ont précommandé avant la fin du mois. Nous avons tellement hâte que vous le teniez dans vos mains (voyez notre niveau d'excitation : on s'exprime désormais en rébus) ! Vous vous en doutez, notre évènement de lancement physique, qui devait avoir lieu à Paris, a été annulé. Nous le remplaçons par un lancement digital : un live Instagram (suivez-nous ici !) le 29 novembre. Ce qui devait être une mauvaise nouvelle en est finalement une bonne : vous pourrez être plus nombreux·ses à vous joindre à nous pour fêter ça, et nous allons pouvoir faire intervenir un plus grand nombre de nos merveilleuses contributrices. On vous prépare aussi de belles surprises... Une bonne partie d'entre vous avait opté pour la remise en main propre pour ses contreparties. Hélas, ce ne sera pas possible avant un bon moment... On vous invite donc à renseigner votre adresse postale dans vos informations de compte Kiss kiss bank bank (merci d'opter exclusivement pour ce moyen là, pas par retour de mail) avant ce dimanche 8 novembre. Nous vous les ferons porter par courrier. On a hâte que vous le découvriez ! A très vite, La team Gaze 📷

Cher·e·s vous, Voici des nouvelles de Gaze ! Fortes de vos mots doux, bonnes vibes et précommandes, nous avons commencé dès la campagne de crowdfunding terminée, à travailler confinées chacune de notre côté sur le premier numéro de la revue. Un poil ralenti par la distance imposée entre nous, il devait sortir fin octobre mais c’est finalement fin novembre qu’il rejoindra vos boites aux lettres et les librairies qui nous ont fait confiance comme vous. Les derniers papiers sont en train d’être corrigés et traduits, les dernières images arrivent, on corrige, re-corrige, relit, re-relit… en gros ça y est : on boucle ! On est très fières d’avoir collaboré avec toutes les incroyables femmes* qui ont posé leur plume ou leur regard dans les pages qu’on s’apprête à imprimer. En plus de ça, on vous prépare des surprises pour accompagner ce lancement (sans en dire plus il y aura quelques cadeaux beaux et engagés à faire ou à se faire). On a une petite pensée pour vous toutes et tous qui avez été nos premiers soutiens, alors qu’on termine ce premier numéro qui s’annonce flamboyant. Ca commence à ressembler à un dernier trimestre de grossesse, et là, on a vraiment envie que notre bébé rencontre le monde, le vrai ! Disons-le : on trépigne de le voir entre vos mains. D’ici là, les abonnements sont encore possibles sur notre site et vous pouvez suivre nos aventures (et nos découvertes female gaze) sur Facebook et Instagram. Allez hop, on retourne au boulot. A très bientôt ! La team Gaze

<p>Chers vous,</p> <p>Un tout petit pourcent. Minuscule. Il est tout seul à nous séparer de notre objectif et, étant donné le contexte, c'est merveilleux. Nous sommes très reconnaissantes de la confiance que vous nous avez accordée et que vous avez accordée au projet que nous portons. Vous avez continué sans faillir à nous soutenir et à permettre à Gaze de pouvoir naitre à la fin de cette tempête qui nous empêche pourtant tous et toutes d'imaginer la suite. On le prend comme un signal fort, que Gaze va trouver sa place, qu'il arrive -&nbsp;malgré ce chaos -&nbsp;au meilleur moment, et que nous avons eu raison de nous entêter !&nbsp;</p> <p>La campagne se termine jeudi. Il reste donc deux petits jours pour la faire avancer le plus loin possible et se rapprocher de notre deuxième palier, celui qui nous permettra de lancer la bourse d'étude dès le premier numéro de la revue. On sait que les jeunes pousses qui rêvent de vivre de l'écriture ou de la photo auront plus qu'avant cette crise besoin d'un coup de pouce pour le faire, et on espère pouvoir le leur donner.</p> <p>Alors pour nous soutenir dans cette dernière ligne droite, voici quelques visuels que vous pouvez partager autour de vous, pour convaincre votre entourage de faire partie du&nbsp;premier cercle de notre&nbsp;lectorat qui découvrira&nbsp;Gaze avant tout le monde. Piochez dedans, faites-les tourner,&nbsp;envoyez-les comme des bisous (dans le respect des gestes barrière, hein, c'est à dire numériquement) !&nbsp;</p> <p>Et encore une fois, merci pour votre confiance. Clarence Edgard-Rosa, Gaze</p> <p><img alt="G1 1586248335" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657618/G1-1586248335.png"> <img alt="G2 1586248345" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657619/G2-1586248345.png"> <img alt="G3 1586248355" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657620/G3-1586248355.png"> <img alt="G4 1586248365" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657621/G4-1586248365.png"> <img alt="G5 1586248374" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657622/G5-1586248374.png"> <img alt="G6 1586248381" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657623/G6-1586248381.png"> <img alt="G7 1586248390" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/657624/G7-1586248390.png"></p>

<p>Chères toutes et tous,</p> <p>Nous voici confinés, <strong>chacun et chacune dans notre “chambre à soi”</strong>, si nous avons la chance d’en avoir une. Là, seuls face à nous-mêmes on se rappelle de nos privilèges. Et on se souvient qu’<strong>il y aura un après confinement</strong>, un après crise d’angoisse et un après réserve de boîtes de conserve... si si !</p> <p>Dans cet après, <strong>on espère de tout notre coeur&nbsp;que Gaze vera le jour malgré ce trou noir</strong> dans lequel nous sommes plongés et qu’il y aura de la place, une fois le dehors retrouvé, pour une presse indépendante, alternative et féministe. De la place pour Gaze ! <strong>Nous sommes très heureuses d’avoir atteint la barre des 50%, grâce à vous</strong>. Merci !!!&nbsp;Mais alors que Gaze a su vous enthousiasmer et que l’opération de crowdfunding a commencé sur les chapeaux de roue, voilà que tout est remis en question.&nbsp;</p> <p><strong>Je suis comme vous : je flippe et j’ai juste envie de m’enrouler dans un gros plaid avec mes réserves de bouffe</strong> (heureusement j’ai des feuilles de vigne) en attendant que ça passe. Sauf que si on laisse cette terrible crise saboter les projets qui comptent sur la solidarité et le bouche oreille pour vivre, on est finis !&nbsp;</p> <p><strong>Il reste 22 jours.</strong> J’en appelle à votre foi dans la suite (une suite où on pourra se rouler des pelles, faire des blagues en trinquant à la Corona citron vert, où les crèches accueillons nos gosses et où les rayons pâtes seront réapprovisionnés) : <strong>soutenez-nous pour que dans l’après, Gaze existe !&nbsp;</strong></p> <p>Rendez-vous compte : <strong>si chacun d’entre vous convainc une seule personne de nous soutenir, on y est !</strong></p> <p>Alors s'il vous plait : <strong>parlez-en autour de vous</strong>, sur et en dehors des réseaux, appelez vos copains, copines, amoureuses et grands-mères à soutenir <strong>des femmes qui soutiennent des femmes qui soutiennent des femmes ! </strong>Parce qu’après ça, on en aura besoin.&nbsp;</p> <p>Je vous embrasse de loin, et avec un masque, mais je vous embrasse pour de vrai. Clarence Edgard-Rosa, Gaze magazine.</p> <p><img alt="Capture d cran 2020 03 18 21.06.05 1584562268" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/654918/Capture_d__cran_2020-03-18___21.06.05-1584562268.png"></p>

<p>Joie, ô joie !&nbsp;<strong>Nous avons atteint 30% de notre objectif</strong>&nbsp;et convaincu 162 d'entre vous de pré-commander le premier numéro de Gaze pour que le projet puisse voir le jour.&nbsp;<strong>Votre soutien et vos mots doux</strong>&nbsp;sont un boost fantastique, nous voilà à 28 jours de la ligne d'arrivée !</p> <p>Mais hélas dans le même temps,&nbsp;<strong>Facebook et Instagram nous censurent</strong>&nbsp;alors même que l'on a joué leur jeu en cachant les tétons qui les gênent tant (et autant dire que ce n'est déjà pas un geste que l'on fait avec plaisir). Vous êtes nombreux-ses à nous signaler&nbsp;<strong>des publications censurées</strong>&nbsp;ou des posts qui n'apparaissent plus dans votre feed :&nbsp;<strong>les Gafa font vraiment la tronche</strong>.</p> <p><strong>Nous avons&nbsp;donc besoin de vous</strong>&nbsp;: parlez de Gaze <strong>sur et en dehors des réseaux sociaux</strong> :&nbsp;à votre grand-mère, votre petite soeur, vos amies, vos amours, vos alliés, et&nbsp;<strong>toutes celles et ceux qui pourraient y être sensibles</strong>&nbsp;! Qu'ils ou elles soient plus intéressées par l'apparition d'une revue belle, indépendante et engagée ; ou d'une bourse donnant un coup de pouce à des filles talentueuses.&nbsp;Si chacun-e d'entre arrive à convaincre trois personnes de soutenir Gaze,&nbsp;<strong>on sera sûres que le projet pourra naître</strong>.</p> <p><strong>On compte sur vous !</strong>&nbsp;Merci pour votre soutien !</p> <iframe allowfullscreen="true" frameborder="0" height="285" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fgiphy.com%2Fembed%2F3og0IRMrDWDJW0R0Ws%2Ftwitter%2Fiframe&amp;wmode=opaque&amp;display_name=Giphy&amp;url=https%3A%2F%2Fmedia.giphy.com%2Fmedia%2F3og0IRMrDWDJW0R0Ws%2Fgiphy.gif&amp;image=https%3A%2F%2Fi.giphy.com%2Fmedia%2F3og0IRMrDWDJW0R0Ws%2Fgiphy.gif&amp;key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=giphy" title="Giphy embed" width="435"></iframe>